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Statut
Publiée
Contributeur
bdechanc
Dernière modification
25/10/2023 16:05 (il y a environ 1 an)
Type d'oeuvre
Commentaire Type d'œuvre
panneau de vitre
Titres
Type de titre : 
Titre : 
Ecce Homo
Commentaires généraux
Commentaire général : 
Jésus couronné d'épines
Localisations
Lieu de conservation : 
Commentaire Lieu de conservation : 
Localisation historique MMF : salle du XVIe siècle (du cat. an V au cat. 1815)
Localisation actuelle : chapelle du Lord Maire de Bristol
Type de Cote / numéro : 
Cote / numéro : 
[sans numéro]
Commentaire Cote / numéro : 
cat. an IV, p. 98-99 ; cat. 1806, p. 48-49 ; cat. 1810, p. 300 ; cat. 1815, p. 51
Type de Cote / numéro : 
Cote / numéro : 
7
Commentaire Cote / numéro : 
cat. an V, p. 216 et p. 227-228 ; cat. an VI, p. 249 et p. 259-260 ; cat. an VIII, p. 369 et p. 379-380 ; cat. an X, p. 358 et p. 366 ; cat. an XI (1803), p. 299 et p.306-307
Commentaires descriptifs
Commentaire descriptif : 
Le Christ parait calme, il est couronné d'épines. Autour de lui, ses bourreaux se contorsionnent pour le frapper.
États
Etat de conservation : 
Matérialité
Matériau : 
Technique : 
Dimensions
Hauteur : 
2
Unité de mesure : 
Commentaire Dimensions : 
2 pieds de haut sur 20 pouces de diamètre
Diamètre : 
20
Commentaire Dimensions : 
dimension en pouce
Représentations
Indexation Garnier-SMF : 
Créations / exécutions
Rôle : 
Personne liée à l'oeuvre : 
Rôle : 
Historiques de collection
Collection : 
Paris, église du Temple, d'une série de vitraux exécutés vers 1530 ; la série transférée au musée des Monuments français, mais seul le panneau "Ecce homo" catalogué sous le n° 7 par Alexandre Lenoir (autres panneaux mentionnés dans la partie rédigée concernant les vitraux) ; panneau acquis entre 1819 et 1831 par Thomas Garrad, trésorier de la ville de Bristol, pour le décor de la chapelle de la ville
Bibliographies / archives
Type de référence : 
Commentaire Bibliographies / archives : 
p. 83 : "Les plus grands vitraux, qui viennent de l'église du Temple, que j'ai réunis dans ce musée, ne datent point de l'époque de cet édifice, qui remonte vers 1160. Ils garnissaient vingt croisées de cette église, qui au premier coup d'oeil, inspirait le respect.
Les vitraux dont je parle sont composés et peints par Albert Durer, fondateur de l'école allemande ; ils sont intéressants sous bien des rapports, et représentent les sujets les plus frappants de la vie du Christ, commençant depuis sa naissance, en le suivant jusqu'au tombeau. L'ordonnance en est grande, les compositions bien pensées, et les développements sont riches. Albert Durer, né coloriste, y a répandu beaucoup de chaleur et de vivacité. Les couleurs en sont belles et vigoureuses, le dessin correct, et l'architecture d'un bon genre. La fabrique, dans sa partie, y offre une curiosité rare : c'est la grandeur des pièces. Ces monumens, immortels pour Albert Durer, annoncent que le gothicisme alors commençait à s'éloigner de la France.
Ils ont de remarquable que le verre en étant épais, et que l'artiste, ayant voulu rendre sensible la prunelle de ses personnages, a fait creuser à l'outil, et user avec le foret cette partie de l'oeil. Cette méthode a été exécutée plusieurs fois, comme nous le verrons par la suite".
Source
source : Institut national d'histoire de l'art (France) / Musée du Louvre (Paris) - licence : Attribution 4.0 International (CC BY 4.0)
Commentaire interne
Base MMFLenoir, ID_Element : EL_1093 ; date création : 08/08/2011
Rédacteur
Béatrice de Chancel-Bardelot