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Krafft, Hugues

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Publiée
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jnorindr
Dernière modification
02/04/2024 09:56 (il y a 26 jours)
Type de personne
Type de personne : 
Noms
Nom : 
Krafft
Prénom : 
Hugues
Sexe : 
Nationalité : 
Nom : 
Krafft
Prénom : 
Chrétien Pierre Guillaume Hugues
Qualificatif : 
Naissance et mort
Date de naissance : 
1 décembre 1853
Lieu de naissance : 
Date de mort : 
10 mai 1935
Lieu de mort : 
Adresses
Type d'adresse : 
Date de l'adresse : 
1877 - 1882
Adresse : 

5 avenue Velasquez

Code postal : 
75008
Ville : 
Type d'adresse : 
Date de l'adresse : 
1882 - 1890
Adresse : 

84 boulevard Malesherbes

Code postal : 
75017
Ville : 
Type d'adresse : 
Date de l'adresse : 
1890 - 1900
Adresse : 

1 rue Bayard

Code postal : 
75008
Ville : 
Professions / activités
Type de profession / activité : 
Biographie
Commentaire biographique : 

Un grand bourgeois rentier

Né le 1er décembre 1853 à Paris au 1, rue de Rivoli, Hugues Krafft est l’aîné d’une riche famille bourgeoise d’origine allemande. Le 3 juin 1852 à Francfort, son père Guillaume Hugues Krafft (1804-1877), voyageur de commerce puis associé de Louis Roederer (1809-1870), épouse Maria Elisabeth Emma Mumm (1828-1880), cousine du fondateur de la prestigieuse maison de champagne. Élevé dans la foi protestante, le jeune Hugues entre en 1860 au petit lycée de Reims, ville où sa famille s’est installée en 1855 à proximité des caves des établissements Roederer (SAVR, s.c.). Cette même année, son père acquiert dans la campagne marnaise le château de Toussicourt (SAVR, s.c.). Bien qu’inscrit de 1865 à 1875 au lycée de Reims, Hugues poursuit une scolarité chaotique contrariée pour raisons de santé et perturbée par de nombreux séjours à l’étranger et par la guerre franco-prussienne : la famille se réfugie à Boulogne-sur-Mer. De 1873 à 1874, il perfectionne son anglais à Eton outre-Manche. À son retour, il s’engage dans l’armée française au 3e régiment de génie à Arras de 1875 à 1876. Il est alors embauché comme caviste chez Roederer jusqu’en 1877, année de la mort de son père : il devient l’héritier d'une immense fortune qui lui permet de vivre ses passions pour l’art et les voyages. Il embrasse alors une vie de rentier à Paris : en 1879 notamment, il est admis au Cercle de l’Union artistique qui permet de rapprocher les hommes du monde avec les artistes.

Un voyageur photographe

Après la mort de sa mère en 1880, il entreprend l’année suivante en compagnie de son frère, Édouard-Hermann, et de deux amis, Louis Borchard et Charles Kessler, un tour du monde. Du 31 octobre 1881 à mars 1883, calquant leur itinéraire sur le Tour du monde en 80 jours de Jules Verne, ils visitent l’Égypte, les Indes, l’île de Ceylan, la Cochinchine, l’île de Java, la Chine (Hong Kong, Canton, Macao, Shanghai et Pékin) et le Japon, puis ils traversent le Pacifique (Honolulu) vers les États-Unis avant de regagner le Vieux Continent. Pour Hugues Krafft, le clou du voyage reste le Japon qui le fascine tant pour ses paysages que pour sa civilisation. Du 13 août à novembre 1882, il s’installe avec ses compagnons à Yokohama, point de départ d’une excursion d’un millier de kilomètres empruntant les deux grandes routes reliant Tokyo à Kyoto : le Tokaïdo à l’est et le Nakasendo à l’ouest. Les principales villes visitées sont Yokohama, les trois villes du Kansaï (Kyoto, Osaka et Kobé), brièvement Nagasaki et Tokyo, la nouvelle capitale. Après le départ de ses camarades pour l’Amérique du Nord en novembre 1882, Hugues prolonge son séjour jusqu’au 22 mars 1883 pour se consacrer à la photographie et au bibelotage. Il poursuit ses visites entre Tokyo et Yokohama à Nikko, Hakone, Atami, Kamakura, etc. C’est un globe-trotter qui, toute sa vie, assouvit sa passion des voyages et de la photographie (il est membre de la Société française de photographie de 1884 à 1890 et il se déplace avec son appareil photographique à plaque de verre au gélatino-bromure d’argent). Par la suite, il visite la Grèce, l'Italie, la Bavière, le Maghreb (Algérie, Tunisie), l’Égypte, la Palestine, l’Espagne, l’Écosse, l’Autriche, la Bosnie, le Monténégro et la Suède. Il voyage plusieurs fois dans toutes ces destinations pour des raisons touristiques ou thérapeutiques : sa santé fragile le contraint à de nombreuses cures dans des villes thermales européennes essentiellement allemandes et françaises. Il fait partie des voyageurs ayant découvert l’Asie centrale sous domination russe. Une première fois, en mai 1896 : il assiste au couronnement du tsar Nicolas II à Moscou accompagné du baron Joseph Berthelot de Baye (1853-1931), archéologue champenois de ses amis. Krafft le suit dans sa mission archéologique au Tatarstan, puis en Sibérie jusqu’à Ekaterinbourg en juillet 1896. Le 11 août, Krafft poursuit son voyage seul en direction de la Géorgie occidentale via Kiev en Crimée jusque mi-octobre. Deux ans plus tard, il y rejoint de Baye, alors en mission archéologique et ethnographique dans la région, pour un second périple à travers le sud du Caucase (républiques de Géorgie, Arménie et Azerbaïdjan) de début octobre à mi-décembre 1898. Il rallie ensuite seul le Turkestan russe (républiques de Turkménistan, Ouzbékistan, Tadjikistan) qu’il explore durant cinq mois (Samarcande, le Ferghana, Tachkent, Boukhara…) en 1899.

Un défenseur du patrimoine philanthrope

Il devient naturellement membre de nombreuses associations patrimoniales et sociétés de voyageurs : la Société de géographie de Paris devant laquelle il expose ses photographies agrémentées d’objets japonais en décembre 1883 et fait de nombreuses communications comme celle du 4 avril 1884 (SAVR, s.c.) sur son voyage nippon. En 1885, il devient sociétaire de la Société de géographie commerciale de Paris devant laquelle il communique sur le Japon dès le 15 janvier 1884. Le 19 mai 1890 commence sa participation au premier dîner de la Réunion des voyageurs français qui sera suivi de beaucoup d’autres. Il adhère à différents cercles de japonisants comme la Société franco-japonaise de Paris en 1900, année de sa fondation : il en devient membre à vie et occupe régulièrement un des sièges de son conseil d’administration. Il adhère également à l’Association française des amis de l’Orient créée au musée Guimet en 1920. Membre de la Société des amis des monuments parisiens à partir de 1886 et ce jusqu’à sa dissolution au début du XXe siècle, il appartient dès 1891 au Comité composé de de 60 membres nommés par l’assemblée générale en charge d’administrer la société. En 1908, il adhère à la Société française d’archéologie et, le 4 juin 1920, il est élu au sein de la Commission des monuments historiques dans laquelle il s’investit jusqu’en 1933. Depuis 1890, il est membre du conseil d'administration de l’Union centrale des Arts décoratifs (dont il est 2e secrétaire de 1894 à 1898). Il y rencontre l’érudit rémois Ernest Kalas (1861-1928) avec lequel il fonde le 3 février 1909 la Société des amis du vieux Reims (SAVR), dont le siège n’est autre que la demeure de Kalas, l’hôtel Coquebert sis 5, rue Salin, au premier étage duquel est aménagé un appartement pour Krafft, le président-fondateur. L’année suivante, il achète l’hôtel Le Vergeur, 1, rue du Marc, qu'il doit restaurer après les dommages subis par les bombardements allemands lors de la Grande Guerre, afin d'en faire sa résidence et le siège de la SAVR à partir de 1930. Il s’y éteint le 10 mai 1935, à l’âge de quatre-vingt-un ans et lègue à la Société l’hôtel devenu également musée depuis 1932. 

Une personnalité connue et reconnue

Krafft partage sa vie entre ses appartements du Nord-ouest parisien des 8e, 16e et 17e arrondissements, ses propriétés de Loges-en-Josas et Toussicourt ainsi que ses résidences rémoises. Il y reçoit ou est reçu par le Tout Paris littéraire et artistique ainsi que les grands de ce monde (SAVR, s.c.). Sa notoriété et son implication dans les activités artistiques et patrimoniales lui accordent reconnaissance et honneurs : le 30 avril 1886, il est nommé officier d’académie en tant que membre de la Société de géographie de Paris, puis le 9 avril 1903 officier de l’Instruction publique en qualité d’homme de lettres et lauréat de l’Institut (SAVR, s.c.). Le ministre du Commerce l’élève à la dignité de chevalier dans l’ordre de la Légion d’honneur par décret du 29 octobre 1889 à la suite de son investissement dans l’Exposition universelle de Paris de 1889 en tant qu’exposant et secrétaire du comité de la section de l’histoire rétrospective du travail (AN, 19800035/187/24381). Parmi ses nombreuses décorations, citons l’ordre de Danilo I, prince de Monténégro, en 1897 et chevalier de l’ordre de Stanislas le 21 septembre 1901. En 1902, il est nommé membre correspondant de l’Académie nationale de Reims avant d’être élu membre titulaire en 1909 et devenir son président annuel en 1930.

Article rédigé par Emmanuel Dorffer

Commentaire biographique : 

A Great Bourgeois Heir

Born on December 1, 1853 at 1, rue de Rivoli, in Paris, Hugues Krafft was the eldest child in a wealthy bourgeois family of German origin. On June 3, 1852 in Frankfurt, his father Guillaume Hugues Krafft (1804-1877), a traveling salesman then partner of Louis Roederer (1809-1870), married Maria Elisabeth Emma Mumm (1828-1880), cousin of the founder of the prestigious house of champagne. Raised in the Protestant faith, the young Hugues entered the small high school in Reims in 1860, the city where his family had settled in 1855 near the cellars of the Roederer establishments (SAVR, s.c.). That same year, his father acquired the Château de Toussicourt (SAVR, s.c.) in the Marne countryside. Although he was enrolled from 1865 to 1875 at the Lycée de Reims, Hugues had a chaotic schooling which was disrupted for health reasons and disrupted by numerous stays abroad and by the Franco-Prussian war: the family took refuge in Boulogne-sur-Mer. From 1873 to 1874, he perfected his English at Eton in England. On his return, he joined the French army in the 3rd engineer regiment in Arras from 1875 to 1876. He was then hired as a wine merchant by Roederer until 1877, the year of his father's death: he became the heir to an immense fortune which enabled him to live out his passions for art and travel. He then embraced the life of an heir in Paris: in 1879 in particular, he was admitted to the Cercle de l’Union artistique, which brought men of the world in contact with artists.

Photographer-Traveler

The year following his mother’s death in 1880, he launched a world tour with his brother, Édouard-Hermann, and two friends, Louis Borchard and Charles Kessler,. From October 31, 1881 to March 1883, modeling their itinerary on Around the World in 80 Days by Jules Verne, they visited Egypt, the Indies, the island of Ceylon, Cochinchina, island of Java, China (Hong Kong, Canton, Macao, Shanghai and Beijing) and Japan, then crossed the Pacific towards the United States (Honolulu) before returning to the Old Continent. For Hugues Krafft, the highlight of the trip would be Japan, which fascinated him by its landscapes as well as its civilisation. From August 13 to November 1882, he settled with his companions in Yokohama, the starting point for a journey of 1000 kilometres on the two main roads linking Tokyo to Kyoto, the Tokaido to the east and the Nakasendo to the west. The main cities on this excursion were Yokohama, the three cities of Kansai (Kyoto, Osaka and Kobe), Nagasaki, briefly, and Tokyo, the new capital. After his comrades left for North America in November 1882, Hugues extended his stay until March 22, 1883 to devote himself to making photographs and exploring. He continued his travel between Tokyo and Yokohama, visiting Nikko, Hakone, Atami, Kamakura, etc. He was a globetrotter who, throughout his life, would satisfy his passion for travel and photography (he was a member of the Société française de photographie from 1884 to 1890 and traveled with his gelatin-silver bromide glass plate camera). Subsequently, he visited Greece, Italy, Bavaria, the Maghreb (Algeria, Tunisia), Egypt, Palestine, Spain, Scotland, Austria, Bosnia, Montenegro, and Sweden. He traveled several times to all these destinations for tourist or therapeutic reasons: his fragile health forced him to take numerous cures in European spa towns, primarily German and French. He was one of the travellers who explored Central Asia under Russian domination. The first time, in May 1896, he attended the coronation of Tsar Nicolas II in Moscow accompanied by Baron Joseph Berthelot de Baye (1853-1931), an archaeologist from Champagne who was a friend. Krafft would then follow him on his archaeological mission to Tatarstan, then in Siberia to Ekaterinburg in July 1896. On August 11, Krafft continued his journey alone towards Western Georgia via Kiev to the Crimea until mid-October. Two years later, he joined de Baye, then on an archaeological and ethnographic mission in the region, for a second journey through the southern Caucasus (the republics of Georgia, Armenia and Azerbaijan) from early October to mid-December 1898. then joined Russian Turkestan alone (republics of Turkmenistan, Uzbekistan, Tajikistan) which he explored for five months (visiting Samarkand, Ferghana, Tashkent, Bukhara, etc.) in 1899.

Philanthropic Protector of Heritage

Krafft naturally became a member of many heritage associations and travellers' societies, such as the Société de géographie de Paris, where he exhibited photographs embellished with Japanese objects in December 1883 and made numerous presentations such as that of April 4, 1884 (SAVR, sc) about his travel in Japan. In 1885, he became a member of the Société de géographie commerciale de Paris, where on January 15, 1884 he had given a talk about Japan. On May 19, 1890, he participated in his first dinner of the Réunion des voyageurs français which was followed by many others. He joined various circles of japonisants, such as the Société franco-japonaise de Paris in 1900, the year of its foundation: he became a life member and regularly occupied a seat on its board of directors. He also belonged to the Association française des amis de l’Orient created at the Museé Guimet in 1920. A member of the Société des amis des monuments parisiens from 1886 until its dissolution at the beginning of the 20th century, he was from 1891 part of the 60-member administration committee appointed by the general council. In 1908, he joined the Société française d’archéologie and, on June 4, 1920, was elected to the Commission des monuments historiques, in which he remained involved until 1933. Since 1890, he had been a member of the council of administration of the Union centrale des Arts décoratifs (where he was the second secretary from 1894 to 1898). There he met the Reims scholar Ernest Kalas (1861-1928) with whom on February 3, 1909 he founded the Société des amis du vieux Reims (SAVR), whose headquarters were none other than the residence of Kalas, the Hotel Coquebert located at 5, rue Salin, on the first floor of which was an apartment for Krafft, the founding president. The following year, he bought the hotel Le Vergeur, 1, rue du Marc, which he had to restore after the damage suffered by the German bombardments during the Great War, in order to make it his residence and the headquarters of the SAVR from 1930. This is where he died on May 10, 1935, at the age of eighty-one and, left the entire building, which since 1932 had also been a museum, to the society.

A Known and Recognised Personality

Krafft divided his time between his apartments in the northwest of Paris in the 8th, 16th and 17th arrondissements, his properties in Loges-en-Josas and Toussicourt, and his residences in Reims. In all these places he received or was received by the literary and artistic tout Paris as well as major world figures (SAVR, s.c.). His reputation and involvement in cultural and patrimonial activities granted him many recognition and honours: on April 30, 1886, he was appointed an officer of the Academy as a member of the Société de géographie de Paris, then on April 9, 1903, an officer of public education as a man of letters and laureate of the Institute (SAVR, sc). The Minister of Commerce elevated him to the rank of Chevalier in the ordre de la Légion d’honneur by decree of October 29, 1889, following his contribution to the Paris Exposition universelle of 1889 as exhibitor and secretary of the committee of the section on retrospective labor history (AN, 19800035/187/24381). Among his many additional decorations are the Order of Danilo I, Prince of Montenegro, in 1897 and Knight of the Order of Stanislas on September 21, 1901. In 1902, he was appointed corresponding member of the Académie nationale de Reims before being elected a full member in 1909 and becoming its annual president in 1930.

Article by Emmanuel Dorffer (translated by Jennifer Donnelly)

Evénements
Type d'événement : 
Date de l'événement : 
31 octobre 1881 - mars 1883
Lien événement institutionnel : 

Entre le 31 octobre 1881 et mars 1883, Hugues Krafft entreprend un tour du monde dont l'itinéraire est calqué sur le Tour du monde en 80 jours de Jules Vernes.

Type d'événement : 
Lieu de l'événement : 
Lien événement institutionnel : 

Du 13 août au mois de novembre 1882, Krafft réalise une excursion suivant le Tokaido et le Nakasendo, au départ de Yokohama puis rejoignant Tokyo, Nagasaki, Osaka, Kobe, et Kyoto.

Type d'événement : 
Lieu de l'événement : 
Lien événement institutionnel : 

De novembre 1882 à mars 1883, Hugues Krafft prolonge son séjour au Japon pour explorer le Kanto, et notamment Tokyo, Yokohama, Nikko, Hakone, Atami et Kamakura.

Thèmes d'étude
Période étudiée : 
Aire géographique étudiée : 
Secteur fondamental d'étude : 
Commentaire Thèmes d'étude : 

[Objets collectionnés]

Période étudiée : 
Aire géographique étudiée : 
Secteur fondamental d'étude : 
Commentaire Thèmes d'étude : 

[Objets collectionnés] (dynastie Kadjar).

Période étudiée : 
Aire géographique étudiée : 
Secteur fondamental d'étude : 
Technique étudiée : 
Commentaire Thèmes d'étude : 

[Objets collectionnés]

Liens entre personnes
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Commentaire Type de lien horizontal : 

Ayant fait partie des voyageurs découvrant l'Asie sous domination russe, il a assisté en mai 1896 au couronnement du Tsar Nicolas II, en compagnie du baron Joseph Berthelot de Baye (1853-1931) un archéologue champenois de ses amis. (Source : Notice Agorha "Hugues Krafft" rédigée par Emmanuel Dorffer)

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Commentaire Type de lien horizontal : 

Membre du conseil d'administration de l'Union centrale des Arts décoratifs, il fera la rencontre d'Ernest Kalas (1861-1928), un érudit Rémois avec lequel il fondera le 3 février 1909 la Société des Amis du Vieux Reims (SAVR). (Source : Notice Agorha "Hugues Krafft" rédigée par Emmanuel Dorffer)

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Commentaire Type de lien horizontal : 

Au Japon et principalement à Tokyo, il achète auprès de marchands d'art et d'antiquaires de nombreux objets décoratifs. Mais aussi environ 350 photos (souvent complémentaires aux siennes) auprès des studios de Beato Felice (1832-1909), Stillefed&Andersen, ou encore Suzuki Shinichi (1835-1918) à Yokohama. (Source : Notice Agorha "Hugues Krafft" rédigée par Emmanuel Dorffer)

Bibliographies / archives
Type de référence : 
Sources en ligne
Date de consultation : 
29/09/2020
Source
Institut national d'histoire de l'art (France)
Licence
Attribution 4.0 International (CC BY 4.0)
Articles & actualités
Rédacteur
Emmanuel Dorffer