Skip to main content

Victoire de France

Statut
Publiée
Contributeur
Baudière, Marie
Dernière modification
27/02/2024 16:18 (il y a 10 mois)
Type de personne
Type de personne : 
Noms
Nom : 
Victoire de France
Sexe : 
Nationalité : 
Nom : 
Madame Victoire
Nom : 
France
Prénom : 
Victoire Louise Marie Thérèse de
Naissance et mort
Date de naissance : 
11 mai 1733
Lieu de naissance : 
Date de mort : 
7 juin 1799
Lieu de mort : 
Adresses
Type d'adresse : 
Date de l'adresse : 
1733 - 1791
Adresse : 

Château de Versailles, Place d’Armes

Code postal : 
78000
Ville : 
Type d'adresse : 
Date de l'adresse : 
1738 - 1748
Adresse : 

Abbaye Royale de Fontevrauld

Code postal : 
49590
Type d'adresse : 
Date de l'adresse : 
1775 - 1791
Adresse : 

Château de Bellevue, Place du Président Wilson & Rue Basse de la Terrasse

Code postal : 
92190
Ville : 
Professions / activités
Type de profession / activité : 
Biographie
Commentaire biographique : 

Victoire de France est le septième enfant et la cinquième fille de Louis XV (1710-1774) et de Marie Leszczyńska (1703-1768). Contrairement à ses aînés, Madame Victoire n’est pas élevée ni éduquée à Versailles, mais envoyée, avec ses sœurs cadettes, à l’abbaye de Fontevrault, de juin 1738 jusqu’en 1748. Le cardinal de Fleury (1653-1743), alors principal ministre de Louis XV, estime en effet que le coût de son éducation et de celle de ses sœurs à Versailles aurait été trop élevé. Selon madame Campan (1752-1822), lectrice de Mesdames, il en coûte aux jeunes princesses une éducation insuffisante : « Le cardinal de Fleury, qui, à la vérité, eut le mérite de rétablir les finances, poussa ce système d’économie au point d’obtenir du roi de supprimer la maison et l’éducation des quatre dernières princesses. Elles avaient été élevées, comme simples pensionnaires, dans un couvent, à quatre-vingts lieues de la Cour. [Le cardinal] aima mieux confier l’éducation de Mesdames à des religieuses de province. Madame Louise m’a souvent répété qu’à douze ans elle n’avait point encore parcouru la totalité de son alphabet, et n’avait appris à lire couramment que depuis son retour à Versailles. Madame Victoire attribuait des crises de terreur panique qu’elle n’avait jamais pu vaincre aux violentes frayeurs qu’elle éprouvait à l’abbaye de Fontevrault, toutes les fois qu’on l’envoyait, par pénitence, prier seule dans le caveau où l’on enterrait les religieuses » (Jeanne-Louise-Henriette Campan, Mémoires sur la vie de Marie-Antoinette […] suivis de souvenirs et anecdotes historiques sur les règnes de Louis XIV, de Louis XV et de Louis XVI, Édition Didot Frères, 1849, p. 51).

Le 24 mars 1748, Madame Victoire écrit à son père et obtient la permission de revenir à Versailles. En novembre 1750, elle y est rejointe par ses sœurs Sophie (1734-1782) et Louise (1737-1787). Elles ne vivent pas dans les appartements de Mesdames aînées, mais on leur octroie les appartements de Mesdames cadettes, aux soins de Marie-Angélique-Victoire de Burnonville, duchesse de Duras (1686-1787). Pour améliorer l’éducation médiocre qu’elles ont reçue au couvent, Madame Victoire et ses sœurs s’adonnent, dès leur retour à Versailles, à l’étude : « Elles se livrèrent avec ardeur à l’étude, et y consacrèrent presque tout leur temps ; elles parvinrent à écrire correctement le français et à savoir très bien l’histoire. […] L’italien, l’anglais, les hautes mathématiques, le tour, l’horlogerie, occupèrent successivement les loisirs de ces princesses » (J.-L.-H. Campan, 1849, p. 52). À la suite de son séjour à Versailles, du 24 décembre 1763 au 8 janvier 1764, Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) dédie à Madame Victoire l’opus 1 (K6-7) de ses sonates pour clavier avec accompagnement éventuel au violon, publiées au printemps de 1764.

En raison de son aimable personnalité Madame Victoire est bien reçue à la Cour, comme l’atteste Madame Campan : « Madame Victoire était belle et très gracieuse ; son accueil, son regard, son sourire étaient parfaitement d’accord avec la bonté de son âme » (J.-L.-H. Campan, 1849, p. 52). À la différence de sa sœur Adélaïde, aux manières plus dures, Victoire, « bonne, douce, affable, vivait avec la plus aimable simplicité dans une société qui la chérissait : elle était adorée de sa maison » (J.-L.-H. Campan, 1849, p. 57). En 1753, il lui est proposé d’épouser son beau-frère, le roi Ferdinand VI (1713-1759) d’Espagne, dont la femme, Barbara (1711-1758) de Portugal est gravement malade ; cette dernière survit toutefois et, faute de parti catholique de son rang, Victoire ne se marie pas. Avec le temps, elle prend du poids, et Louis XV la surnomme affectueusement « Coche », pour « petit cochon ».

Madame Victoire suit sa sœur, Madame Adélaïde dans ses intrigues contre Madame de Pompadour (1721-1764) et plus tard contre Madame du Barry (1743-1793). Lorsque Marie-Antoinette (1755-1793) devient la dauphine en 1770 et au cours de ses premières années en France, elle se lie d’amitié avec Mesdames, qui portent à leur neveu, le dauphin Louis, une grande affection. Madame Adélaïde, soutenue par Mesdames Victoire et Sophie, s’attache à gagner Marie-Antoinette à sa cause contre Madame du Barry, encourageant fréquemment la Dauphine à des rebuffades envers la maîtresse du roi. En 1772, cette situation a tendu à ce point les rapports entre le roi et Marie-Antoinette que la mère de celle-ci, l’impératrice Marie-Thérèse (1717-1780) et son ambassadeur, inquiets des conséquences politiques de cette inimitié pour les relations entre la France et l’Autriche, contraignent la dauphine à s’entretenir avec Madame du Barry, ruinant ainsi les intrigues de Madame Adélaïde et mettant un terme à l’amitié entre Mesdames et Marie-Antoinette.

D’avril 1774 à la mort de Louis XV, le 10 mai 1774, Madame Adélaïde et ses sœurs veillent leur père, malade de la variole. Les sœurs contractent la maladie et sont placées en quarantaine près du château de Choisy, puis guérissent. À partir de ce moment, Victoire et sa sœur Adélaïde s’éloignent de la Cour et préfèrent demeurer dans leur château de Bellevue, à Meudon. Après la désagrégation de leurs relations avec Marie-Antoinette, le salon de Mesdames devient le lieu de rencontre des ennemis de la reine ; il est fréquenté par le ministre Maurepas (1701-1781), dont Adélaïde avait soutenu la position, par le prince de Condé (1727-1776) et par le prince de Conti (1717-1776), tous membres du parti anti-autrichien, et Beaumarchais y lit ses satires contre l’Autriche.

Madame Victoire et sa sœur Adélaïde sont présentes à Versailles lorsque les femmes parisiennes marchent sur le château, le 6 octobre 1789, et parmi celles et ceux qui se réfugient dans les appartements du roi la nuit où est attaquée la chambre à coucher de Marie-Antoinette. Lorsque la Cour quitte Versailles pour les Tuileries, leur voiture se sépare du convoi et prend la route du château de Bellevue. Après avoir obtenu leurs passeports pour Rome, Victoire et Adélaïde s’apprêtent à partir, le 3 février 1791. Mais leur intention s’est ébruitée ; le départ prévu provoque des protestations à l’Assemblée nationale et, le 19 février, une foule de femmes se rassemble au Palais-Royal dans le but de marcher sur Bellevue afin d’empêcher Mesdames de quitter le royaume. Elles partent néanmoins le 20 février 1791, mais elles sont à nouveau arrêtées par des manifestations à Moret et détenues quelques jours, à partir du 21 février, à Arnay-le-Duc. À Paris, les protestations contre leur départ reprennent ; les protestataires marchent sur les jardins des Tuileries, demandant au roi le retour de ses tantes. Après un débat à l’Assemblée nationale, il est décidé que la défection de Mesdames aura peu de conséquences sur la cause générale de la Révolution. Après que de nouvelles protestations ont encore retardé le départ d’Arnay-le-Duc, Mesdames quittent finalement la ville, le 3 mars, pour la Savoie, où le roi de Sardaigne les héberge dans son château de Chambéry. Adélaïde et Victoire sont accueillies le 16 avril 1791 à Rome, où elles demeurent cinq ans. Lorsque l’Italie est envahie par la France révolutionnaire, en 1796, elles quittent Rome pour Naples, et lorsque Naples est envahie par la France, en 1799, elles partent pour Corfou. Elles s’installent enfin à Trieste. Madame Victoire y meurt d’un cancer du sein, le 7 juin 1799. Son corps, avec celui de sa sœur, morte en 1800, est ramené en France sur ordre du roi Louis XVIII lors de la Restauration des Bourbons, et elle est enterrée à la basilique de Saint-Denis.

Article rédigé par Natasha Shoory (traduit par François Boisivon)

Commentaire biographique : 

Victoire de France was the seventh child, and fifth daughter, of Louis XV (1710-1774) and Marie Leszczyńska (1703-1768). Unlike her older siblings, Madame Victoire was not raised and educated at Versailles, but rather was sent, with her younger sisters, to the Abbey of Fontevrault, from June 1738 until 1748. This was due to the fact that the cost of raising her and her sisters at Versailles was determined to be too expensive by Cardinal Fleury (1653-1743), Louis XV’s chief minister. According to Madame Campan, this resulted in an insufficient education for Victoire and her younger sisters: ‘Cardinal Fleury, who in truth had the merit of re-establishing the finances, carried this system of economy so far, as to obtain from the King the suppression of the household and education of the four younger princesses. They were brought up as mere boarders, in a convent, eight leagues distant from the coast. […] He preferred intrusting the education of the princesses to a provincial sisterhood. Madame Louise often assured me, that at twelve years of age she was not mistress of the whole alphabet, and never learned to read fluently until after her return to Versailles. Madame Victoire attributed certain paroxysms of panic terror, which she was never able to conquer, to the violent alarms she expeienced at the Abbey of Fontevrault, when she was sent, by way of penance, to pray alone, in the vault where the sisters were interred.’ (CAMPAN, J.-L.-H., 1854, p. 57).

On 24 March 1748, aged fifteen, Madame Victoire wrote to her father and was granted permission to return to Versailles. In November 1750 she was joined by her sisters Sophie (1734-1782) and Louise (1737-1787). They did not join the household of their older sisters, the Household of the Mesdames aînées, but were given their own Household of the Mesdames cadettes (« Younger Mesdames »), overseen by Marie-Angélique-Victoire de Bournonville, duchesse de Duras (1686-1764). To make up for their mediocre convent education, upon their return to Versailles Madame Victoire and her sisters dedicated their time to study: ‘They devoted themselves ardently to study, and gave up almost the whole of their time to it; they enabled themselves to write French correctly, and acquired a good knowledge of history. […] Italian, English, the higher branches of the mathematics, tuning and dialling, successively filled up the leisure moments of the princesses.’ (Campan J.-L.-H., 1854, pp. 58-9). Following the visit of Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) to Versailles from 24 December 1763-8 January 1764, Mozart dedicated opus I (K6-7) of his sonatas for keyboard with optional violin accompaniment, published in spring 1764, to Madame Victoire.

Madame Victoire was successful at court due to her charming personality, as Madame Campan attested, ‘Madame Victoire was handsome, and very graceful; her address, mien, and smile, were in perfect accordance with the goodness of her heart.’ (CAMPAN, J.-L.-H., 1854, p. 59). Unlike her sister Adélaïde, who had a harsher demeanour, Victoire was described as,‘good, sweet-tempered, and affable, lived with the most amiable simplicity in a society wherin she was much caressed: she was adored by her household.’ (Campan J.-L.-H., 1854, p. 62). In 1753 it was suggested she marry her brother-in-law, Ferdinand VI of Spain (1713-1759), as his wife Barbara of Portugal (1711-1758) was seriously ill, however she survived her illness and no other suitor of sufficient status and religion was available, so Victoire remained unmarried. In time she became rather overweight and so King Louis XV affectionately called her ‘Coche’, meaning ‘Piggy’.

Madame Victoire followed her elder sister, Madame Adélaïde, in her plots to overthrow Madame de Pompadour (1721 – 1764) and later Madame du Barry (1743 – 1793). When Marie-Antoinette (1755-1793) became the Dauphine in 1770, and during her first years in France, she became close with the Mesdames due to their close relationship with their nephew, the Dauphin Louis. Madame Adélaïde, with the support of Mesdames Victoire and Sophie, worked to gain Marie Antoinette’s support against Madame du Barry and frequently encouraged the Dauphine to rebuff Madame du Barry. By 1772 this had created a rift in the relationship between the King and Marie Antoinette. Marie Antoinette’s mother, Empress Maria Theresa (1717-1780), and her ambassador, concerned for the political consequences for the relationship between France and Austria, forced her to speak to Madame du Barry, thus throwing off Madame Adélaïde’s plot and ending the close friendship between the Mesdames and the Dauphine.

From April 1774 until the death of King Louis XV on 10th May 1774, Madame Adélaïde and her sisters attended to their father through his illness with smallpox. The sisters caught smallpox and were quarantined near the Palace de Choisy but later recovered. From around this time Victoire and her sister Adélaïde distanced themselves from court and preferred to spend time in their own Château de Bellevue at Meudon. Following the disintegration of their relationship with Marie Antoinette, the salon of the Mesdames became a hotspot for nobility in opposition to the Queen; it was frequented by the minister Maurepas (1701-1781), whom Adélaïde had supported for his position, the Prince de Condé (1727-1776) and the Prince de Conti (1717-1776), both members of the Anti-Austrian party, and Beaumarchais, who read aloud his satires of Austria.

Madame Victoire and her sister Adélaïde were present at Versailles during the Parisian women’s march on 6 October 1789, and amongst those gathered in the King’s apartment on the night of the attack on Marie Antoinette’s bedroom. When leaving Versailles for the Tuileries in Paris, their wagon separated from the procession and headed instead to the Château de Bellevue. Upon obtaining their passports to leave for Rome, Victoire and Adélaïde were due to leave on 3 February 1791. However, an anonymous tip-off of their intention to leave caused a protest at the National Assembly, and on 19 February a crowd of women gathered at the Palais Royal and intended to march to Bellevue to prevent the Mesdames’ departure. Nonetheless, they departed on 20 February 1791. The Mesdames were temporarily halted by a protest against their departure in Moret, and detained for several days from 21 February in Arnay-le-Duc. Back in Paris, riots continued against the Mesdames’ departure, and protestors marched on the gardens of the Tuileries demanding the King order his aunts’ return. Following a debate in the National Assembly it was decided that the Mesdames’ departure had little consequence for the overall cause of the Revolution. Whilst protests at Arnay-le-Duc further delayed their departure, the Mesdames eventually left on 3 March and headed to Savoy, where the King of Sardinia installed them at the Château de Chambery. Adélaïde and Victoire arrived and were welcomed in Rome on 16 April 1791, where they remained for five years. When Italy was invaded by Revolutionary France in 1796, the Mesdames left for Naples, and when Naples was invaded by France in 1799 they left for Corfu, eventually settling in Trieste. Madame Victoire died there from breast cancer on 7 June 1799. Her body, along with that of her sister Adélaïde who died in 1800, were ordered back to France by Louis XVIII during the Bourbon Restoration, and buried at the Basilica of Saint-Denis.

Article by Natasha Shoory

Thèmes d'étude
Période étudiée : 
Aire géographique étudiée : 
Commentaire Thèmes d'étude : 

[Objets collectionnés] Mobilier : écrans de cheminée en fer poli et bronze doré, instruments de cheminée (pelle, pincettes et tenailles), certains à motif de chinoiserie ; chaise indienne ; lit à l’impériale en taffetas chiné ; chaise avec textile siamois ; paravent à 6 panneaux en acajou et bronze doré recouvert de papier de Chine ; paravent en bois et papier de Chine ; fauteuil en bois sculpté, brodé au fil d’or et avec tissu Indien ; tabouret en tissu indien et bois ; prie-dieu Siamois en brocart, commode en laque chinoise noire avec marbre d’Alep et bronze doré ; table d’écriture en laque chinoise ; encoignure en laque chinoise ; lit, fauteuil et chaises en tissu Siamois ; ensemble de mobilier en taffetas chiné et bois sculpté et doré : lit à la duchesse en impériale, fauteuil, écran et paravent ; ensemble en taffetas chiné et bois sculpté peint en blanc : ottoman, fauteuil, 4 chaises, repose-pieds, écran/paravent

Horlogerie : horloges en bronze doré, pendule en nacre et bronze doré, horloges en bronze doré et ornements rocaille, horloges en marbre et bronze doré

Période étudiée : 
Aire géographique étudiée : 
Secteur fondamental d'étude : 
Commentaire Thèmes d'étude : 

[Objets collectionnés] deux tapisseries portières des Gobelins ; tapisserie des Gobelins à motif d’animaux, fleurs et fruits indiens ; tapisseries en papier de Chine ; tapisserie en tissu bazin indien

Période étudiée : 
Aire géographique étudiée : 
Secteur fondamental d'étude : 
Technique étudiée : 
Commentaire Thèmes d'étude : 

[Objets collectionnés] Porcelaine de Sèvres : vases, figurines en biscuit de Sèvres

Liens entre personnes
Type de lien horizontal : 
Commentaire Type de lien horizontal : 

Marie-Adélaïde de France et Victoire de France sont sœurs. Elles s'exilent ensemble en Italie à la suite de la Révolution Française. (Source : notice Agorha "Marie Adélaïde de France" rédigée par Natasha Shoory)

Type de lien horizontal : 
Commentaire Type de lien horizontal : 

Victoire de France est la fille de Marie Leszczyńska et de Louis XV. (Source : notice Agorha "Victoire de France" rédigée par Natasha Shoory)

Type de lien horizontal : 
Commentaire Type de lien horizontal : 

Louis XVI est le neveu de Victoire de France. (Source : notice Agorha "Victoire de France" rédigée par Natasha Shoory)

Bibliographies / archives
Sources en ligne
Référence de notice : 
12449466
Date de consultation : 
15/09/2011
Commentaire Sources en ligne : 

Notice catalogue BNF : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb124494665/PUBLIC

Référence de notice : 
35101393
Date de consultation : 
19/05/2017
Url document source : 
Source
Institut national d'histoire de l'art (France)
Licence
Attribution 4.0 International (CC BY 4.0)
Commentaire interne

Cinquième fille de Louis XV. Source(s) :

Grande lettre de mesdames Adelaïde et Victoire de France, tantes de Louis XVI, écrite au roi et leur arrivée à Paris / [signé Marie Adélaïde et Victoire Louise Marie Thérèse de France], [1791]

GDEL : Victoire de France (Louise Marie Thérèse). - Mourre, 1985 : Victoire, Louise Marie Thérèse Victoire de France, dite Mme

BN Cat. gén. : Victoire de France (Louise-Marie-Thérèse)

Rédacteur
Natasha Shoory