Bas-relief représentant une femme qui marche
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Titres
Titre :
Bas-relief représentant une femme qui marche
Commentaires généraux
Commentaire général :
Catalogue de la vente Pourtalès 1865 n°7
Commentaires descriptifs
Commentaire descriptif :
Description du catalogue Pourtalès, 1865 :
Marbre blanc. — Débris d'un bas-relief représentant une femme qui marche en relevant son péplum. Cette figure, imitée du style ancien, peut avoir été employée à la décoration d'un monument chorégique (1). — Haut., 40 cent. (1) Ces monuments étaient érigés par les chorèges, ou directeurs des chœurs, qui concouraient pour le prix dans les jeux de musique. Ces monuments étaient érigés par les chorèges, ou directeurs des chœurs, qui concouraient pour le prix dans les jeux de musique. La récompense décernée consistait dans un trépied de bronze, ordinairement érigé ensuite sur une colonne, ou sur le sommet d'un édifice plus ou moins décoré, dont les inscriptions rappelaient le nom du chorège, celui de sa tribu, ceux du joueur de flûte qui avait réglé la mesure du chant, de l'auteur des paroles, et, enfin, de l'archonte qui était alors en fonctions. La ville d'Athènes renfermait un grand nombre de monuments de ce genre; deux d'entre eux y subsistent encore : ce sont ceux de Lysicrates et de Trasyllus, élevés entre les années 335 et 320 avant l'ère vulgaire.
Marbre blanc. — Débris d'un bas-relief représentant une femme qui marche en relevant son péplum. Cette figure, imitée du style ancien, peut avoir été employée à la décoration d'un monument chorégique (1). — Haut., 40 cent. (1) Ces monuments étaient érigés par les chorèges, ou directeurs des chœurs, qui concouraient pour le prix dans les jeux de musique. Ces monuments étaient érigés par les chorèges, ou directeurs des chœurs, qui concouraient pour le prix dans les jeux de musique. La récompense décernée consistait dans un trépied de bronze, ordinairement érigé ensuite sur une colonne, ou sur le sommet d'un édifice plus ou moins décoré, dont les inscriptions rappelaient le nom du chorège, celui de sa tribu, ceux du joueur de flûte qui avait réglé la mesure du chant, de l'auteur des paroles, et, enfin, de l'archonte qui était alors en fonctions. La ville d'Athènes renfermait un grand nombre de monuments de ce genre; deux d'entre eux y subsistent encore : ce sont ceux de Lysicrates et de Trasyllus, élevés entre les années 335 et 320 avant l'ère vulgaire.
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01/07/2019
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