Vuaflart, Albert

(source : Archives de la Banque de France, 1514193801/250, dossier n° 1987)

(source : AN, 162AP/15)

Henry Nocq et Albert Vuaflart présentent Marcel Poëte à la Société d'Iconographie Parisienne lors de la séance du 27 avril 1908. (source : SIP, fascicule 1, 1908, p. IX).

Henry Nocq et Albert Vuaflart présentent Marcel Poëte à la Société d'Iconographie Parisienne lors de la séance du 27 avril 1908. (source : SIP, fascicule 1, 1908, p. IX).

Henry Nocq et Albert Vuaflart sont secrétaire et secrétaire-adjoint de la Société d'Iconographie Parisienne. (source : SIP, fascicule 1, 1908, p. VIII).

Henry Nocq et Albert Vuaflart sont amis. Albert Vuaflart écrit dans son travail consacré aux Peintres de l'inondation publié par la Société d'Iconographie Parisienne en 1911 : « Je citerai enfin le saisissant dessin de mon ami Henry Nocq reproduit en tête de cet article » (source : SIP, 1911, p. 82).

Albert Vuaflart suggère à Claude Populus l'écriture du catalogue gravé de Claude Gillot. « M. Populus n'était pas collectionneur : son éclectisme s'y opposait, qui l'invitait à la sélection. Il se complaisait dans l'ambiance d'échantillons choisis du passé artistique, secondé par une soeur aînée qui partageait la plupart de ses préférences. Par exception pourtant, son goût l'avait conduit à la recherche des estampes d'un maître langrois du dessin et de la gravure, Claude Gillot. Albert Vuaflart et la Société pour l'histoire de la gravure française vinrent à savoir la récolte d'estampes et de documents que M. Populus avait faite, et c'est à leur impulsion qu'il écrivit ce beau livre : Claude Gillot (1673-1722), catalogue de l'oeuvre gravé, Paris, 1931, in-4°, 294 pp. et 75 fig. Ainsi étaient divulgués pour la première fois la vie, l'oeuvre, et, doctement commenté, le génie d'un maître qui, au déclin du siècle de Louis XIV, a renouvelé l'art français par ses compositions enjouées et spirituelles (scènes de la vie populaire), et ses créations d'ornemaniste. » (source : Laurent, J. « M. Bernard Populus (1877-1952) ». Bulletin de la Société historique et archéologique de Langres. novembre 1952, p. 128).

Henri Bourin et Albert Vuaflart présentent Henry Mansard de Sagonne à la Société de l'Histoire de l'Art Français en novembre 1907. (source : BSHAF, 1907, p. 95).

Henri Bourin et Albert Vuaflart présentent Henry Mansard de Sagonne à la Société de l'Histoire de l'Art Français en novembre 1907. (source : BSHAF, 1907, p. 95).

Henri Bourin et Albert Vuaflart sont amis et travaillent ensemble à partir du début du XXe siècle. Henri Bourin est l'exécuteur testamentaire d'Albert Vuaflart. (source : Bourin, Henri et Albert Vuaflart, Albert. Les Portraits de Marie-Antoinette : étude d'iconographie critique. Paris : André Marty, 1909-1910 ; Archives de la banque de France, 1514193801/250, dossier n° 1987)

« Henri Bourin et le baron Carl de Vinck, morts à quelques semaines d’intervalle, ont compté tous les deux parmi les amis les amis les plus intimes et les collaborateurs de notre regretté confrère Albert Vuaflart. Le nom du premier est attaché à un remarquable ouvrage en deux volumes sur Les portraits de Marie-Antoinette, archiduchesse et dauphine : modèle d’enquête iconographique minutieuse et presque exhaustive qui fait vivement regretter que les deux savants collaborateurs se soient arrêtés à la date de 1774 et ne nous aient pas donné la suite de leurs recherches sur les portraits de Marie-Antoinette, reine de France. » (source : Réau, Louis. « Discours de M. Louis Réau, président de la Société ». Bulletin de la Société de l’Histoire de l’Art français. 1931, p. 73)

Henri Bourin et Albert Vuaflart présentent le lieutenant Cailliot à la Société de l'histoire de l'art français lors de la séance du 3 mai 1907. (source : BSHAF, 1907, p. 37)

Henri Bourin et Albert Vuaflart présentent Georges Dehesdin à la Société de l'Histoire de l'Art Français lors de la séance du 8 novembre 1907. (source : BSHAF, 1907, p. 94)

Henri Bourin et Albert Vuaflart présentent Georges Richard à la Société de l'Histoire de l'Art Français lors de la séance du 8 novembre 1907. (source : BSHAF, 1907, p. 94)

Edmond Sagot et Alfred Vuaflart entretiennent une correspondance autour du Cabinet des Estampes de la Bibliothèque d'Art et d'Archéologie et de Charles Heyman (source : INHA, Archives 080 boîte 63)

Emile Dacier et Albert Vuaflart présentent Jules Strauss à la Société de l'Histoire de l'Art Français en mai 1923. (source : BSHAF, 1923, p. 73).

Émile Dacier et Albert Vuaflart travaillent sur des sujets proches et cosignent un ouvrage sur les graveurs de Watteau. (source : Dacier, Émile et Vuaflart, Albert. Jean de Jullienne et les graveurs de Watteau au XVIIIe siècle. Paris : Maurice Rousseau, 1921-1929).

Emile Dacier et Albert Vuaflart présentent Jules Strauss à la Société de l'Histoire de l'Art Français en mai 1923. (source : BSHAF, 1923, p. 73).

Albert Vuaflart est secrétaire particulier de Jacques Doucet.

Jacques Doucet et Albert Vuaflart présentent René Ledoux-Lebard à la Société d'Histoire de l'Art Français et la Société d'Iconographie Parisienne à la fin de l'année 1909. (source : BSHAF, 1909, p. 223 ; SIP, 1909, p. V).

Jacques Doucet et Albert Vuaflart présentent Léon Dubrujeaud à la Société d'Iconographie Parisienne lors de la séance du 28 décembre 1908. (source : SIP, 1908, 3e fasc., p. XIII).

Jacques Doucet et Albert Vuaflart présentent Henry Pannier à la Société d'Iconographie Parisienne lors de la séance du 28 décembre 1908. (source : SIP, fascicule 3, 1908, p. XIII).

Henri Vial et Albert Vuaflart sont amis et travaillent ensemble dans le cadre de la Bibliothèque d'art et d'archéologie. « Les bases d'un répertoire des artistes du meuble étaient jetées, quand un mal incurable coucha Henri Vial sur le lit qu'il ne devait quitter qu'avec la mort. Là, éloigné des dépôts d'archives, mais l'esprit toujours actif et passionné, il dépouilla les sources imprimées, et ses amis devinrent ses collaborateurs. MM. Ferdinand Caignart, Ernest Coyecque, René Farge, Lucien Lazard, Adrien Marcel, Albert Vuaflart, lui apportaient chaque semaine les documents découverts dans les fonds d'archives. Quelle joie était la sienne quand une trouvaille confirmait ses hypothèses ou lui ouvrait des vues nouvelles ! Henri Vial mourut, le 15 janvier 1909, laissant plusieurs milliers de fiches individuelles, complétement rédigées, qu'il léguait, ainsi que ses papiers, à la Bibliothèque d'Art et d'Archéologie. Les dernières heures de cet érudit si modeste et si dévoué ont été adoucies par la promesse qui lui fut faite de terminer et de publier son oeuvre. » (source : Doucet, Jacques. « In Memoriam ». Les artistes décorateurs du bois. tome I, Paris : Bibliothèque d'art et d'archéologie, 1912, p. 10).

Albert Vuaflart emploie Jeanne Duportal pour copier une partie du manuscrit Les Portraits de Marie-Antoinette. (source : BINHA, Ms 380).

Albert Vuaflart est chargé par Jacques Doucet de l'édition d'Amour et correspond avec André Suarès. Il publie son essai sur La Bièvre. (source : BLJD, lA V 3, 6999 (67) ; Devau, Alfred, Huysmans, Joris-Karl et Mithouard, Adrien. La Bièvre avec une critique et un portrait par André Suarès ; et cinq paysages gravés sur bois de Alfred Latour. Paris : Société Gilles Corrozet, 1922).

Carl de Vinck et Albert Vuaflart se connaissent depuis les premières années du XXe siècle. Albert Vuaflart aide à négocier le don de la collection de son ami à la Bibliothèque nationale (source : Vinck, Carl de. "Préface". Bruel, François-Louis. Collection de Vinck : inventaire analytique. Tome Ier : Ancien Régime. Paris : Imprimerie nationale, 1909, p. XII). Ils écrivent ensemble (Vinck, Carl de et Vuaflart, Albert. La Place de l’Institut, sa Galerie marchande des Quatre-Nations et ses Etalages d’estampes : 1660-1880. Paris : Maurice Rousseau, 1928.) ; Carl de Vinck rend hommage à Albert Vuaflart à sa mort.

Carl de Vinck est présenté à la Société de l'Histoire de l'Art Français par Paul-André Lemoisne et Albert Vuaflart lors de la séance du 1er février 1907. (source : BSHAF, 1907, p. 22).

Albert Vuaflart et Georges Wildenstein sont amis. « Merci de m'avoir envoyé l'acte de mariage de Louis Moreau ; je pensais le faire connaître à un ami, M. Georges Wildenstein, mais je suis arrivé trop tard. » (source : BHVP, Papiers René Farge, ms 1682, tome 3, pièce 438 : lettre d'Albert Vuaflart à René Farge du 11 janvier 1923).

Paul Lacombe et Alexandre Vidier présentent Albert Vuaflart à la Société d'Histoire de Paris et de l'Île-de-France lors du Conseil d'Administration du 13 janvier 1903 (source : BSHPIDF, 1903, p. 31).

Paul Lacombe et Albert Vuaflart présentent Gustave de Ridder à la Société d'Iconographie Parisienne lors de la séance du 25 mai 1908. (source : SIP, 1908, 3e fasc, p. XI).

Paul Lacombe et Albert Vuaflart présentent Victor Pagès à la Société d'Iconographie Parisienne lors de la séance du 29 juin 1908. (source : SIP, fascicule 3, 1908, p. XII).

Paul Lacombe et Alexandre Vidier présentent Albert Vuaflart à la Société d'Histoire de Paris et de l'Île-de-France lors du Conseil d'Administration du 13 janvier 1903 (source : BSHPIDF, 1903, p. 31).

Albert Vuaflart et Nathanaël Weiss cosignent un article dans le Bulletin de la Société de l'histoire du Protestantisme français en 1905. (source : Vuaflart, Albert et Weiss,Nathanaël. « Le Cimetière parisien des protestants étrangers et la sépulture de John Paul Jones ». Bulletin de la Société de l'histoire du Protestantisme français. LIVe année, 3e, 5e série, septembre-octobre 1905, p. 457-475).

Maurice Fenaille et Albert Vuaflart se côtoient notamment dans le cadre de la Société d'Étude de la Gravure française. (source : Annuaire de la Gravure française. 1913-1914).

Jacques Doucet et Albert Vuaflart présentent René Ledoux-Lebard à la Société d'Histoire de l'Art Français et la Société d'Iconographie Parisienne à la fin de l'année 1909. (source : BSHAF, 1909, p. 223 ; SIP, 1909, p. V).

René Ledoux-Lebard et Alfred Vuaflart sont amis et projettent d'écrire ensemble un ouvrage sur l'estampe en couleurs. « C'est à Jacques-Christophe Le Blon, né à Francfort-sur-le-Mein en mai 1667, que nous sommes redevables de l'invention de la gravure en couleurs. Nous ne pouvons songer à donner ici ne fût-ce qu'un aperçu de la vie si mouvementée et si curieuse, non plus que de l'oeuvre peint et gravé de cet extraordinaire précurseur sur lequel nous préparons, notre éminent ami M. Albert Vuaflart et nous-même, une monographie en vue de laquelle nous avons, depuis plusieurs années, recueilli une quantité de matériaux inédits. » (source : Ledoux-Lebard, René. « La gravure en couleurs dans l'illustration des ouvrages médicaux depuis les origines jusqu'à 1800 ». Bulletin de la Société française d'histoire de la médecine. t. XI, 1912, p. 173).

Pierre de Nolhac et Albert Vuaflart entretiennent une correspondance au sujet des représentations de Marie-Antoinette. (source : BINHA, Ms 380).

Paul Hildenfinger et Albert Vuaflart présentent Jacques Mayer à la Société d'Iconographie Parisienne lors de la séance du 29 juin 1908. (source : SIP, fascicule 3, 1908, p. XII).

Albert Vuaflart suggère à Paul Hildenfinger son travail sur les Juifs à Paris au XVIIIe siècle. (source : Paul Hildenfinger. Documents sur les Juifs à Paris au XVIIIe siècle : Actes d'inhumation et scellés. Paris : Chez E. Champion, 1913, p. 47).

Paul Hildenfinger et Albert Vuaflart présentent Jacques Mayer à la Société d'Iconographie Parisienne lors de la séance du 29 juin 1908. (source : SIP, fascicule 3, 1908, p. XII).

Jacques Mayer et Albert Vuaflart présentent René Gimpel à la SIP lors de la séance du 27 novembre 1908 ; Gimpel évoque Vuaflart dans ses mémoires. (source : SIP, 1908, 3e fasc., p. XIII ; Gimpel, Gimpel. Journal d’un collectionneur : marchand de tableaux. Paris : Calmann-Lévy, 1963, p. 138-139 ; 148.).

Jacques Mayer et Albert Vuaflart se côtoient dans le cadre de la Bibliothèque d'art et d'archéologie et de plusieurs sociétés savantes et sont amis. Vuaflart écrit au sujet de Mayer à son décès : « Il était mon ami sincère, dévoué et parfaitement courtois ; ensemble, nous avons combattu pour la bonne cause de l’érudition. » (source : Vuaflart, Albert. « En mémoire de Jacques Mayer ». Gil Blas. 28 août 1913, p. 4)

Carl de Vinck est présenté à la Société de l'Histoire de l'Art Français par Paul-André Lemoisne et Albert Vuaflart lors de la séance du 1er février 1907. (source : BSHAF, 1907, p. 22).

Albert Vuaflart est présenté par Paul-André Lemoisne et Henri Stein à la Société de l'Histoire de l'Art Français lors de la séance du 1er mars 1907. (source : BSHAF, 1907, p. 15).

Paul-André Lemoisne et Albert Vuaflart présentent Cyrille Gabillot à la Société d'Histoire de l'Art Français en novembre 1907. (source : BSHAF, 1907, p. 95).

André Marty et Albert Vuaflart travaillent ensemble dans le cadre de l'édition de plusieurs ouvrages. (source : Bourin, Henri et Vuaflart, Albert. Les Portraits de Marie-Antoinette : étude d'iconographie critique. Paris : André Marty, 1909-1910).

André Marty et Albert Vuaflart présentent Jean Paillard à la Société d'Iconographie Parisienne lors de la séance du 30 mars 1908. (source : SIP, fascicule 1, 1908, p. VIII).

André Marty et Albert Vuaflart présentent Jean Paillard à la Société d'Iconographie Parisienne lors de la séance du 30 mars 1908. (source : SIP, fascicule 1, 1908, p. VIII).

Pierre Gatier, Jean Paillard et Albert Vuaflart sont amis et ont des projets de publication. Le 17 décembre 1913, Vuaflart écrit à Gatier : « Paillard doit aller vous voir au sujet du livre futur. J'en ai causé avec lui et nous avons déjà mis sur pied une formule nouvelle, peu coûteuse et séduisante. Mais, à notre avis, il faut écarter la gravure comme trop coûteuse. » Le 19 janvier 1915, Vuaflart écrit à Gatier : « Bourin à Epinal, Gravereaux aux environs d'Arras, mais franchement mauvaises [nouvelles] de notre cher ami Jean Paillard. Engagé volontaire il est parti le 1er septembre, plein d'ardeur, pour se battre à la bataille de la Marne. Depuis, personne n'a eu de ses nouvelles et j'ai bien peur pour lui. Pauvre ami, charmant et loyal, nous garderons pieusement son souvenir. » (source : Archives familiales Gatier).

Albert Vuaflart édite le Carnet de route d'un aumônier de cavalerie d'Antoine Poidebard, "composé en caractère français Tory-Garamont par Frazier-Soye, maître typographe à Paris", "achevé d'imprimer à quatre cents exemplaires le douze avril 1919, l'auteur étant à Bagdad sous la direction de Albert Vuaflart, son ami". (source : Poidebard, Antoine. Carnet de route d'un aumônier de cavalerie : d'Arménie au front français : mai 1914-décembre 1917. Paris : Payot et Cie, 1919).

Albert Vuaflart publie les travaux sur les images des confréries parisiennes de l'abbé Jean Gaston dans le cadre de la Société d'Iconographie Parisienne. « Aussi bien devons-nous une gratitude particulière à M. Albert Vuaflart, le très-actif et très-dévoué secrétaire-adjoint de la Société d'Iconographie Parisienne, à qui revient toute l'initiative de la publication de notre travail par les soins de cette Société et qui a bien voulu suivre de très-près l'exécution matérielle de ce volume. » (source : Gaston, Jean (abbé). Les Images des Confréries Parisiennes avant la Révolution. Paris : André Marty, 1910, p. LVI).

Lucien Lazard et Albert Vuaflart échangent à propos de leurs travaux. Vuaflart suggère à Coyecque de s'appuyer sur Lazard pour réaliser des compte-rendu d'exposition. (source : BINHA, Ms 380, 11 octobre 1907, lettre d'Albert Vuaflart à Henri Bourin ; AN, 162/AP/15, 7 mai 1909, lettre d'Albert Vuaflart à Ernest Coyecque).

Maurice Le Garrec et Albert Vuaflart entretiennent une correspondance dans le cadre de la Bibliothèque d'art et d'archéologie en 1918. (source : BINHA, Archives 080, boîte 63, lettres d'Albert Vuaflart à Maurice Le Garrec).

Frits Lugt et Albert Vuaflart effectuent des recherches sur l'estampe ancienne et animent des projets de recherche sur ces sujets.

Adrien Marcel et Albert Vuaflart correspondent et travaillent ensemble. (source : Marcel, Adrien. Aubert d'Avignon, Joaillier du Roi et garde des diamants de la couronne (1736-1785). 2e série, tome XIX, 1919, p. 106).

Albert Vuaflart est présenté par Paul-André Lemoisne et Henri Stein à la Société de l'Histoire de l'Art Français lors de la séance du 1er mars 1907. (source : BSHAF, 1907, p. 15).

Albert Vuaflart renseigne et conseille Alfassa pour son travail sur L'Enseigne de Gersaint présenté à la Société de l'Histoire de l'Art Français. (source : Alfassa, Paul. L'Enseigne de Gersaint. Paris : Jean Schemit, 1910, p. 7 et 11).

Ernest Coyecque et Albert Vuaflart travaillent ensemble à plusieurs reprises à partir du début du XXe siècle et entretiennent des relations d'amitié. Ernest Coyecque consulte Albert Vuaflart à propos de la réorganisation des archives notariales (source : AN, 162/AP/11, 8 mars 1904 ; 162/AP/12, 30 juin 1921). Albert Vuaflart organise une rencontre entre Ernest Coyecque et Jacques Doucet à propos d'un répertoire archéologique (source : AN, 162/AP/23 , 3 octobre 1908). Albert Vuaflart charge Ernest Coyecque de la critique des expositions pour la Société d'Iconographie Parisienne en mettant à sa disposition une équipe constituée de Henri Bourin, Etienne Deville, Henri Gravereaux, Lucien Lazard et Jacques Mayer (source : AN, 162/AP/15). Albert Vuaflart confie à Ernest Coyecque des travaux de recherche en archives sur l'entourage de Watteau (source : AN/162/AP).

Paul Lacombe et Albert Vuaflart présentent Gustave de Ridder à la Société d'Iconographie Parisienne lors de la séance du 25 mai 1908. (source : SIP, 1908, 3e fasc, p. XI).

Jacques Doucet et Albert Vuaflart présentent Léon Dubrujeaud à la Société d'Iconographie Parisienne lors de la séance du 28 décembre 1908. (source : SIP, 1908, 3e fasc., p. XIII).

Albert Vuaflart recommande René Farge pour des travaux dans le cadre de la Société d'Iconographie Parisienne ; il l'emploie René Farge pour des recherches en archives sur Watteau et son entourage. (source : AN, 162/AP/15 ; BHVP, Ms 1682).

Paul-André Lemoisne et Albert Vuaflart présentent Cyrille Gabillot à la Société d'Histoire de l'Art Français en novembre 1907. (source : BSHAF, 1907, p. 95).

Jacques Mayer et Albert Vuaflart présentent René Gimpel à la SIP lors de la séance du 27 novembre 1908 ; Gimpel évoque Vuaflart dans ses mémoires. (source : SIP, 1908, 3e fasc., p. XIII ; Gimpel, Gimpel. Journal d’un collectionneur : marchand de tableaux. Paris : Calmann-Lévy, 1963, p. 138-139 ; 148.).

Albert Vuaflart fournit à René Hennequin des renseignements dans le cadre de son travail sur le physionotrace. (source : René Hennequin. Edme Quenedey, des Riceys (Aube), Portraitiste au Physionotrace. Troyes : Société académique du département de l'Aube, 1926, p. 8).

Paul Lacombe et Albert Vuaflart présentent Victor Pagès à la Société d'Iconographie Parisienne lors de la séance du 29 juin 1908. (source : SIP, fascicule 3, 1908, p. XII).

Jacques Doucet et Albert Vuaflart présentent Henry Pannier à la Société d'Iconographie Parisienne lors de la séance du 28 décembre 1908. (source : SIP, fascicule 3, 1908, p. XIII).

Henry Marcel et Albert Vuaflart présentent Charles Saunier à la Société de l'Histoire de l'Art Français en novembre 1907. (source : BSHAF, 1908, p. 13).

Henri Masson et Léo Mouton présentent Albert Vuaflart à la Société historique du VIe arrondissement de Paris en 1905. « Vuaflart, Albert. attaché à la Banque de France, rue Gassendi, 15, présenté par MM. Henri Masson et Léo Mouton. » (source : BSHSAP, 1905, p. 153).

Henri Masson et Léo Mouton présentent Albert Vuaflart à la Société historique du VIe arrondissement de Paris en 1905. « Vuaflart, Albert. attaché à la Banque de France, rue Gassendi, 15, présenté par MM. Henri Masson et Léo Mouton. » (source : BSHSAP, 1905, p. 153).

Henri Bourin et Albert Vuaflart présentent le lieutenant Cailliot à la Société de l'histoire de l'art français lors de la séance du 3 mai 1907. (source : BSHAF, 1907, p. 37)

Henri Bourin et Albert Vuaflart présentent Georges Dehesdin à la Société de l'Histoire de l'Art Français lors de la séance du 8 novembre 1907. (source : BSHAF, 1907, p. 94)

Henri Bourin et Albert Vuaflart présentent Georges Richard à la Société de l'Histoire de l'Art Français lors de la séance du 8 novembre 1907. (source : BSHAF, 1907, p. 94)

Pierre Gatier, Jean Paillard et Albert Vuaflart sont amis et ont des projets de publication. Le 17 décembre 1913, Vuaflart écrit à Gatier : « Paillard doit aller vous voir au sujet du livre futur. J'en ai causé avec lui et nous avons déjà mis sur pied une formule nouvelle, peu coûteuse et séduisante. Mais, à notre avis, il faut écarter la gravure comme trop coûteuse. » Le 19 janvier 1915, Vuaflart écrit à Gatier : « Bourin à Epinal, Gravereaux aux environs d'Arras, mais franchement mauvaises [nouvelles] de notre cher ami Jean Paillard. Engagé volontaire il est parti le 1er septembre, plein d'ardeur, pour se battre à la bataille de la Marne. Depuis, personne n'a eu de ses nouvelles et j'ai bien peur pour lui. Pauvre ami, charmant et loyal, nous garderons pieusement son souvenir. » (source : Archives familiales Gatier).

Pierre Gatier et Albert Vuaflart se fréquentent dans le cadre de la Bibliothèque d'art et d'archéologie, de la Société d'Iconographie parisienne et de la Société pour l’Étude de la gravure française. Albert Vuaflart incite Pierre Gatier à rédiger des traités techniques sur l'estampe.

(source : Gatier, Félix. Pierre Gatier : 1878-1944 : catalogue raisonné de l’œuvre gravé. Dijon : L’Échelle de Jacob, 2004)

Lucien Lemaire fréquente Albert Vuaflart à la Bibliothèque d'art et d'archéologie et lui fournit documents et renseignements ; « M. Vuaflart, le distingué conservateur de la bibliothèque d’art et d’archéologie de M. Doucet, à Paris » est cité parmi les « collaborateurs précieux, auxquels [Lemaire se plaît] à rendre un juste hommage » (source : Lemaire, Lucien. Histoire documentaire : Autissier : miniaturiste : 1772-1830. Lille : Imprimerie de L. Danel, 1912, p. 10-11)