Laran, Jean

(source : BSHAF, 1910, p. 199 ; BSHAF, 1919, p. 282)

Marcel Aubert est présenté à la Société de l'Histoire de l'Art Français par Jean Laran et Paul-André Lemoisne lors de la séance du 4 novembre 1910. (source : BSHAF, 1910, p. 321).

Jean Laran et Paul-André Lemoisne sont amis et travaillent ensemble au Cabinet des Estampes de la Bibliothèque nationale. « Il avait repris le chemin du Cabinet des Estampes, où toute sa carrière s'était écoulée avec François Courboin d'abord, puis avec Paul-André Lemoisne, à qui une amitié profonde l'unissait. » (source : Cain, Julien. « Jean Laran ». Adhémar, Jean (dir.). Inventaire du fonds français après 1800 : tome quatrième : CABANE-CICÉRI. Paris : Bibliothèque nationale, 1949, p. VII). « Vous étiez entouré d'un groupe d'hommes formés par vous, et dont vous obteniez sans peine de grands efforts. Au premier rang, notre cher Jean Laran, je dirai notre admirable Jean Laran, dont la carrière fut belle, droite, unie entre toute, Jean Laran, à qui je dois tant [...]. Lemoisne-Laran, Laran-Lemoisne : c'était là en vérité ce que j'appellerais un couple incomparable, et les habités du Cabinet le savaient bien. Et le savaient aussi les artistes qui avaient fait du Cabinet leur centre et leur confiaient leurs oeuvres et leurs travaux. » (source : BNF, dossier de carrière de Paul-André Lemoisne).

Loÿs Delteil et Jean Laran sont amis et travaillent ensemble. (source : [Laran, Jean]. Catalogue des crayons français du XVIe siècle composant la collection de M. Ch. W*** et dont la vente aura lieu à Paris Galeries Georges Petit le lundi 3 mai 1909 à 2 heures 1/2. Paris : Lair-Dubreuil et Desvouges, 1909). « Nous ne croyons pas pouvoir, enfin, mieux terminer ces pages sur les lithographies de Daumier qu'en donnant, ci-après, l'étude que notre ami, M. Jean Laran, bibliothécaire au Cabinet des Estampes, a bien voulu écrire à la gloire du maître, dont il a eu la joie de classer le superbe oeuvre que possède le Département des Estampes » (source : Delteil, Loÿs. Le peintre-graveur illustré (XIXe et XXe siècles) : tome vingtième : Honoré Daumier (I). Paris : Chez l'Auteur, 1925, [n. p.]).

André Fevret et Jean Laran travaillent à la Bibliothèque nationale. « J'avais entrepris [...] en collaboration avec M. Aug. Boppe [...] une sorte de bibliographie iconographique du Levant. Mais j'ai passé la main à mon collègue Fevret, des Imprimés, qui s'occupe depuis longtemps des Turcs. » (source : BINHA, Autographes 143, 3, 368, lettre de Jean Laran à René-Jean du 10 septembre 1910).

Marc Furcy-Raynaud et Jean Laran présentent Louis Jouby à la Société d'Histoire de l'Art Français lors de la séance du 10 février 1911. (source : BSHAF, 1911, p. 31).

Marc Furcy-Raynaud et Jean Laran présentent Louis Jouby à la Société d'Histoire de l'Art Français lors de la séance du 10 février 1911. (source : BSHAF, 1911, p. 31).

Marcel Aubert est présenté à la Société de l'Histoire de l'Art Français par Jean Laran et Paul-André Lemoisne lors de la séance du 4 novembre 1910. (source : BSHAF, 1910, p. 321).

Marcel Aubert et Jean Laran rédigent la notice nécrologique de François-Louis Bruel parue dans le second tome de l'inventaire de la Collection de Vinck. Tous deux achèvent et publient son travail. (source : Aubert, Marcel, Bruel, François-Louis et Laran, Jean. Un siècle d'histoire de France par l'estampe : 1770-1871 : Collection De Vinck : Inventaire analytique. Tome II - La Constituante. Paris : Imprimerie nationale, 1914). « François-Louis Bruel est mort à trente ans, en 1912, laissant achevées les notices de ce deuxième volume, que ses collègues et amis, MM. Jean Laran et Marcel Aubert, ont reçu mission de mettre au jour. Ils l'ont fait pieusement, et ils ont écrit en tête du livre une préface, qu'on ne peut lire sans émotion, sur leur devancier trop tôt disparu ; ils ont rendu hommage à son savoir et à son activité, ils ont parlé en termes exquis de ses qualités d'esprit et de coeur. » (source : Dacier, Émile. « Bibliothèque nationale. Collection de Vinck. Inventaire analytique, par F.-L. Bruel. Tome II. La Constituante. - Paris, Imp. nationale, in-8°, pl. ». La Revue de l'art ancien et moderne. tome XXXVI, n° 208.juillet 1914, p. 79-80).

Paul Hildenfinger, sous-bibliothcéaire à la Bibliothèque nationale, est témoin lors du mariage de Jean Laran et Zelda Tamarkine le 1er mars 1906 à Paris. (source : AP, 14M 179, acte n° 254).

André Michel est le professeur puis le directeur de thèse de Jean Laran à l'École du Louvre. (source : Bulletin des Musées de France. 1908, p. 32) « Un autre élève de l'École du Louvre, M. Jean Laran, a consacré à la construction, la sculpture et l'histoire d'une église romane du Tarn, Saint-Pierre-de-Burlats, et aux maisons du bord de l'Agout qui faisaient partie de son monastère, une excellente notice - et je souhaite que nous ayons un jour les modestes crédits nécessaires et les moyens - ou qu'un éditeur intelligent et actif nous mettre à même - de créer une Bibliothèque de l'École du Louvre qui assurerait la publication régulière des travaux des élèves et aussi ceux des professeurs ! ». (source : Michel, André. « Causerie artistique : Les médailleurs français ». Journal des débats politiques et littéraires. 11 avril 1905, p. 1). « Aucune étude à ce point de vue, pour le douzième siècle, n'est plus curieuse et plus originale que les recherches sur les proportions dans la statuaire française du douzième siècle, de M. Jean Laran. Ce travail, qui a paru dans la Revue archéologique, et dont un tirage à part vient d'être distribué fut d'abord présenté comme thèse et valut à son auteur, aujourd'hui attaché au cabinet des estampes de la Bibliothèque nationale, le titre d'élève diplômé de l'École du Louvre... Il aurait été publié beaucoup plus tôt, si l'on pouvait trouver, dans le budget de la France, quelques centaines de francs chaque année pour une bibliothèque de l'École du Louvre. Par un savant système de mensurations méthodiques, d'après les moulages du Trocadéro, M. Laran est arrivé à constituer des tableaux comparatifs, du plus grand et instructif intérêt, des proportions dans les différentes écoles et les principaux ateliers du XIIe siècle. On a beaucoup discuté sur la légitimité et l'utilité des mensurations au point de vue des études archéologiques et esthétiques ; il me semble que le travail de M. Laran, dont la prudence égale la sincérité scientifique, apporte un solide argument aux partisans de la méthode. » (source : Michel, André. « Causerie artistique ». Journal des débats politiques et littéraires. 8 mars 1910, p. 1) « Un ancien élève de l'école du Louvre, M. Jean Laran, dans une thèse remarquable, publiée depuis par la Revue archéologique [...] a essayé de déterminer, en prenant comme unité la largeur du visage, ce qu'on pourrait appeler le canon des principaux ateliers du Languedoc, d'Auvergne, de Bourgogne, d'Île de France. » (source : Michel, André. « Causerie artistique : L'Architecture religieuse en France à l'époque romane (troisième et dernier article) ». Journal des débats politiques et littéraires. 10 septembre 1912, p. 1).

Jean Laran et André Michel cosignent une monographie sur Puvis de Chavannes publiée en 1911 dans la collection L'Art de notre temps dirigée par Jean Laran. Laran, Jean et Michel, André. Puvis de Chavannes : 48 planches hors texte accompagnées de notices rédigées par J. Laran et précédées d'une étude biographique et critique par André Michel. Paris : Librairie centrale des beaux-arts, 1911.

André Michel et Jean Laran présentent Henry Tournier à la Société de l'Histoire de l'Art Français lors de la séance du 3 décembre 1909. (source : BSHAF, 1910, p. 223).

Jean Laran et Léon Rosenthal présentent Camille-Georges Picavet à la Société de l'Histoire de l'Art Français lors de la séance du 7 juillet 1911. (source : BSHAF, 1911, p. 285).

Jean Laran et Léon Rosenthal présentent Camille-Georges Picavet à la Société de l'Histoire de l'Art Français lors de la séance du 7 juillet 1911. (source : BSHAF, 1911, p. 285).

François Courboin et Jean Laran présentent Marcel Roux à la Société de l'Histoire de l'Art Français lors de la séance du 9 janvier 1914. (source : BSHAF, 1914, p. 5-6).

François Courboin, Jeanne Cuénod et Jean Laran se connaissent et se fréquentent dans le cadre du Cabinet des Estampes de la Bibliothèque nationale de France. Dans une lettre à Jeanne Cuénod, Lucien Herr écrit : « J'ai rencontré Laran, tu sais, ce gentil garçon qui est aux Estampes. Il était avec un de ses collègues qui s'appelle Courboin. Ils te connaissent bien tous les deux, et Courboin est lié avec les Alexis Forel. Ils m'ont chargé de beaucoup de compliments pour toi. » (source : BnF, Ms, NAF 28731, Boîte 3, Pièce 122, lettre de Lucien Herr à Jeanne Cuénod du 27 octobre 1912).

François Courboin et Jean Laran travaillent ensemble au Cabinet des Estampes de la Bibliothèque nationale. (source : Cain, Julien. « Jean Laran ». Adhémar, Jean (dir.). Inventaire du fonds français après 1800 : tome quatrième : CABANE-CICÉRI. Paris : Bibliothèque nationale, 1949, p. VII).

François Courboin et Jean Laran présentent Marcel Roux à la Société de l'Histoire de l'Art Français lors de la séance du 9 janvier 1914. (source : BSHAF, 1914, p. 5-6).

Louis Hourticq, Jean Laran et Georges Le Bas cosignent une monographie sur Manet dans la collection L'Art de notre temps dirigée par Jean Laran. (source : Hourticq, Louis, Laran, Jean et Le Bas, Georges. Manet : 48 planches hors texte accompagnées de 48 notices rédigées par Jean Laran et Georges Le Bas. Introduction de Louis Hourticq. Paris : Librairie centrale des beaux-arts, 1911).

Louis Hourticq, Jean Laran et Georges Le Bas cosignent une monographie sur Manet dans la collection L'Art de notre temps dirigée par Jean Laran. (source : Hourticq, Louis, Laran, Jean et Le Bas, Georges. Manet : 48 planches hors texte accompagnées de 48 notices rédigées par Jean Laran et Georges Le Bas. Introduction de Louis Hourticq. Paris : Librairie centrale des beaux-arts, 1911).

Jean Laran, Georges Le Bas et Paul Vitry cosignent une monographie sur Carpeaux publiée en 1912 dans la collection L'Art de notre temps dirigée par Jean Laran. (source : Laran, Jean, Le Bas, Georges et Vitry, Paul. Carpeaux : 48 planches hors texte accompagnées de 48 notices rédigées par Jean Laran et Georges Le Bas et précédées d'une introduction de Paul Vitry. Paris : Librairie centrale des Beaux-Arts, 1912).

Jean Laran, Georges Le Bas et Paul Vitry cosignent une monographie sur Carpeaux publiée en 1912 dans la collection L'Art de notre temps dirigée par Jean Laran. (source : Laran, Jean, Le Bas, Georges et Vitry, Paul. Carpeaux : 48 planches hors texte accompagnées de 48 notices rédigées par Jean Laran et Georges Le Bas et précédées d'une introduction de Paul Vitry. Paris : Librairie centrale des Beaux-Arts, 1912).

Albert Crémieux et Jean Laran cosignent une monographie sur Daubigny publiée en 1913 dans la collection L'Art de notre temps dirigée par Jean Laran. (source : Crémieux, Albert et Laran, Jean. Daubigny : 48 planches hors texte accompagnées de 48 notices rédigées avec la collaboration d'Albert Crémieux et précédées d'une introduction biographique et critique par Jean Laran. Paris : Librairie centrale des Beaux-Arts, 1913).

Léon Deshairs et Jean Laran cosignent une monographie sur Gustave Moreau publiée en 1913 dans la collection L'Art de notre temps dirigée par Jean Laran. (source : Deshairs, Léon et Laran, Jean. Gustave Moreau : 48 planches hors-texte accompagnées de 48 notices rédigées par Jean Laran et précédées d'une introduction de Léon Deshairs. Paris : Librairie centrale des Beaux-Arts, 1913).

François Courboin, Jeanne Cuénod et Jean Laran se connaissent et se fréquentent dans le cadre du Cabinet des Estampes de la Bibliothèque nationale de France. Dans une lettre à Jeanne Cuénod, Lucien Herr écrit : « J'ai rencontré Laran, tu sais, ce gentil garçon qui est aux Estampes. Il était avec un de ses collègues qui s'appelle Courboin. Ils te connaissent bien tous les deux, et Courboin est lié avec les Alexis Forel. Ils m'ont chargé de beaucoup de compliments pour toi. » (source : BnF, Ms, NAF 28731, Boîte 3, Pièce 122, lettre de Lucien Herr à Jeanne Cuénod du 27 octobre 1912).

Marcel Aubert et Jean Laran rédigent la notice nécrologique de François-Louis Bruel parue dans le second tome de l'inventaire de la Collection de Vinck. Tous deux achèvent et publient son travail. (source : Aubert, Marcel, Bruel, François-Louis et Laran, Jean. Un siècle d'histoire de France par l'estampe : 1770-1871 : Collection De Vinck : Inventaire analytique. Tome II - La Constituante. Paris : Imprimerie nationale, 1914). « François-Louis Bruel est mort à trente ans, en 1912, laissant achevées les notices de ce deuxième volume, que ses collègues et amis, MM. Jean Laran et Marcel Aubert, ont reçu mission de mettre au jour. Ils l'ont fait pieusement, et ils ont écrit en tête du livre une préface, qu'on ne peut lire sans émotion, sur leur devancier trop tôt disparu ; ils ont rendu hommage à son savoir et à son activité, ils ont parlé en termes exquis de ses qualités d'esprit et de coeur. » (source : Dacier, Émile. « Bibliothèque nationale. Collection de Vinck. Inventaire analytique, par F.-L. Bruel. Tome II. La Constituante. - Paris, Imp. nationale, in-8°, pl. ». La Revue de l'art ancien et moderne. tome XXXVI, n° 208.juillet 1914, p. 79-80).

Auguste Boppe et Jean Laran présentent Gaston Auboyneau à la Société d'Histoire de l'Art Français lors de la séance du 3 décembre 1909. (source : BSHAF, 1910, p. 223).

Auguste Boppe et Jean Laran présentent Gaston Auboyneau à la Société d'Histoire de l'Art Français lors de la séance du 3 décembre 1909. (source : BSHAF, 1910, p. 223).

Auguste Boppe et Jean Laran sont amis ; ils travaillent ensemble à une bibliographie du Levant vers 1909. « J'avais entrepris [...] en collaboration avec M. Aug. Boppe [...] une sorte de bibliographie iconographique du Levant. » (source : BINHA, Autographes 143, 3, 368, lettre de Jean Laran à René-Jean du 3 septembre 1910).

Auguste Bonnet, peintre âgé de 40 ans, est témoin lors du mariage de Jean Laran et Zelda Tamarkine le 1er mars 1906. (source : AP, 14M 179, acte n° 254).

Julien Cain est recommandé par Émile Bertaux à Jean Laran. « Les anciens visiteurs du Cabinet des Estampes retrouvaient Jean Laran inchangé ; je puis, moi aussi, en porter témoignage, puisqu'il voulut bien m'accueillir il y a maintenant trente-cinq ans, quand je lui fus adressé par mon maître Émile Bertaux, m'initier à l'usage de ses collections, me confier même la rédaction d'un volume dans la série de monographies qu'il dirigeait. » (source : Cain, Julien. « Jean Laran ». Adhémar, Jean (dir.). Inventaire du fonds français après 1800 : tome quatrième : CABANE-CICÉRI. Paris : Bibliothèque nationale, 1949, p. VIII).

Julien Cain est recommandé par Émile Bertaux à Jean Laran. « Les anciens visiteurs du Cabinet des Estampes retrouvaient Jean Laran inchangé ; je puis, moi aussi, en porter témoignage, puisqu'il voulut bien m'accueillir il y a maintenant trente-cinq ans, quand je lui fus adressé par mon maître Émile Bertaux, m'initier à l'usage de ses collections, me confier même la rédaction d'un volume dans la série de monographies qu'il dirigeait. » (source : Cain, Julien. « Jean Laran ». Adhémar, Jean (dir.). Inventaire du fonds français après 1800 : tome quatrième : CABANE-CICÉRI. Paris : Bibliothèque nationale, 1949, p. VIII).

Jean Laran et René-Jean sont amis. « Mon cher ami » (source : BINHA, Autographes 143, 3, 368, lettre de Jean Laran à René-Jean du 3 septembre 1910).

André Michel et Jean Laran présentent Henry Tournier à la Société de l'Histoire de l'Art Français lors de la séance du 3 décembre 1909. (source : BSHAF, 1910, p. 223).

Léonce Bénédite, Philippe Gaston-Dreyfus et Jean Laran cosignent une monographie sur Courbet, publiée en 1911 dans la collection L'Art de notre temps dirigée par Jean Laran. (source : Bénédite, Léonce, Gaston-Dreyfus, Philippe et Laran, Jean. Courbet : 48 planches hors texte accompagnées de 48 notices rédigées par J. Laran et Ph. Gaston-Dreyfus, et précédées d'une étude biographique et critique par Léonce Bénédite. Paris : Jean Gillequin & Cie, 1911).