PV n°2376 - stèle grecque
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Intitulé :
PV n°2376 - stèle grecque
Date événement :
21 mars 1865
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Description du catalogue :
Stèle grecque en marbre blanc. Une femme debout et vêtue de long, donne la main, en signe d'éternel adieu, à un homme assis devant elle. Ce monument funéraire, découvert à Athènes, faisait partie de la magnifique collection formée dans le Levant par M. le comte de Choiseul-Gouffier. Voyez Catalogue Choiseul, n° 134. Haut. 58 cent.
Partie supérieure d'une stèle en marbre blanc. Ce marbre contenait une inscription grecque dont il n'existe plus que les douze premières lignes, qui sont elles-mêmes très-mutilées : on y distingue pourtant encore le nom de l'archonte Mithridate (1), qui était aussi prêtre de Drusus, suivi d'une liste d'éphèbes, ou d'autres personnages tout aussi inconnus. M. Bœckh pense que cette inscription a été gravée entre les années 778-776 de Rome (2). Ce fragment, trouvé à Athènes, appartenait à M. de Choiseul ; Cat. n° 183. Haut., 29 cent. (1) Le nom de ce magistrat, qui a vécu sous la domination romaine, n'est encore connu que par cette seule inscription. (2) 1. Corp. insc., V, I, no 264.
Marbre blanc. Débris d'un bas-relief représentant une femme qui marche en relevant son péplum. Cette figure, imitée du style ancien, peut avoir été employée à la décoration d'un monument chorégique (1). Haut. 40 cent. (1) Ces monuments étaient érigés par les chorèges, ou directeurs des chœurs, qui concouraient pour le prix dans les jeux de musique. Ces monuments étaient érigés par les chorèges, ou directeurs des chœurs, qui concouraient pour le prix dans les jeux de musique. La récompense décernée consistait dans un trépied de bronze, ordinairement érigé ensuite sur une colonne, ou sur le sommet d'un édifice plus ou moins décoré, dont les inscriptions rappelaient le nom du chorège, celui de sa tribu, ceux du joueur de flûte qui avait réglé la mesure du chant, de l'auteur des paroles, et, enfin, de l'archonte qui était alors en fonctions. La ville d'Athènes renfermait un grand nombre de monuments de ce genre; deux d'entre eux y subsistent encore : ce sont ceux de Lysicrates et de Trasyllus, élevés entre les années 335 et 320 avant l'ère vulgaire.
Stèle grecque en marbre blanc. Une femme debout et vêtue de long, donne la main, en signe d'éternel adieu, à un homme assis devant elle. Ce monument funéraire, découvert à Athènes, faisait partie de la magnifique collection formée dans le Levant par M. le comte de Choiseul-Gouffier. Voyez Catalogue Choiseul, n° 134. Haut. 58 cent.
Partie supérieure d'une stèle en marbre blanc. Ce marbre contenait une inscription grecque dont il n'existe plus que les douze premières lignes, qui sont elles-mêmes très-mutilées : on y distingue pourtant encore le nom de l'archonte Mithridate (1), qui était aussi prêtre de Drusus, suivi d'une liste d'éphèbes, ou d'autres personnages tout aussi inconnus. M. Bœckh pense que cette inscription a été gravée entre les années 778-776 de Rome (2). Ce fragment, trouvé à Athènes, appartenait à M. de Choiseul ; Cat. n° 183. Haut., 29 cent. (1) Le nom de ce magistrat, qui a vécu sous la domination romaine, n'est encore connu que par cette seule inscription. (2) 1. Corp. insc., V, I, no 264.
Marbre blanc. Débris d'un bas-relief représentant une femme qui marche en relevant son péplum. Cette figure, imitée du style ancien, peut avoir été employée à la décoration d'un monument chorégique (1). Haut. 40 cent. (1) Ces monuments étaient érigés par les chorèges, ou directeurs des chœurs, qui concouraient pour le prix dans les jeux de musique. Ces monuments étaient érigés par les chorèges, ou directeurs des chœurs, qui concouraient pour le prix dans les jeux de musique. La récompense décernée consistait dans un trépied de bronze, ordinairement érigé ensuite sur une colonne, ou sur le sommet d'un édifice plus ou moins décoré, dont les inscriptions rappelaient le nom du chorège, celui de sa tribu, ceux du joueur de flûte qui avait réglé la mesure du chant, de l'auteur des paroles, et, enfin, de l'archonte qui était alors en fonctions. La ville d'Athènes renfermait un grand nombre de monuments de ce genre; deux d'entre eux y subsistent encore : ce sont ceux de Lysicrates et de Trasyllus, élevés entre les années 335 et 320 avant l'ère vulgaire.
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