Sichel, Auguste

Les Sichel commercent aussi auprès de nombreux clients, parmi lesquels des collectionneurs de renom comme Charles Ephrussi (1849-1905), Ernest Grandidier (1833-1912), George Salting (1835-1909) (Eudel P., 1885, p. 93-94) et Edmond de Goncourt (1822-1896). (Source : notice Agorha « Philippe Sichel » rédigée par Lucie Chopard)

Ernest Grandidier aurait acheté près de 900 céramiques chinoises et japonaises chez les Sichel. Il a pu s’adresser à l’enseigne d’Auguste Sichel. (Source : Chopard, 2021, vol. 2, p. 161)

Les Sichel commercent aussi auprès de nombreux clients, parmi lesquels des collectionneurs de renom comme Charles Ephrussi (1849-1905), Ernest Grandidier (1833-1912), George Salting (1835-1909) (Eudel P., 1885, p. 93-94) et Edmond de Goncourt (1822-1896). (Source : notice Agorha « Philippe Sichel » rédigée par Lucie Chopard)

Les Sichel commercent aussi auprès de nombreux clients, parmi lesquels des collectionneurs de renom comme Charles Ephrussi (1849-1905), Ernest Grandidier (1833-1912), George Salting (1835-1909) (Eudel P., 1885, p. 93-94) et Edmond de Goncourt (1822-1896). (Source : notice Agorha « Philippe Sichel » rédigée par Lucie Chopard)

Les Sichel commercent aussi auprès de nombreux clients, parmi lesquels des collectionneurs de renom comme Charles Ephrussi (1849-1905), Ernest Grandidier (1833-1912), George Salting (1835-1909) (Eudel P., 1885, p. 93-94) et Edmond de Goncourt (1822-1896). (Source : notice Agorha « Philippe Sichel » rédigée par Lucie Chopard)

L’un des Sichel, peut-être Philippe ou Auguste, reçoit régulièrement le collectionneur de porcelaines chinoises Octave du Sartel (1823-1894) qui vient examiner dans sa boutique les derniers arrivages (Du Sartel O., 1881, p. 145). (Source : notice Agorha « Philippe Sichel » rédigée par Lucie Chopard)

Octave du Sartel indique que l’un des fournisseurs des Sichel est « Ma-Tiem-Pao » (Du Sartel O., 1881, p. 147-148), un antiquaire de Shanghai que l’on peut rapprocher du marchand « Tien-Paô » mentionné à plusieurs reprises par Edmond de Goncourt dans son Journal. (Source : notice Agorha « Philippe Sichel » rédigée par Lucie Chopard)

Deux pièces métalliques achetées par le comte Isaac de Camondo en 1874 et 1875 chez les Sichel sont entrées au Louvre par le biais du legs du collectionneur en 1911 et ont intégré la collection extrême-orientale du musée : il s’agit d’un casque chinois en fer à incrustations d’argent (inv. EO 1591) en 1874 et d’une boîte en fer chinoise (inv. EO 1593). (Source : notice Agorha « Philippe Sichel » rédigée par Lucie Chopard)

Le Journal des frères Goncourt atteste en effet de la présence des Camondo (hélas sans nommer lesquels) à un dîner chez Auguste Sichel (1838-1886) où ils mangent "un potage aux nids d'hirondelles" en compagnie également d'Henri Cernuschi (1821-1896) le jeudi 17 juin 1875. (Source : Notice Agorha "Isaac de Camondo" rédigée par Sophie d'Aigneaux Le Tarnec et Juliette Trey)

L’analyse des spécimens ayant appartenu à De Nittis, répertoriés dans son inventaire après décès et dans des notes rédigées soit par ses soins soit par sa femme (Collection Piero Dini, Italie, Carnets de comptes et des invitations des Nittis), permet d’apporter des précisions sur sa collection d’art chinois et japonais et de déterminer auprès de quels marchands il a fait ses achats (AN, MC/ET/XII/1361). Parmi ces derniers on compte Auguste Sichel (1838-1886), Siegfried Bing (1838-1905), et les maisons Mitsui, 11 rue Saint Georges à Paris, et Farmer & Rogers, Regent Street, à Londres.

(Source : Notice Agorha "Giuseppe de Nittis" rédigée par Manuela Moscatiello)

Dans la collection de Madame Hatty, on y note des boîtes, écritoires ou inro en laque ayant appartenu à Philippe Burty (vente de 1891; lots 1, 2, 26-29), Auguste Sichel (vente de 1886; lot 3, 21, 22, 24), Alphonse Chanton (vente de 1862 ? ; lot 5), L. Joly de Morey (vente de 1897; lot 23) et des « ventes Daigremont et de Jouy » (lot 32 ; un objet ayant passé par une des ventes de Joseph-Honoré-Désiré Daigremont [1790-1866], peut-être par le biais de Henri Barbet de Jouy [1812-1896] et acquis lors de la vente de ce dernier en 1879 ?).

(Source : Notice Agorha "Madame Hatty" rédigée par Elizabeth Emery)