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Régamey, Félix

Statut
Publiée
Contributeur
Dartiguenave, Elisabeth
Dernière modification
17/04/2024 07:22 (il y a 7 mois)
Type de personne
Type de personne : 
Noms
Nom : 
Régamey
Prénom : 
Félix
Sexe : 
Nationalité : 
Commentaire Noms : 

Né suisse, puis naturalisé français

Nom : 
Régamey
Prénom : 
Félix Elie
Qualificatif : 
Naissance et mort
Date de naissance : 
7 août 1844
Lieu de naissance : 
Date de mort : 
5 mai 1907
Lieu de mort : 
Commentaire Lieu de mort : 

Juan-les-Pins

Adresses
Type d'adresse : 
Date de l'adresse : 
1903
Adresse : 

4 rue Coëtlogon

Code postal : 
75006
Ville : 
Type d'adresse : 
Date de l'adresse : 
1903 - 1907
Adresse : 

21 rue du Cherche-Midi

Cedex : 
75006
Ville : 
Professions / activités
Type de profession / activité : 
Type de profession / activité : 
Institution : 
Date d'activité : 
1881
Type de profession / activité : 
Biographie
Commentaire biographique : 

Ni marchand d’art, ni grand collectionneur, Félix Régamey est une figure particulière du japonisme en France. Ce dessinateur, caricaturiste et peintre fut en effet un infatigable passeur de la culture japonaise, d’un enthousiasme exalté peu enclin à la nuance, qui explique sans doute en partie l’oubli dans lequel il est tombé. C’est d’autant plus injuste qu’il fut inscrit dans tous les cercles intellectuels et artistiques de son époque, proche du groupe des Batignolles, plus particulièrement d’Henri Fantin-Latour (1836-1904), ami de Paul Verlaine (1844-1896), qu’il accueillera à Londres lors de son escapade avec Arthur Rimbaud (1854-1891). Vincent Van Gogh (1853-1890) ne tarissait pas d’éloges sur une de ses gravures parue dans Illustrated London news et dans une lettre à Anthon Van Rappard (1858-1892) en juillet 1883. Philippe Burty (1830-1890) salua en lui « un touriste acharné, dessinateur réfléchi, rêveur enivré de logique […] Du japonisme sur toute la ligne ! Mais du japonisme interprété, senti et non copié. »                       

Félix Elie Régamey nait à Paris le 7 août 1844, deuxième d’une fratrie de trois garçons, Guillaume et Frédéric, également devenus dessinateurs et peintres. Leur père, Louis Pierre Guillaume, Suisse d’origine et imprimeur-lithographe, les initie au dessin, avant de les confier à l’École spéciale de dessin et de mathématiques où professe Horace Lecoq de Boisbaudran (1802-1897), auteur d’une méthode de dessin basée l’observation directe et la mémoire. Félix Régamey garda une immense reconnaissance à l’égard de ce professeur attentif au développement individuel de ses élèves, dont il célébra la mémoire en 1903 dans un ouvrage, Horace Lecoq de Boisbaudran et ses élèves. Notes et souvenirs, paru chez H. Champion.

Félix Régamey publie dessins humoristiques et caricatures dans divers journaux et revues, de La Vie parisienne au Journal amusant, Le Boulevard, L’Indépendance parisienne, Les Faits-Divers illustrés… et fonde un éphémère Salut public (un seul numéro en septembre 1870). Il fréquente les dîners des « Vilains bonshommes » et le café Guerbois, repaire de la Bohème artistique réunie autour de Manet et du groupe des Batignolles (Jeancolas C., 2014).

Issu d’une famille très républicaine, il s’engage dans la Légion des amis de la France pour la défense de Paris quand éclate la guerre de 1870. Il fournit des dessins d’actualité à son frère aîné installé en Angleterre en raison de sa santé fragile, qui les fait paraître dans la presse locale. Félix l’y rejoint juste avant la Commune, et s’y installe deux ans avant de rallier les États-Unis. La vie est rude, la compétition intense ; il livre dessins et caricatures, enseigne et met au point un spectacle de conférences dessinées en public qui impressionne grandement son auditoire. Mais cette facilité déconcertante, cette rapidité à croquer et illustrer ses propos contribueront à le desservir, le font passer pour une sorte de bonimenteur de salon.

C’est là qu’Émile Guimet (1936-1918), futur fondateur du musée éponyme, le rejoint en 1876. Guimet projette une longue mission en Asie dans le but d’en étudier les religions ; il propose à Régamey de l’accompagner afin de documenter les contextes pour illustrer à leur retour les lieux et faits marquants de cette enquête scientifique, ainsi que servir d’interprète. Première étape, le Japon, depuis longtemps, intriguait Régamey, qui comme tout le monde à l’époque, s’était entiché d’estampes. Le choc de la découverte de ce pays allait le marquer à jamais : tout était admirable, tout était prétexte à la joie pure. Notes de voyage, lettres et d’innombrables dessins pris sur le vif traduisent la fascination qu’éprouve l’artiste lors des dix semaines d’un voyage qui les mène de Yokohama à Kobe via Tokyo et Kyoto. Comme tous les voyageurs au Japon, ils font des emplettes, Guimet d’objets rituels en vue du musée d’histoire des religions qu’il envisage de créer, avec des estampes et des albums, mais dans une moindre mesure, pour Régamey. Ils rencontrent aussi un artiste encore peu connu en Europe, Kawanabe Kyōsai (1831-1889) ; les deux artistes se livrent à une amicale compétition de dessin, chacun croquant l’autre dans son style, portraits qui figurent parmi les nombreux dessins illustrant le récit de l’aventure japonaise par Émile Guimet, Promenades japonaises en deux tomes parus en 1878 et 1880.

La suite du voyage, de la Chine en pleine déréliction, à l’Inde en passant par le Sri Lanka, est menée tambour battant car le temps presse. Après le trop-plein de délicates émotions nippones, Régamey déteste la Chine, retrouve son esprit caustique en Inde, mais continue de croquer au jour le jour, malgré l’hostilité souvent ombrageuse des foules chinoises ou la nonchalance roublarde de certains interlocuteurs indiens. De retour à Paris après dix mois de périple, les deux hommes se consacrent à leur grand œuvre : Guimet à l’édification d’un musée d’histoire des religions, Régamey à l’exécution d’une quarantaine de toiles imposantes à partir de ses notes et croquis de voyage. Mais surtout, il se révèle en pèlerin infatigable du Japon et de sa culture, alors qu’il professe une sinophobie maniaque. Tout prétexte est bon pour exalter le « vrai » Japon, de sa cinglante réponse à Pierre Loti (1850-1923) dont il déplore la superficialité de sa Madame Chrysanthème, à l’édition illustrée d’une œuvre traduite de Kyokutei Bakin (176-1848), qu’il intitule Okoma, parue en 1883.

Le démon du voyage le taraude toujours ; en 1879 puis 1881, il retourne aux États-Unis pour des missions officielles, sur l’enseignement du dessin dans ce pays pour la première, en délégation à l’occasion du centenaire de la bataille de Yorktown pour la deuxième. L’artiste a beau collaborer avec nombre de périodiques, enchaîner les conférences illustrées, les portraits, faire même l’objet d’un numéro de la revue Les hommes d’aujourd’hui, l’art ne nourrit pas son homme ; il se décide alors à postuler pour un poste de professeur à l’École des arts décoratifs et à l’École d’architecture, puis d’inspecteur de l’enseignement du dessin de la Ville de Paris en 1881. Le Japon, encore et toujours, lui inspire Le Japon pratique (1891) puis, grâce à une mission officielle, Le dessin et son enseignement dans les écoles de Tokio (1899), enfin en 1903 Le Japon en images.

Sociable et curieux de tout, Régamey est membre de nombreuses sociétés, dont on peine parfois à suivre l’enchaînement : Société des amis des monuments parisiens, Société historique du 5e arrondissement de Paris, Société franco-japonaise de Paris dont il est secrétaire général dès la fondation, la Société des traditions populaires, pour laquelle il illustre parfois les invitations aux dîners de « Ma Mère l’Oye », mais également la Société d’hypnologie et de psychologie, qui lui inspire un cours sur la psychosociologie de l’art. Pourtant son activité incessante semble cacher un certain désarroi. Les rapports avec Émile Guimet se dont considérablement distendus, et la collaboration avec le musée s’espace, avec l’illustration des Fêtes annuellement célébrées à Emoui de Jan Jakob de Groot (1854-1921), ou de la conférence d’Émile Guimet sur Le théâtre au Japon (1886). Une cérémonie bouddhique tenue au musée Guimet en 1898 fournit l’occasion d’une dernière œuvre, un pastel délicat représentant le moine Bouriate Agvan Dorjiev (1853-1938) devant un aréopage de messieurs en costumes sombres que rehaussent ces dames en chapeaux à plumes et rubans. Entre temps, les archives du musée révèlent quelques lettres assez pathétiques de Régamey à Guimet, puis au conservateur du musée Léon de Milloué. Il est question des toiles que l’artiste ne sait où entreposer, puis dont il réclame la liste avec insistance. Autre écueil, un mariage sans doute inconsidéré se termine par un divorce au bout de trois ans de mésentente profonde. Mais la cause profonde du désenchantement est certainement que le japonisme a vécu, passé de mode. Reclus dans la cabane qu’il s’est aménagée dans une cour entre deux immeubles du 5e arrondissement, lové dans un minuscule jardin avec ce qu’il faut de lanternes, toriis et arbustes, il évolue dans un fatras de bibelots, estampes et albums.

Les dernières années de Régamey sont à la fois frénétiques et solitaires. Très impliqué dans ses cours, la Société franco-japonaise de Paris, et divers projets de réforme sociale, il trouve encore le temps de créer les costumes d’une Madame Butterfly de Puccini en version française, donnée à l’Opéra-Comique en 1906, inspirée, ironie du sort, de l’ouvrage de Pierre Loti (Ducor J., 2016) ! Sa santé déjà chancelante se dégrade à l’hiver, et il espère l’améliorer au doux air de la Provence ; il meurt à Juan-les-Pins le 5 mai 1907. Son atelier est vendu, ses collections d’estampes, d’albums et objets dispersés, dont un inventaire plus que succinct ne permet pas d’envisager vraiment la valeur. L’artiste d’une sensibilité à fleur de peau, le joyeux compagnon de Bohème, le « fou de Japon ivre de couleurs » disparut peu à peu des mémoires ; ne restent que quelques peintures et centaines de croquis conservés au musée national des arts asiatiques – Guimet, ou éparpillés dans des musées.

Article rédigé par Cristina Cramerotti

Commentaire biographique : 

Neither an art dealer nor a major collector, Félix Régamey nonetheless remains a particular figure in the history of Japonisme in France. This draftsman, caricaturist, and painter was a tireless transmitter of Japanese culture. He possessed an exaggerated enthusiasm not inclined to nuance, which doubtless helps explain the why his reputation eventually fell into oblivion.  This oblivion is unjustified, as he was integrated into the intellectual and artistic circles of his time, close to le groupe des Batignolles, particularly Henri Fantin-Latour (1836-1904), and a friend of Paul Verlaine (1844 -1896), whom he welcomed in London during his getaway with Arthur Rimbaud (1854-1891). Vincent Van Gogh (1853-1890) was full of praise for his engraving that appeared in the Illustrated London News, and in a letter to Anthon Van Rappard (1858-1892) in July 1883, Philippe Burty (1830-1890) lauded him as "a relentless tourist, a thoughtful draftsman, a dreamer intoxicated with logic [...] Japonisme all the way! But Japonisme interpreted, experienced, not merely copied.”

Born in Paris on August 7, 1844, Félix Elie Régamey was the second of three siblings; his brothers Guillaume and Frédéric also became designers and painters. Their father, Louis Pierre Guillaume, of Swiss origin and a printer-lithographer, introduced them to drawing, before sending them to the École spéciale de dessin et de mathématiques, where Horace Lecoq de Boisbaudran (1802-1897), author of a drawing method based on direct observation and memory, was a professor. Félix Régamey remained immensely grateful to this teacher and his attention to the individual development of his students; he honouredhis memory in a 1903 book, Horace Lecoq de Boisbaudran et ses élèves. Notes et souvenirs, published by H. Champion.

Félix Régamey published cartoons and caricatures in various newspapers and magazines, from La Vie parisienne to the Journal amusant, Le Boulevard, L’Indépendance parisienne, and Les Faits-Divers illustrés, and founded the short-lived Salut public (a single issue in September 1870). He frequented the dinners of the "Villains Bonshommes" and the Café Guerbois, a haunt of artistic Bohemians gathered around Manet and the Batignolles group (Jeancolas C., 2014).

Coming from a staunchly republican family, he joined the Légion des amis de la France pour la défense de Paris at the outbreak of the war of 1870. He sent some sketches of current events to his older brother, who was living in England because of his fragile health, and who managed to place them in the local press. Felix joined him just before the Commune and spent two years there before heading to the United States. Life was tough, the competition intense; he delivered drawings and caricatures, taught, and developed a show of publicly illustrated lectures which greatly impressed his audience. But his disconcerting ease, his speed in sketching and illustrating his remarks, in some ways did him a disservice and led him to be perceived as somewhat of a charlatan.

At this point, he joined up with Émile Guimet (1936-1918) in 1876, future founder of the eponymous museum. Guimet had been planning a long mission to Asia with the aim of studying its religions; he invited Régamey along in order to document the settings and to illustrate the places and highlights of this scientific investigation upon their return, as well as to serve as an interpreter. The first stop was Japan, which had long intrigued Régamey, who like everyone at the time was infatuated with prints. The shock of discovering this country would mark him forever: everything was admirable, everything was a pretext for pure joy. Travel notes, letters, and countless drawings taken from life reflect the fascination experiencedby the artist during the ten weeks of a journey that led from Yokohama to Kobe via Tokyo and Kyoto. Like all travellers to Japan, they went shopping: Guimet made purchases, primarily for ritual objects for the museum of the history of religions that he was planning to create, as well as for prints and albums; as did Régamey, to a lesser extent. They met an artist who was still little-known in Europe, Kawanabe Kyōsai (1831-1889); the two artists engaged in a friendly drawing competition, each sketching the other in his style. These portraits are among the many drawings that illustrate Émile Guimet’s account of their Japanese adventure, Promenades japonaises, published in two volumes in 1878 and 1880.

The rest of the trip, from China and on to India via Sri Lanka, was carried out in haste, as time was running short. After his over flow of delicate emotions in Japan, Régamey despised China, rediscovered his caustic spirit in India, but continued to make sketches, despite the often suspicious hostility of the Chinese crowds or the crafty nonchalance of certain Indian interlocutors. Back in Paris after their ten-month journey, the two men devoted themselves to their great work: Guimet established his museum of the history of religions, and Régamey created some 40 imposing paintings based on his travel notes and sketches. Above all, he revealed himself to be a tireless pilgrim of Japan and its culture, while professing a maniacal Sinophobia. Any pretext was enough to exalt the "real" Japan, from a scathing response to Pierre Loti (1850-1923), whose superficiality he deplored in his Madame Chrysanthème, to an illustrated edition of a translated work by Kyokutei Bakin (1776- 1848), which he called Okoma, published in 1883.

But he was still taunted by the travel bug; in 1879 and again in 1881, he returned to the United States for official missions; the first regarding the teaching of drawing in that country, the second as part of the delegation on the centenary of the battle of Yorktown. The artist collaborated with a number of periodicals, gave a series of illustrated conferences, painted portraits, even provided the subject for an issue of the magazine Les hommes d’aujourd’hui, ‘art does not feed the man’. He then decided to apply for a professorship at the École des arts décoratifs and at the École d’architecture, then for inspector of drawing education for the city of Paris in 1881. Japan inspired him endlessly, in Japon pratique (1891) then, thanks to an official mission, Le dessin et son enseignement dans les écoles de Tokio (1899), and finally in 1903 Le Japon en images (1891).

Sociable, and curious about everything, Régamey belonged to many societies, the sequence of which can be difficult to follow: the Société des amis des monuments parisiens; the Société historique du 5e arrondissement de Paris; the Société franco-japonaise de Paris, where he was secretary general since its foundation; the Société des traditions populaires, for which he sometimes illustrated the invitations to the dinners of "Ma Mère l’Oye"; and even the Société d’hypnologie et de psychologie, which inspired him to take a course on the psycho-sociology of art. Yet his incessant activity seems to have concealed a certain disarray. Relations with Émile Guimet became considerably strained, and collaborations with the museum - such as the illustration of the Fêtes annuellement célébrées à Emoui by Jan Jakob de Groot (1854-1921), or the lecture by Émile Guimet on Le théâtre au Japon (1886) - became less frequent. A Buddhist ceremony held at the Musée Guimet in 1898 provided the occasion for a final work, a delicate pastel representing the Buryat monk Agvan Dorjiev (1853-1938) before an assembly of gentlemen in dark suits enhanced by ladies in feathered hats and ribbons. Meanwhile, the museum archives reveal some rather pathetic letters from Régamey to Guimet, then to the curator of the museum Léon de Milloué. It was a matter of canvases that the artist did not know where to store, of which he then demanded the list. Another stumbling block, an arguably ill-considered marriage, ended in divorce after three years of deep disagreement. But the root cause of the disenchantment was certainly that Japonisme had died out, gone out of fashion. He set up a reclusive cabin in a courtyard between two buildings in the 5th arrondissement that was nestled in a tiny garden with plenty of lanterns, toriis and shrubs, where he devolved in a jumble of trinkets, prints, and albums.

Régamey's last years were both frenetic and lonely. He was very involved in his classes, the Société franco-japonaise de Paris, and various social reform projects, and he still found time to create the costumes for a Madame Butterfly by Puccini in the French version, that was given at the Opéra-Comique in 1906, inspired, ironically, by the work of Pierre Loti (Ducor J., 2016). His already failing health deteriorated in the winter; he hoped to improve it in the mild air of Provence, but on May 5, 1907 he died in Juan-les-Pins. His studio was sold, his collections of prints, albums and objects dispersed; their excessively brief inventory does not allow the value to be properly assessed. This artist of sensitive sensitivity, the merry bohemian companion, the "madman of Japan drunk on colours" gradually disappeared from memory; only a few paintings and hundreds of sketches remain in the Musée national des arts asiatiques – Guimet, or scattered in museums.

Article by Cristina Cramerotti (Translated by Jennifer Donnelly)

Evénements
Type d'événement : 
Commentaire Type d'événement : 

Accompagne Émile Guimet en qualité de dessinateur

Date de l'événement : 
1876 - 1877
Lieu de l'événement : 
Thèmes d'étude
Aire géographique étudiée : 
Secteur fondamental d'étude : 
Technique étudiée : 
Commentaire Thèmes d'étude : 

[Objets collectionnés] Huiles sur toile, gravures, dessins

Aire géographique étudiée : 
Secteur fondamental d'étude : 
Technique étudiée : 
Commentaire Thèmes d'étude : 

[Objets collectionnés] Huiles sur toile, gravures, dessins

Période étudiée : 
Aire géographique étudiée : 
Secteur fondamental d'étude : 
Technique étudiée : 
Commentaire Thèmes d'étude : 

[Objets collectionnés] Huiles sur toile, gravures

Liens entre personnes
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Commentaire Type de lien horizontal : 

Félix Régamey étudie à l'École spéciale de dessin et de mathématiques, où il suit les enseignements de Horace Lecoq de Boisbaudran (1802-1897). Il garde par la suite une immense reconnaissance à son égard et célèbre sa mémoire en 1903 dans un ouvrage, Horace Lecoq de Boisbaudran et ses élèves. Notes et souvenirs, paru chez H. Champion. (Source : Notice Agorha "Félix Régamey" rédigée par Cristina Cramerotti)

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En 1876-1877, Félix Régamey accompagne Émile Guimet en qualité de dessinateur, afin de documenter son voyage à travers le Japon, la Chine et l'Inde. (Source : Notice Agorha "Félix Régamey" rédigée par Cristina Cramerotti)

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Félix Régamey illustre Fêtes annuellement célébrées à Emoui, de Jan Jakob de Groot, paru en 1886 chez E. Leroux et dans les Annales du Musée Guimet. (Source : Notice Agorha "Félix Régamey" rédigée par Cristina Cramerotti)

Bibliographies / archives
Sources en ligne
Référence de notice : 
11921371
Date de consultation : 
13/07/2011
Référence de notice : 
500020402
Date de consultation : 
13/07/2011