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Doucet, Jacques

Statut
Publiée
Contributeur
Dartiguenave, Elisabeth
Dernière modification
23/04/2024 09:33 (il y a environ 16 heures)
Type de personne
Type de personne : 
Noms
Nom : 
Doucet
Prénom : 
Jacques
Sexe : 
Nationalité : 
Nom : 
Doucet
Prénom : 
Jacques Antoine
Naissance et mort
Date de naissance : 
19 février 1853
Lieu de naissance : 
Date de mort : 
30 octobre 1929
Lieu de mort : 
Adresses
Type d'adresse : 
Date de l'adresse : 
1875 - 1925
Adresse : 

21 rue de la Paix

Code postal : 
75002
Ville : 
Type d'adresse : 
Date de l'adresse : 
1888 - 1907
Adresse : 

27 rue de la Ville-Lévêque

Code postal : 
75008
Ville : 
Type d'adresse : 
Date de l'adresse : 
1907 - 1913
Adresse : 

19 rue Spontini

Code postal : 
75016
Ville : 
Commentaire Adresses : 

(source : Bulletin de la Société d'iconographie parisienne, 1908 ; Annuaire de la Gravure française. 1911 ; Bulletin de la Société de l'histoire du costume, 1911 ; Bulletin de la Société de l'histoire de l'art français, 1909 et 1912)

Professions / activités
Type de profession / activité : 
Commentaire Lieu institution : 

Maison Doucet, 21 rue de la Paix, 75002 Paris

Date d'activité : 
1875 - 1925
Biographie
Commentaire biographique : 

Jacques Doucet couturier

Jacques Doucet naît le 19 février 1853 au sein d’une entreprise familiale de mode : son père, Édouard Doucet, possède une boutique de chemises pour hommes et sa mère, Mathilde Doucet (née Gonnard), une affaire de dentelles et lingerie pour dames au 21, rue de la Paix à Paris (« Trente ans de mode », Vogue, 1er mars 1923, p. 3-11). Doucet commence à travailler dans le commerce familial vers 1875 et le développe pour le transformer en maison de couture. En janvier 1888, il quitte l’appartement familial pour s’installer seul au 27, rue de la Ville-l’Évêque.

À partir de 1890, Doucet reçoit ses premières commandes de robes pour une clientèle parisienne fortunée. Son nom commence à apparaître sous des gravures de mode. Il hérite en 1898, à la mort de son père, de la maison de couture, devenue maison de haute couture (Calderini L., 2016, p. 244-246).

Doucet travaille avec le modéliste José de La Peña de Guzman et de futurs grands couturiers comme Paul Poiret, employé de Doucet entre 1896 et 1900, ou Madeleine Vionnet qui lui succède à partir de 1907. Il confie également une grande partie de la gestion de la maison de couture à son ami et homme de confiance, Charles Pardinel (Chapon F., 2006, p. 69-71).

Entre 1913 et 1920 Doucet patronne la Gazette du bon ton, publication mensuelle qui présente ses modèles et ceux d’autres couturiers à chaque livraison (Chapon F., 2006, p. 97, note 120).

La rue Spontini et l’art ancien

L’année 1903 marque un tournant dans la vie personnelle de Doucet : il conçoit le projet de se faire construire un hôtel particulier, futur écrin pour sa collection, au 19, rue Spontini, à Paris. Louis Parent en est l’architecte, associé aux décorateurs Georges Hoentschel et Adrien Karbowsky. Achevé en 1906, cet hôtel n’accueille toutefois la collection de Doucet qu’à l’été 1907 (AP, casier sanitaire, 17-19, rue Spontini, 3589W 2104 et avril 1903, ventes par la société Menier à M. Doucet, MFontana, notaire, AN, MC/ET/XCII).

Entre 1909 et 1913, Jacques Doucet est également trésorier de la Société de reproduction des dessins de maîtres fondée à Paris en 1909 et présidée par Jean Guiffrey (1870-1952) : « La Société de reproduction des dessins de maître est une réunion de savants et d’amateurs qui se proposent la reproduction, par les procédés les plus exacts, des dessins anciens et modernes, français et étrangers, conservés dans les collections publiques et privées de France » (Incipit, Société de reproduction des Dessins de maîtres, non paginé, première et deuxième année, 1909-1910). Son siège se trouve au 19, rue Spontini. En 1911, Doucet assume cette fois encore le rôle de trésorier pour la nouvelle Société française de reproduction de manuscrits à peintures, puis il participe en 1912 à la création de la Société pour l’étude de la gravure française (Chapon F., 2006, p. 192-193). Il effectue aussi plusieurs voyages pendant ces années : en Égypte en mars 1909, à Naples, en Grèce, en Dalmatie au printemps 1911, puis en Allemagne la même année, et en Italie à nouveau avec André Suarès en 1913 (Chapon F., 2006, p. 38).

Vraisemblablement en raison de la mort de sa maîtresse en février 1911, assassinée par son mari, il vend sa collection d’art ancien en juin 1912 et quitte en décembre 1913 son hôtel de la rue Spontini (Delatour, J., 2019).

La bibliothèque d’art et d’archéologie

Parallèlement à l’édification de son hôtel particulier rue Spontini, Doucet commence à rassembler une documentation qui donne naissance entre 1906 et 1914 à une bibliothèque d’art et d’archéologie, il souhaite en effet pallier l’absence en France d’un tel fonds spécialisé. Celle-ci ouvre au public en avril 1909, au 16, rue Spontini, avec le critique d’art René-Jean (1879-1947) à sa tête (Lettre de Jean Sineux à Pierre Lelièvre, 18 octobre 1943 ; AN, AJ 16 8388, cité par Sarda M.-A., 2021).

La bibliothèque conserve des publications de référence, une documentation photographique ainsi que de nombreuses sources (archives, manuscrits, autographes, ouvrages anciens, catalogues de vente…). Ce fonds accueille aussi des estampes et des dessins. En 1905, Doucet échange ainsi avec des artistes contemporains pour constituer un cabinet de dessins et d’estampes modernes pour la bibliothèque(Debray C., 2016, p. 135). Noël Clément-Janin (1862-1947) prend ses fonctions de conservateur du cabinet des estampes modernes le 1er septembre 1911 (1862-1947) [Georgel C., 2016-1]. Doucet fait également appel à des spécialistes comme l’orientaliste Édouard Chavannes (1865-1918) qui le conseille pour l’acquisition de 200 volumes chinois entre 1909 et 1917 et à qui il acquiert les fonds photographiques de sa mission en Chine du Nord et en Mandchourie en 1907-1908. Doucet achète aussi les fonds photographiques de la mission archéologique de Victor Segalen en Chine, en 1914, qu’il a financée, ainsi que ceux de la mission de Paul Pelliot aux confins de la Chine et du Turkestan, entre 1906 et 1910, ou encore de Victor Goloubew en Inde du Nord en 1910-1911 (Labrusse R., 2016, p. 156).

Doucet soutient activement les six expositions consacrées à l’histoire de l’estampe japonaise organisées par Charles Vignier entre 1909 et 1914 au musée des Arts décoratifs : il y prête les estampes des collections de la bibliothèque d’art et d’archéologie et finance les expositions (Labrusse R., 2016, p. 156).

Doucet fait don de la bibliothèque à l’université de Paris le 1er janvier 1918.

Avenue du bois et studio Saint-James : mécéner l’art moderne

En décembre 1913, Doucet emménage dans un appartement au 46, avenue du Bois à Paris. Le mobilier et la décoration sont l’œuvre d’Iribe, de l’atelier Martine de Paul Poiret, d’Eileen Gray, Clément Rousseau, Gaston Le Bourgeois, René et Suzanne Lalique (Possémé E., 2016, p. 116). Au même moment, il commence son activité de mécénat auprès d’artistes tels que Picabia, Adler et Legrain. En 1919, il épouse à soixante-six ans, sous contrat de mariage, Jeanne Roger (1861-1958), une de ses anciennes compagnes, revenue auprès de lui en 1917 (Possémé E., 2016, p. 116, Delatour, J., 2019 et contrat de mariage de Jacques Doucet et Jeanne Roger, AN, MC/ET/XCII/1814, étude 92). Après la guerre, Doucet modifie l’aménagement de son appartement avenue du Bois pour y placer des meubles de Pierre Legrain ou de Marcel Coard, privilégiant du mobilier qui s’inspire du mouvement cubiste et de l’art africain (Possémé E., 2016, p. 116 et 122).

Entre 1916 et 1925, il acquiert aussi la propriété des Nonettes, à Villers-sous-Esquery (Oise) (legs de Jacques Doucet, AN, MC/ET/XCII/1972). Il possède par ailleurs un pavillon de chasse à Nouan-le-Fuzelier, le « château des Fontaines » (Peylhard A.-M., 2016, p. 232).

Doucet vend sa maison de couture en 1925 et cesse alors son activité professionnelle (Peylhard A.-M., 2016, p. 233). Il consacre la dernière partie de sa vie à une nouvelle entreprise décorative : à partir de 1926, il charge l’architecte Paul Ruaud de modifier un bâtiment annexe de l’hôtel particulier que possède sa femme au 33, rue Saint-James à Neuilly. Il souhaite y installer un « studio ». Le couple s’installe dans l’hôtel particulier en août 1928, mais le collectionneur meurt d’une crise cardiaque en octobre 1929, peu de temps après la fin de l’aménagement du studio (Georgel C., 2016-2).

La bibliothèque littéraire

Le 2 juillet 1914, André Suarès, rencontré un an auparavant chez des amis communs, suggère à Doucet de se constituer une « librairie à la Montaigne ». Le couturier reprend l’idée à son compte deux ans plus tard, en mai 1916, priant Suarès de lui indiquer le nom des auteurs à rechercher pour enrichir sa bibliothèque, « en dehors du quatuor dont elle est formée » (Claudel, Gide, Jammes, Suarès, auxquels il ajoute Valéry). En 1921, André Breton entre au service de Doucet (Calderini L., 2016, p. 247). L’amie d’André Suarès, Marie Dormoy, lui succède en 1925 comme bibliothécaire, dans les locaux du 2, rue de Noisiel. Pendant treize années, jusqu’en 1929, Doucet fait rassembler non seulement des éditions rares et des reliures précieuses, mais également tout ce qui concourt à documenter la création contemporaine : épreuves, manuscrits, correspondances. Pour cela, il s’adjoint les services d’écrivains, tels qu’André Suarès, Pierre Reverdy, Max Jacob, Guillaume Apollinaire, Blaise Cendrars, Raymond Radiguet, André Breton, Louis Aragon, Robert Desnos et bien d’autres encore.

Cette bibliothèque est léguée par Doucet à l’Université de Paris à sa mort en 1929 (Chapon F., 2006, p. 313-377).

Article rédigé par Juliette Trey

Commentaire biographique : 

Jacques Doucet, Couturier

Jacques Doucet was born on February 19, 1853 into a family in the fashion business: his father, Édouard Doucet, owned a men's shirt shop and his mother, Mathilde Doucet (née Gonnard) had a lace and lingerie establishment at 21, rue de la Paix in Paris ("Trente ans de mode", Vogue, March 1, 1923, p. 3-11). Doucet began working in the family business around 1875 and developed it into a fashion house. In January 1888, he left the family home to settle on his own at 27, rue de la Ville-l’Évêque.

Around 1890, Doucet received his first orders for dresses for a wealthy Parisian clientele. His name began to appear under fashion plates. In 1898, upon his father’s death, he inherited the fashion business, which he transformed into a house of haute couture (Calderini L., 2016, p. 244-246).

Doucet worked with the designer José de La Peña de Guzman and others who went on to become major fashion designers, such as Paul Poiret, Doucet's employee between 1896 and 1900, and Madeleine Vionnet, who succeeded him from 1907. He also entrusted a large part of the management of the fashion house to his friend and confidant, Charles Pardinel (Chapon F., 2006, p. 69-71).

Between 1913 and 1920 Doucet sponsored the Gazette du bon ton, a monthly publication which presented designs by Doucet as well as from other couturiers in each issue (Chapon F., 2006, p. 97, note 120).

Rue Spontini and ancient art

The year 1903 marked a turning point in Doucet's personal life: at this time, he conceived the project of building a hôtel particulier, the future setting for his collection, at 19, rue Spontini, in Paris. The architect was Louis Parent, in collaboration with the decorators Georges Hoentschel and Adrien Karbowsky. While completed in 1906, the mansion did not house Doucet's collection until the summer of 1907 (AP,  casier sanitaire, 17-19, rue Spontini, 3589W 2104 and April 1903, ventes par la société Menier à M. Doucet, MFontana, notaire, AN, MC/ET/XCII).

Between 1909 and 1913, Jacques Doucet was treasurer of the Société de reproduction des dessins de maîtres, founded in Paris in 1909 and chaired by Jean Guiffrey (1870-1952): "The Society for the Reproduction of Master Drawings is a meeting of scholars and amateurs who propose the reproduction, by the most exact processes, of ancient and modern drawings, French and foreign, preserved in the public and private collections of France" (Incipit, Société de reproduction des Dessins de maîtres, unpaginated, first and second year, 1909-1910). Its headquarters were at 19, rue Spontini. In 1911, Doucet again took on the role of treasurer for the new Société française de reproduction de manuscrits à peintures, then in 1912 participated in the creation of the Société pour l’étude de la gravure française (Chapon F., 2006, pp. 192-193). During these years, he also made several trips: to Egypt in March 1909, to Naples, Greece, and Dalmatia in the spring of 1911, to Germany the same year, and again to Italy with André Suarès in 1913 (Chapon F., 2006, p. 38).

Likely due to the death of his mistress in February 1911, who had been murdered by her husband, Doucet sold his collection of ancient art in June 1912 and left his hotel on rue Spontini in December 1913 (Delatour, J., 2019).

The Library of Art and Archaeology

In parallel with the construction of his hôtel particulier on rue Spontini, Doucet began to collect documentation that eventually gave rise to an art and archeology library between 1906 and 1914. He wished to compensate for the absence of such specialised holdings in France. This opened to the public in April 1909, at 16, rue Spontini, with the art critic René-Jean (1879-1947) at its head (letter from Jean Sineux to Pierre Lelièvre, October 18, 1943; AN, AJ 16 8388, cited by Sarda M.-A., 2021).

The library kept reference publications and photographic documentation as well as numerous additional sources (archives, manuscripts, autographs, old works, sales catalogues, etc.). It also contained prints and drawings. In 1905, Doucet collaborated with contemporary artists to put together a cabinet of modern drawings and prints for the library (Debray C., 2016, p. 135). Noël Clément-Janin (1862-1947) assumed the duty of curator of modern prints on September 1, 1911 (1862-1947) [Georgel C., 2016-1]. Doucet also called upon specialists such as the orientalist Édouard Chavannes (1865-1918), who advised him on the acquisition of 200 Chinese volumes between 1909 and 1917 and from whom he acquired the photographic collections of his mission in North China and in Manchuria in 1907-1908. Doucet also purchased the photographic collections of the archaeological mission of Victor Segalen in China, in 1914, which he financed, as well as those of the mission of Paul Pelliot on the borders of China and Turkestan, between 1906 and 1910, and Victor Goloubew in Northern India in 1910-1911 (Labrusse R., 2016, p. 156).

Doucet actively supported the six exhibitions devoted to the history of Japanese prints organised by Charles Vignier between 1909 and 1914 at the Musée des Arts décoratifs: he lent prints from the collections of the art and archeology library and financed the exhibitions (Labrusse R., 2016, p. 156).

On January 1, 1918, Doucet donated the library to the Université de Paris.

Avenue du Bois and Studio Saint-James: Sponsoring Modern Art

In December 1913, Doucet moved into an apartment at 46, avenue du Bois in Paris. The furniture and decoration were the work of Iribe, the Martine workshop of Paul Poiret, Eileen Gray, Clément Rousseau, Gaston Le Bourgeois, and René and Suzanne Lalique (Possémé E., 2016, p. 116). Around the same time, he became involved with patronage, supporting artists such as Picabia, Adler, and Legrain. In 1919, at the age of 66, he married, under a marriage contract, Jeanne Roger (1861-1958), a former companion, who had come back to him in 1917 (Possémé E., 2016, p. 116, Delatour, J., 2019 et contrat de mariage de Jacques Doucet et Jeanne Roger, AN, MC/ET/XCII/1814, étude 92). After the war, Doucet modified the layout of his apartment on avenue du Bois in order to include furniture by Pierre Legrain and Marcel Coard, favouring furnishings inspired by the Cubist movement and African art (Possémé E., 2016, pp. 116 and 122).

Between 1916 and 1925, he also acquired the property of Les Nonettes, in Villers-sous-Esquery (Oise) (legs de Jacques Doucet, AN, MC/ET/XCII/1972). He also owned a hunting lodge in Nouan-le-Fuzelier, the "château des Fontaines" (Peylhard A.-M., 2016, p. 232).

Doucet sold his couture house in 1925 and ceased his professional activity (Peylhard A.-M., 2016, p. 233). He devoted the last part of his life to a new decorative enterprise: from 1926, he commissioned the architect Paul Ruaud to modify a building annexed to the hôtel particulier owned by his wife at 33, rue Saint-James in Neuilly, where he wished to set up a "studio". The couple moved into the mansion in August 1928, but the collector died of a heart attack in October 1929, shortly after the studio’s completion (Georgel C., 2016-2).

The Literary Library

On July 2, 1914, André Suarès, whom he had met a year earlier with mutual friends, suggested to Doucet that he set up a “Montaigne-style bookshop”. The couturier took up the idea on his own two years later, in May 1916, asking Suarès to tell him the names of the authors to be sought out to enrich his library, "apart from the quartet of which it was made up" (Claudel, Gide, Jammes, Suarès, to which he added Valéry). In 1921, André Breton entered the service of Doucet (Calderini L., 2016, p. 247). André Suarès’ friend, Marie Dormoy, succeeded him in 1925 as librarian, in the premises at 2, rue de Noisiel. For thirteen years, until 1929, Doucet not only collected rare editions and precious bindings, but also everything that contributed to documenting contemporary creation: proofs, manuscripts, and correspondence. For this, he enlisted the services of writers, such as André Suarès, Pierre Reverdy, Max Jacob, Guillaume Apollinaire, Blaise Cendrars, Raymond Radiguet, André Breton, Louis Aragon, Robert Desnos and many others.

This library was bequeathed by Doucet to the Université de Paris upon his death in 1929 (Chapon F., 2006, p. 313-377).

Article by Juliette Trey (Translated by Jennifer Donnelly)

Thèmes d'étude
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Liens entre personnes
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Jacques Doucet soutient les recherches menées par Charlotte Coustolle en Espagne au début des années 1910. (source : BINHA, Autographes 143,1 pièce 2).

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Albert Vuaflart est secrétaire particulier de Jacques Doucet.

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Jacques Doucet et Albert Vuaflart présentent René Ledoux-Lebard à la Société d'Histoire de l'Art Français et la Société d'Iconographie Parisienne à la fin de l'année 1909. (source : BSHAF, 1909, p. 223 ; SIP, 1909, p. V).

Rôle de la personne dans la collectivité
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Jacques Doucet est membre à vie.

Date Rôle de la personne dans la collectivité : 
1907
Bibliographies / archives
Sources en ligne
Organisme : 

Bibliothèque nationale de France

Référence de notice : 
12395393
Date de consultation : 
10/01/2022
Référence de notice : 
500088412
Date de consultation : 
26/07/2011
Organisme : 
Date de consultation : 
15/08/2021
Commentaire Sources en ligne : 
Bénézit 1999. Ressource accessible sur abonnement.
Source
Institut national d'histoire de l'art (France)
Licence
Attribution 4.0 International (CC BY 4.0)
Commentaire interne

Fiche à établir

Schvalberg ; liste archives Doucet

(RHA).

Projet Karbowsky

Etat : Publiée (15/03/2011) ; Saisi par: Dartiguenave, Elisabeth (26/10/2005) ; Modifié par: mgaldema (15/06/2021).

Rédacteur
Elisabeth Dartiguenave ; Myriam Chevallier ; Juliette Trey