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Itier, Jules

Statut
Publiée
Contributeur
pguyot
Dernière modification
30/11/2023 17:12 (il y a environ 1 an)
Type de personne
Type de personne : 
Noms
Nom : 
Itier
Prénom : 
Jules
Sexe : 
Nationalité : 
Nom : 
Itier
Prénom : 
Alphonse Eugène Jules
Qualificatif : 
Naissance et mort
Date de naissance : 
8 avril 1802
Lieu de naissance : 
Date de mort : 
13 octobre 1877
Lieu de mort : 
Adresses
Type d'adresse : 
Date de l'adresse : 
1848 - 1852
Code postal : 
34000
Ville : 
Commentaire Ville : 

Maison Delpech, ancienne rue du Marché-aux-Fleurs.

Type d'adresse : 
Date de l'adresse : 
1853 - 1857
Adresse : 

16 boulevard du Jeu de Paume

Code postal : 
34000
Ville : 
Type d'adresse : 
Date de l'adresse : 
1866 - 1874
Adresse : 

1 place Jacques Cœur

Code postal : 
34000
Ville : 
Professions / activités
Type de profession / activité : 
Lieu institution : 
Date d'activité : 
1 avril 1819 - 1 septembre 1821
Type de profession / activité : 
Lieu institution : 
Date d'activité : 
1 septembre 1821 - 1 septembre 1825
Commentaire Professions / activités : 

5e puis 4e commis

Type de profession / activité : 
Lieu institution : 
Date d'activité : 
1 septembre 1825 - 1 juin 1831
Commentaire Professions / activités : 

2e commis, 1e commis, commis principal à la navigation, sous-inspecteur.

Prix et distinctions
Prix / distinction : 
Biographie
Commentaire biographique : 

Jules Itier et la Mission de Chine

Les archives permettant d’éclairer la biographie de Jules Itier, directeur des douanes pour le moins original, sont nombreuses : état civil, recensement de population, états de service dans l’administration des douanes, etc. Elles sont les compléments indispensables de la découverte de l’homme que chaque photo, chaque page de son journal et chaque objet ramené de ses voyages, mettent au jour.

Quatrième d’une fratrie de 5 enfants, Alphonse Eugène Jules Itier naît à Paris, le 8 avril 1802 (AP, V3E/N 1 189). Son père, Jean Joseph Paul Itier, natif des Hautes-Alpes (Laragne, 1769 - Paris, 27 août 1804), meurt à Paris, deux ans après sa naissance à l’âge de 33 ans (AD Hérault, 1 J 1660), au n°158 de la rue Neuve du Luxembourg (1e arrondissement) : commandant du 5e bataillon des Hautes-Alpes lors de la première levée des volontaires en 1793, il est muté l’année suivante à la 51e brigade d'Italie. Il quitte l'armée en 1796, pour soutien de famille, puis s'installe comme banquier à Paris (AD Hérault, 1 J 1660). En 1797, il épouse Marie Zoé Dubois (1778-1834) issue elle-même d’une dynastie douanière de la région grenobloise et sœur de Jean-Joseph-Marie Dubois-Aymé (1779-1846), polytechnicien, égyptologue (il participe à l’Expédition d’Égypte en 1798), nommé à son retour directeur des Douanes à Lorient, Nantes et Marseille (Gimon, G., n°8, 1979, p.82). Jules Itier est sans conteste porté par un environnement familial lié aux activités des ports, de l’industrie, du commerce et des affaires d’outre-mer.

États de service

Il commence ses études au lycée Napoléon à Paris (lycée Henri IV) en 1809 et les termine au collège royal de Marseille (l'actuel lycée Thiers) en 1819 (Magnier M., 1877). Encouragé par son oncle maternel Jean-Joseph-Marie Dubois-Aymé, Jules Itier envisage un temps une carrière scientifique. Il est admissible à l’École Polytechnique après avoir été « préparateur du chimiste Vicat » (Tamisier M.F., 1880, p.41). C’est cependant la carrière administrative qu’il va embrasser et il va y gravir rapidement tous les degrés de la hiérarchie. La lecture de ses états de service en témoigne (AD Hérault, 5 P 182). Entré très jeune, à 17 ans, le 11 avril 1819, en surnuméraire à la direction des Douanes de Marseille, où son oncle Dubois-Aymé est directeur, il est admis au grade de commis à la direction des Douanes de Belley (Ain) en 1822, puis de sous-inspecteur à la direction des douanes de Lorient en 1825 et de La Rochelle en 1831. Il est nommé inspecteur en 1832, à la direction des Douanes de Bayonne, puis de Perpignan en 1833 et de Nantua en 1836. Il s’engage auprès de nombreuses sociétés savantes dont il devient membre actif et correspondant (Staniszewska B., 2017, p.48).

Un douanier en mission

Ses états de service nous apprennent également qu’il est appelé « en mission en Afrique, en Amérique, en Océanie et en Asie, du 1e novembre 1842 au 1e août 1846 » (AD Hérault, 5 P 182), missions subventionnées sur fonds publics par les ministères des Finances et du Commerce. Il vient d’avoir 40 ans. Durant le premier semestre 1843, le gouvernement l’envoie comme inspecteur des Douanes hors cadre au Sénégal, en Guyane et aux Antilles pour y favoriser l'extension commerciale de la France dans ces régions (FR ANOM 2400 COL81/3). Tout juste rentré en France et le temps de rendre compte de sa charge, il est désigné pour faire partie de la mission commerciale et diplomatique en Chine, auprès de l’ambassade extraordinaire de Théodose de Lagrené (Mazauric R., 2012, p.13-15), pour la conclusion d’un traité de commerce, le traité de Huangpu (CADC, TRA18440022) projeté par Louis-Philippe et François Guizot, ministre des affaires étrangères (AN, F/12/2589 à F/12/2591). Ce voyage occupera son temps de 1843 à 1846. Le 16 novembre 1843, à Brest, Jules Itier part pour un long périple qui va lui permettre de faire le tour du globe : île de Tenerife, Rio de Janeiro (Brésil), Cap de Bonne Espérance (Afrique du Sud), île Bourbon (La Réunion), Malacca (Malaisie), Singapour (Malaisie), Manille (Philippines), Macao, Canton (Chine), îles Mindanao, Soulou et Basilan (Philippines), Bornéo, îles de Java et de Sumatra (Indonésie), Cochinchine (Vietnam) et la baie de Tourane, Macao, Hong Kong. Son retour vers la France s’effectue par Georges Town et l’île de Poulo-Pinang (Malaisie), Ceylan (Sri Lanka), Aden (Égypte), Suez, Le Caire, remontée du Nil jusqu’à Philae et traversée du désert de Libye, Alexandrie, Malte, Gibraltar, Brest.

Engagement politique

À son retour de Chine en février 1846, il épouse à Grenoble, Henriette de Brémond (AD Isère, 9NUM/5E186/24/185). Il est fait officier de la Légion d’honneur le 29 novembre (AN, LH/1337/65). Le 1e août, il est promu au grade d’inspecteur principal à la direction des Douanes de Marseille.

Désigné à 46 ans, directeur des douanes à Montpellier, il demeure dix ans, du 1er juin 1848 au 1er octobre 1857, dans cette « ville savante dont il aimait le séjour » (Tamisier M.F., 1879, p.43). Son fils Paul-Jules-Aimé naît dans cette ville le 12 novembre 1849 (AD Hérault, 3 E 177/105). La même année, il achète le prieuré de Véras (AD Hautes-Alpes, 15 J 8-9), non loin de Serres, berceau de sa famille haut-alpine. C’est dans ce département qu’il brigue le titre de conseiller général des cantons de Serres puis de Rosans. Sa profession de foi, lors des élections d’avril 1848, après la proclamation de la IIe République, affirme : « Tous les bons citoyens vont s’unir pour fonder notre jeune République sur les véritables bases de la Liberté, de l’Egalite et de la Fraternité ». Celle du 22 septembre 1870, après la chute du Second Empire et la proclamation de la IIIe République, affirmera : « Confiez-moi (…) cette rude tâche de fonder la République française sur les bases inébranlables de la liberté dans l’ordre, de l’égalité dans le devoir comme dans le droit, de la fraternité selon l’Évangile » (AD Hautes-Alpes, 15 J 10, 15 J 11).

Et toujours, le féru de sciences

 En 1855, il est admis dans les rangs de l’Académie des Sciences et Lettres de Montpellier. Il écrit dans le bulletin de la Société d’agriculture de cette même ville et fait paraître de nombreux articles et brochures qui attestent de son intérêt, non seulement pour son métier, mais pour bien d’autres sciences. Nommé receveur principal à Marseille le 1e octobre 1857, dans la direction où il fit ses débuts de douanier, il est élu le 2 mai 1859 à l’Académie des sciences et lettres de Marseille. Admis à la retraite le 1er septembre 1866, il choisit Montpellier comme port d’attache, « cette ville dont le renom scientifique l’avait toujours séduit » (Magnier M., 1877). Il s’éteint à l’âge de 75 ans, au numéro 34 de la rue Saint-Guilhem, le 13 octobre 1877. Ses obsèques sont célébrées en l’église Sainte-Anne. Il est inhumé à Serres, dans les Hautes-Alpes (Magnier M., 1877).

Article rédigé par Régine Mazauric

Commentaire biographique : 

Jules Itier and the China Mission

There are many archives that shed light on the biography of Jules Itier, the highly original customs director: his marital status, a population census, and his service record in the customs administration, and so on. This provides indispensable complementary information about the man, and each photo, each page of his diary, and each object brought back from his travels, shed further light on him.

The fourth of a brotherhood of five children, Alphonse Eugène Jules Itier was born in Paris, on 8 April 1802 (AP, V3E/N 1 189). His father, Jean Joseph Paul Itier, a native of the Hautes-Alpes (Laragne, 1769–27 August 1804, Paris), died in Paris, two years after his son’s birth, at the age of thirty-three (AD (archives départementales) 34, 1 J 1660), at 158 Rue Neuve in Luxembourg (1st arrondissement): commander of the fifth battalion of the Hautes-Alpes during the first call for volunteers in 1793, he was transferred the following year to the fifty-first Brigade of Italy. He left the army in 1796, to support his family, and then moved to Paris to work as a banker (AD 34, 1 J 1660). In 1797, he married Marie Zoé Dubois (1778–1834), who herself was born into a dynasty of customs officials from the region of Grenoble and was the sister of Jean-Joseph-Marie Dubois-Aymé (1779–1846). A polytechnicien and Egyptologist (he took part in Napoleon’s Expédition d’Égypte in 1798), he was appointed, upon his return, Director of Customs in Lorient, Nantes, and Marseille (Gimon, G., no. 8, 1979, p. 82). Jules Itier benefitted from the support of a family circle that was closely linked to the activities of the ports, industry, commerce, and overseas affaires.

Service record

He began his studies at the Lycée Napoléon in Paris (Lycée Henri IV) in 1809 and completed them at the Collège Royal in Marseille (present-day Lycée Thiers) in 1819 (Magnier, M., 1877). Encouraged by his maternal uncle, Jean-Joseph-Marie Dubois-Aymé, Jules Itier initially envisaged a scientific career. He was admitted to the École Polytechnique after being the ‘preparation assistant of the chemist Vicat’ (Tamisier, M. F., 1880, p. 41). However, he embarked on an administrative career and he rose rapidly up the career ladder. His service record attests to this (AD 34, 5 P 182). Admitted at the very young age of seventeen, on 11 April 1819, as a supernumerary at the Customs Directorate in Marseille, where his uncle, Dubois-Aymé, was the director. He was promoted to the rank of clerical officer at the Customs Directorate in Belley (in the Ain département) in 1822, then sub-inspector at the Customs Directorate in Lorient in 1825, and La Rochelle in 1831. He was appointed inspector at the Customs Directorate in Bayonne in 1832, then in Perpignan in 1833, and Nantua in 1836. He joined many learned societies, in which he became an active and correspondent member (Staniszewska, B., 2017, p. 48).

A customs officer on a mission

His service record also shows that he was sent ‘on a mission to Africa, America, Oceania, and in Asia, from 1November 1842 to 1 August 1846’ (AD 34, 5 P 182)—missions that were publicly funded by the Ministries of Finance and Commerce. He had just turned forty. During the first semester of 1843, the government sent him as a special customs inspector to Senegal, Guyana, and the Antilles to promote France’s commercial expansion in these regions (FR ANOM 2400 COL81/3). As soon as he returned to France and before he had time to report on his mission, he was selected to take part in the commercial and diplomatic mission to China, at the Embassy-Extraordinary of Théodose de Lagrené (Mazauric, R., 2012, pp. 13–15), for the conclusion of a trade agreement, the Treaty of Huangpu (CADC, TRA18440022) proposed by Louis-Philippe and François Guizot, the Minister of Foreign Affairs (AN, F/12/2589 to F/12/2591). The trip lasted from 1843 to 1846. On 16 November 1843, in Brest, Jules Itier departed on a long journey that took him around the globe: to the island of Tenerife, Rio de Janeiro (Brazil), the Cape of Good Hope (South Africa), Bourbon Island (Réunion Island), Malacca (Malaysia), Singapore (Malaysia), Manilla (Philippines), Macao, Canton (China), the islands of Mindanao, Sulu and Basilan (Philippines), Borneo, the islands of Java and Sumatra (Indonesia), Cochinchina (Vietnam), the Bay of Tourane, Macau, and Hong Kong. He returned to France via Georges Town and Poulo Penang Island (Malaysia), Ceylon (Sri Lanka), Aden (Egypt), the Suez, and Cairo; he sailed up the Nile to Philae, and crossed the Libyan desert, Alexandria, Malta, and Gibraltar, and arrived in Brest.

Political engagement

When he returned to China in February 1846, he married Henriette de Brémond (AD 38, 9NUM/5E186/24/185) in Grenoble. He was honoured as Officier de la Légion d’Honneur on 29 November (AN, LH/1337/65). On 1 August, he was promoted to the rank of principal inspector at the Customs Directorate in Marseille.

Appointed at the age of forty-six as customs director at Montpellier, he spent ten years, from 1 June 1848 to 1 October 1857, in this ‘learned city, where he loved to stay’ (Tamisier, M. F., 1879, p. 43). His son, Paul-Jules-Aimé, was born in this city on 12 November 1849 (AD 34, 3 E 177/105). That year, he bought the priory of Véras (AD 05, 15 J 8–9), not far from Serres, from where his family originated in the Haut-Alpes. It was in this département that he took up the post of general councillor of the Canton of Serres, then Rosans. His profession of faith, during the elections of April 1848, after the proclamation of the Second Republic, stated: ‘all good citizens will come together to found our young Republic on the principles of Liberty, Equality, and Fraternity’. On 22 September 1870, after the fall of the Second Empire and the proclamation of the Third Republic, a declaration was made: ‘Entrust me (…) with the difficult task of founding the French Republic on the unshakeable principles of liberty in order, the equality of duties and rights, and fraternity according to the Gospel’ (AD 05, 15 J 10, 15 J 11).

A long-standing passion for the sciences

 In 1855, he was accepted into the ranks of the Académie des Sciences et Lettres in Montpellier. He wrote for the city’s Bulletin de la Société d’Agriculture and had many articles and brochures published that attested to his interest not only in his metier but in many other sciences. Appointed Principal Collector of Customs in Marseille on 1 October 1857, in the Directorate where he had started out as a customs officer, he was elected on 2 May 1859 to the Académie des Sciences et Lettres in Marseille. He retired on 1 September 1866, and chose Montpellier as his home port, ‘a city whose scientific renown had always attracted him’ (Magnier, M., 1877). He passed away at the age of seventy-five, at 34 Rue Saint-Guilhem, on 13 October 1877. His funeral was held in the Church of Sainte-Anne. He was buried in Serres, in the Hautes-Alpes (Magnier, M., 1877).

Article by Régine Mazauric (translated by Jonathan Michaelson)

Evénements
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Lieu de l'événement : 
Lien événement institutionnel : 

15 novembre 1842 à l’été 1843 : le gouvernement envoie Jules Itier comme inspecteur des Douanes hors cadre au Sénégal, en Guyane et aux Antilles pour y favoriser l'extension du commerce français.

Type d'événement : 
Lieu de l'événement : 
Lien événement institutionnel : 

Missions diplomatiques et commerciales en tant qu’inspecteur des Douanes hors cadre, Ministère du Commerce et des Finances, Ambassade Théodose de Lagrené.

Thèmes d'étude
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Secteur fondamental d'étude : 
Commentaire Thèmes d'étude : 

[Objets collectionnés] daguerréotypes.

Période étudiée : 
Aire géographique étudiée : 
Secteur fondamental d'étude : 
Commentaire Thèmes d'étude : 

[Objets collectionnés] coraux et coraux fossiles.

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Aire géographique étudiée : 
Secteur fondamental d'étude : 
Technique étudiée : 
Commentaire Thèmes d'étude : 

[Objets collectionnés]

Liens entre personnes
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Jules Itier participe à la mission en Chine (1843-1846) dirigée par Théodose de Lagrené. (Source : notice Agorha « Théodose de Lagrené » rédigée par Geneviève Lacambre)

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En 1968, le prieuré de Véras (Hautes-Alpes) où Itier avait réuni ses collections personnelles, est vendu par les descendants de la famille. Les bâtiments se détériorent, archives et objets de valeur sont dispersés. En 1971, François Albert Itier vend 37 daguerréotypes de son arrière-arrière-grand-père à André Fage, le premier directeur du musée français de la photographie à Bièvres (Essonne). (Source : notice Agorha "Jules Itier" rédigée par Régine Mazauric)

Lien notice : 
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Commentaire Type de lien horizontal : 

[Jules Itier] rapporte dans ses bagages une somme considérable d’observations d’histoire naturelle, des échantillons de pierres, de fossiles et des objets variés de l’artisanat local, à l’instar de ses compagnons de voyage, les quatre experts de l’industrie française, Isidore Hedde (1801-1880), Auguste Haussmann (1815-1874), Natalis Rondot (1821-1900), Édouard Renard (1812-1898). Délégués par les chambres de commerce de Paris, Lyon, Mulhouse, Reims et Saint-Etienne et placés sous son autorité, ils ont eux aussi collectés de nombreux objets techniques, outils et savoir-faire, rassemblés dans quatre expositions publiques données à voir à Paris, Lyon, Saint-Etienne et Nîmes, entre 1846 et 1849. (Source : notice Agorha "Jules Itier" rédigée par Régine Mazauric)

Bibliographies / archives
Sources en ligne
Date de consultation : 
12/04/2020
Référence de notice : 
0000 0000 6644 5150
Date de consultation : 
12/04/2020
Date de consultation : 
20/04/2020
Commentaire Sources en ligne : 

Musée français de la Photographie. Conseil départemental de l'Essonne, 78, rue de Paris, 91570 Bièvres. Conservation de 37 daguerréotypes de Daguerréotype de Jules Itier en Asie, acquis par André Fage (premier conservateur du musée) de François Albert Itier, arrière-arrière-petit-fils de Jules Itier, au début des années 1970.

Source
Institut national d'histoire de l'art (France)
Licence
Attribution 4.0 International (CC BY 4.0)
Rédacteur
Régine Mazauric