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Girodie, André

Statut
Publiée
Contributeur
INHA 2001
Dernière modification
24/10/2025 14:58 (il y a 14 jours)
Type de personne
Type de personne : 
Noms
Nom : 
Girodie
Prénom : 
André
Sexe : 
Nationalité : 
Nom : 
Girodie
Prénom : 
François Georges André
Qualificatif : 
Commentaire Noms : 

(source : Archives de Paris, acte de décès, Paris, 5e arrondissement, 1946, cote : 5D 279, acte n° 1300, vue 11/20).

Naissance et mort
Date de naissance : 
23 juin 1874
Lieu de naissance : 
Commentaire Lieu de naissance : 

Père : Guillaume Girodie (Vendays-Montalivet 03/12/1833 - Bordeaux 08/01/1892), employé puis agent d'affaires, fils de Jean Girodie (1807 ?), cloutié et de Marie Mau (1813), marié à Blanche Anne Amélie Blanc (décédée) puis à Marie Jeanne Odeli Ribeyran à Bordeaux le 27/12/1871.

Mère : Marie Jeanne Odeli Ribeyran (Saint-Julien-Beychevelle 16/04/1839 - ?), lisseuse puis sans profession, fille de René Ribeyran (1815), boulanger pâtissier et de Pétronille Metié (1816), sans profession.

Épouse : Louise Eugénie Clémentine Bérard (Paris 12/01/1882 - Vitry-le-François 09/01/1963), sans profession, fille de Gustave Frédéric Bérard (1853), employé, et de Catherine Delieuze (1842), lingère.

Fils : Jean Girodie (Paris 16e 30/03/1905 - Gargenville 04/01/1983), marié à Puteaux le 19/07/1930 avec Jeanne Dupuy, remarié à La Falaise le 19/11/1948 avec Carmen Massias.

Fille : Odile Girodie (Paris 16e 13/02/1910 - Aix-en-Provence 22/12/2005), mariée à Paris 20e le 02/04/1936 avec Armand Théodore Cau, divorcée le 02/07/1945.

Fils : Robert Frédéric Girodie (Paris 16e 12/08/1913 - Blacy 21/04/1983), marié à Blangy-sur-Bresle le 15/03/1937 avec Lucienne Emilienne Marie Rubion.

Fille : Geneviève Girodie (Paris 5e 03/04/1917 - Aix-en-Provence 28/08/2000), mariée à Paris 20e avec André Gabriel Henri Gout.

Petit-Fils : Alain Girodie (Blangy-sur-Bresle 28/05/1938 - Vitry-en-Perthois 14/10/2016), fils de Robert Frédéric Girodie et Lucienne Emilienne Marie Rubion, marié à Roseline, avec descendance.

Date de mort : 
14 décembre 1946
Lieu de mort : 
Commentaire Naissance et mort : 

(source : Archives départementales de la Gironde, acte de naissance d'André Girodie, Bordeaux, 1874, cote : 4 E 1530, acte n° 754, vue 124/284).

(source : Archives de Paris, acte de mariage d'André Girodie avec Marie Ribeyran , Paris, 4e arrondissement, 1902, cote : V4E 8343, acte n° 818, vue 12/28).

(source : Archives de Paris, acte de décès d'André Girodie, Paris, 5e arrondissement, 1946, cote : 5D 279, accte n° 1300, vue 11/20).

(source : Archives départementales de la Gironde, acte de naissance de Guillaume Girodie, Vendays-Montalivet, 1833, cote : 4 E 13798/3, acte n° 58, vue 16/19).

(source : Archives départementales de la Gironde, acte de décès de Guillaume Girodie, Bordeaux, 1892, cote : 4 E 15621, acte n° 55, vue 10/284).

(source : Archives départementales de la Gironde, acte de naissance de Marie Ribeyran, Saint-Julien-Beychevelle, 1839, cote : 4 E 11676/4, acte n° 18, vue 6/11).

(source : Archives départementales de la Gironde, acte de mariage de Guillaume Girodie avec Marie Ribeyran, Bordeaux, 1871, cote : 4 E 1505, acte n° 543, vue 187/205).

(source : Archives de Paris, acte de naissance de Louise Bérard, Paris, 10e arrondissement, 1882, cote : V4E 3822, acte n° 198, vue 4/31).

(source : Archives de Paris, acte de naissance de Jean Girodie, Paris, 16e arrondissement, 1905, cote : V11E 527, acte n° 392, vue 11/11).

(source : Archives de Paris, acte de naissance d'Odile Girodie, Paris, 16e arrondissement, 1910, cote : 16N 193_A, acte n° 199, vue 11/31).

(source : Archives de Paris, acte de naissance de Robert Frédéric Girodie, Paris, 16e arrondissement, 1913, cote : 16N 110_1, acte n° 863, vue 29/31).

(source : Archives de Paris, acte de naissance de Geneviève Girodie, Paris, 5e arrondissement, 1917, cote : 5N 255, acte n° 396, vue 7/31).

(source : Décès en France, Alain Girodie).

Adresses
Type d'adresse : 
Date de l'adresse : 
1874
Adresse : 

9 rue Citran

Code postal : 
33000
Ville : 
Commentaire Adresses : 

aujourd'hui rue Louis Liard

(source : Archives départementales de la Gironde, acte de naissance, Bordeaux, 1874, cote : 4 E 1530, acte n° 754, vue 124/284).

Type d'adresse : 
Date de l'adresse : 
1898
Adresse : 

35 rue de l'Arbalète

Code postal : 
75005
Ville : 
Commentaire Adresses : 

(source : Archives de Paris, Girodie, François Georges André, Matricule 1203, cote : D4RI 798).

Type d'adresse : 
Date de l'adresse : 
1902 - 1904
Adresse : 

14 Cœur de Vey

Code postal : 
75014
Ville : 
Commentaire Adresses : 

Orthographié Cœur de Vay sur l'acte.

(source : Archives de Paris, acte de mariage, Paris, 4e arrondissement, 1902, cote : V4E 8343, acte n° 818, vue 12/28).

(source : Fonds Maurice Barrès, 22 lettres d'André Girodie à Maurice Barrès, lettre du 22 février 1904, BnF, département des Manuscrits, NAF 28210 (III))

Professions / activités
Type de profession / activité : 
Commentaire Professions / activités : 

Historien de l'art du XVIIIe siècle et des arts décoratifs du bois, spécialiste de l'Alsace. Bibliothécaire, conservateur de musée. Biographe.

(source : notice d'autorité BnF).

Type de profession / activité : 
Institution : 
Lieu institution : 
Commentaire Professions / activités : 

« Tout jeune, il subit les appels de l'histoire et d'un passage chez le libraire Lesort lui étaient restés le secret des fiches minutieuses et des extraits bien faits, le goût de la lecture des catalogues, la passion des autographes précieux, des ouvrages introuvables, des détails curieux ou singuliers enfouis dans les comptes-rendus des académies provinciales. »

(source : Schommer, Pierre. « Nécrologie. André Girodie (1874-1946) ». Bulletin des musées de France, XII, février 1947, p. 30-31).

« Plus tard, il employa le temps que lui laissaient ses occupations à se cultiver. Il fut d'abord séduit par les autographes, qu'il apprit à utiliser pour ses travaux ; en même temps, il découvrait chez le libraire Lesort la discipline des fiches bien faites. »

(source : Société de l'histoire de l'art français (France). « Discours de M. P.-A. Lemoisne, président de la Société ». Bulletin de la Société de l'histoire de l'art français. Paris : Jean Schemit, 1er janvier 1949. p. 36-38).

Type de profession / activité : 
Lieu institution : 
Date d'activité : 
1901 - 1917
Commentaire Professions / activités : 

(source : Archives de Paris, Girodie, François Georges André, Matricule 1203, cote : D4RI 798).

(source : Archives de Paris, acte de mariage, Paris, 4e arrondissement, 1902, cote : V4E 8343, n° 818, vue 12/28).

(source : Archives de Paris, acte de naissance de Geneviève Girodie, Paris, 5e arrondissement, 1917, cote : 5N 255, acte n° 396, vue 7/31).

« Permettez-moi de vous demander un conseil sur une décision importante que je désire prendre le plus rapidement possible. Je n'ai aucune fortune, je suis marié, père de famille avec une vieille mère infirme à ma charge. Depuis une dizaine d'années, j'ai partagé ma vie en deux parties. De 9 heures du matin à 5 heures du soir, je travaille au P.L.M. où je gagne environ 5F par jour. De 7 heures du soir à 2 heures du matin, je réalise certains travaux d'histoire de l'art dont quelques-uns vous ont été agréables. Présentement, j'ai quatre livres sur le chantier [...] En outre, je dirige la revue " Notes d'art et d'archéologie", sans y être rétribué, afin de pouvoir recevoir et lire gratuitement les livres et revues nécessaires à mes études. Jusquà l'année dernire, cette existence en partie double qui représente un formidable labeur me sut légère, et je vivais avec l'espoir de la continuer longtemps sans importuner mes amis. En juin 1907, une série de malaises inexplicables m'obligea à cesser tout travail nocture pendant plusieurs mois. Habitué que j'étais à mater l'animal, ce triomphe me fut pénible. Aujourd'hui, je suis presque vaincu. Tous mes travaux sont suspendus et je désespère de les mener à bien avec les vertiges qui me prennent dès que j'essaie de revenir aux anciennes habitudes. Il me faut donc choisir entre la vie diurne et la vie nocturne. J'ai fait intervenir au P.L.M. de puissantes sympathies : elles m'ont donné la certitude que j'y perdrais mon temps et que les 2100 francs annuels que j'y gagne ne pouvaient devenir, par une lente ascension administrative, que 3000 francs environ vers 45 ans : j'ai 34 ans. D'autre part, j'ai consulté un certain nombre d'amis pour leur demander si je devais quitter le P.L.M. et ne plus compter que sur le travail de ma plume. Les uns sont affirmatifs, les autres tantôt négatifs et tantôt expectants. J'appartiens moi-même à cette dernière catégorie. Il me parait imprudent de quitter un simple emploi pour des travaux aussi pénibles que mal rétribués, et j'estime que le mieux serait de remplacer une situation modeste qui réclame de moi la journée entière par une autre moins impérieuse. Laquelle ? [...] »

(source : Fonds Maurice Barrès, 22 lettres d'André Girodie à Maurice Barrès, lettre du 19 octobre 1908, BnF, département des Manuscrits, NAF 28210 (III))

Prix et distinctions
Prix / distinction : 
Date prix / distinction : 
22 février 1909
Commentaire Prix et distinctions : 

« Ministère de l'Instruction publique et des beaux-arts. Le ministre de l'instruction publique et des beaux-arts, vu les décrets des 24 décembre 1885 et 4 août 1898, arrête : sont nommés : Officier de l'Instruction publique [...] Girodie (André), critique d'art à Paris ».

(source : Journal officiel de la République française. Lois et décrets. 22 février 1909, p. 1831.).

Date prix / distinction : 
1916
Commentaire Prix et distinctions : 

Martin Schongauer et l'art du Haut-Rhin au XVe siècle (400 Fr.).

(source : Académie française).

Prix / distinction : 
Date prix / distinction : 
20 mars 1918
Commentaire Prix et distinctions : 

« Citation. Extrait de l'ordre de bataillon N° 118. Le Capitaine Adjudant-Major Boeswillwald, Commandant provisoirement le 106e Bataillon de Chasseurs cite à l'ordre du jour du bataillon Girodie François - Chasseur - Matricule 203 "Chasseur infirmier, d'une classe ancienne, a toujours fait courageusement son devoir, grièvement blessé le 3 octobre 1915 à Souain ". Cette citation comporte l'attribution de la Croix de guerre 1814-1918 avec étoile de bronze. Aux Armées, le 20 mars 1918, Signé : Boeswillwald ».

(source : Service Historique de la Défense, Centre des archives du personnel militaire, DEVA/BRA « section des fonds Citations », Caserne Bernadotte, 64023 Pau cedex)

Biographie
Commentaire biographique : 

Formation : « A fait une partie de ses études artistiques, que Paris et des séjours à l'étranger ont complétées. »

(source : La Quinzaine, LVIII, 1er mai 1904, n.p.).

Situation militaire : « Décision du conseil de révision et motifs : bon, dispensé art. 21, fils unique de veuve.

Détail des services et mutations diverses : dirigé le 12 novembre 1895 sur le 9e bataillon de chasseurs à pied. Arrivé au corps le dit jour n° matricule 2508. Arrivé au corps le dit jour n° matricule 2508. Envoyé en congé le 22 septembre 1896 en attendant son passage dans la réserve de l'armée active. Certificat de bonne conduite " accordé ".

Passé dans la réserve de l'armée active le 1er novembre 1898. Inscrit au contrôle des non disponibles sous le n° 169, comme employé à la Compagnie des chemins de fer [Paris Lyon Méditerranée] P.L.M. du 2 février 1901 au 1er décembre 1911.

Passé par l'armée territoriale le 1er octobre 1908.

Campagnes et blessures : contre l'Allemagne du 2 août 1914 au 5 février 1919. Blessé le 3 octobre 1915 : placé selon par éclat d'obus articulation scapulo-humérale gauche.

Libéré du service militaire le 1er octobre 1922 ».

(source : Archives de Paris, Girodie, François Georges André, Matricule 1203, cote : D4RI 798).

« C'est encore l'amour de notre province qui le fit s'engager, en 1914, quadragénaire et mobilisé comme territorial, dans un bataillon de chasseurs à pied volontaires ; grièvement blessé à Souain le 3 octobre 1915, titulaire de la croix de guerre, il acheva la période des hostilités, modestement, dans une formation des Chemins de fer de Campagne. »

(source : Haug, Hans. « Nécrologie. André Girodie (1874-1946) ». Archives alsaciennes d'histoire de l'art, 1er janvier 1948, p. 203-206).

« Chasseur infirmier, d'une classe ancienne, a toujours fait courageusement son devoir, grièvement blessé le 3 octobre 1915 à Souain. Cette citation comporte l'attribution de la Croix de guerre 1814-1918 avec étoile de bronze. Aux Armées, le 20 mars 1918, Signé : Boeswillwald ».

(source : Service Historique de la Défense, Centre des archives du personnel militaire, DEVA/BRA « section des fonds Citations », Caserne Bernadotte, 64023 Pau cedex)

Opinions et actes politiques : « Je vous avais dit quelle cause je défendais : le régionalisme intégral de l'oeuvre d'art. Vous m'avez offert votre protection pour les travaux futurs sur ce sujet. »

(source : Fonds Maurice Barrès, 22 lettres d'André Girodie à Maurice Barrès, lettre du 18 janvier 1904, BnF, département des Manuscrits, NAF 28210 (III)).

Signataire de la pétition des artistes, des écrivains et des savants pour la protection des églises menée par Maurice Barrès.

(source : M. « Pour la protection des églises ». Le Gaulois : littéraire et politique, 19 mars 1911, p. 3).

« Si ce Bordelais s'était à tel point épris d'une terre alors séparée de la France, c'est par la fréquentation, à un moment de réveil national, d'hommes tels que Maurice Barrès, de Raymond Koechlin, de Henri Albert, du Docteur Bucher, qui le tenaient en haute estime. De 1902 à 1914, il fut un des plus actifs collaborateurs de la Revue alsacienne illustrée, et les monographies d'artistes qu'il donné à cette publication de glorieuse mémoire ont gardé, après trente ou quarante ans, toute leur valeur. »

(source : Haug, Hans. « Nécrologie. André Girodie (1874-1946) ». Archives alsaciennes d'histoire de l'art, 1er janvier 1948, p. 203-206).

« N'ayant jamais séparé son activité savante et la revanche symbolique sur les prétentions politiques et intellectuelles de l'Allemagne, Girodie se porte volontaire dès le début de la Première Guerre mondiale. » Engagé dans un bataillon de chasseurs à pied, il est grièvement blessé à Souain et obtient la Croix de guerre en 1915. »

(source : Martin, François-René. « André Girodie ». In Barbillon, Claire, Sénéchal, Philippe (dir.). Dictionnaire critique des historiens de l’art actifs en France de la Révolution à la Première Guerre mondiale. Paris : Institut national d’histoire de l’art, 2008).

Prix et distinctions : Officier de l'Instruction publique, 1909 ; Prix Charles Blanc, 1916 ; Chevalier de la Légion d’honneur, 1931.

Collections personnelles : Don d'une épreuve photographique à la bibliothèque d'art et d'archéologie avant 1928 (source : Photothèque Peintures I, 95) ; Girodie fourni le 1er juillet 1913 l'Inventaire de la collection de verrerie de l'époque gallo-romaine recueillies dans le département de l'Allier, celui du Puy-de-Dôme, etc. par L. Esmonnot, architecte à Moulins (source : Bibliothèque de l'Institut national d'histoire de l'art, collections Jacques Doucet, Ms 840) ; Girodie fourni en 1913 « Terres cuites gallo-romaines recueillies dans le département de l’Allier, celui du Puy-de-Dôme, etc... faisant partie de la collection de L. Esmonnot architecte à Moulins : photographies : statuettes. », de L. Esmonnot (source : Bibliothèque de l'Institut national d'histoire de l'art, collections Jacques Doucet, Ms 614) ; Girodie fourni en 1913 « Terres cuites gallo-romaines recueillies dans le département de l’Allier, celui du Puy-de-Dôme, etc... faisant partie de la collection de L. Esmonnot architecte à Moulins : photographies : vases. », de L. Esmonnot (source : Bibliothèque de l'Institut national d'histoire de l'art, collections Jacques Doucet, Ms 615) ; Offre à la Société archéologique du Midi de la France la photographie d'un projet de reconstruction de la Daurade, Toulouse, par Franque, architecte du Roi. (source : « Table analytique ». Bulletin de la Société archéologique du Midi de la France, 1914, p. 339) ; Don de six dessins et croquis, quatre gravures et deux documents imprimés intéressant le Musée de la Voiture à Compiègne, 25 février 1932 (source : AN 20144795/25) ; Dons à la Bibliothèque du Louvre et au Musée de Maisons-Laffitte (portraits gravés) (source : « Echos - nouvelles - concours ». Art et décoration : revue mensuelle d'art moderne, 1er septembre 1930, p. IV) ; Dons au Musée de la coopération franco-américaine du château de Blérancourt : deux dessins, par Adolphe Yvon ; quatorze gravures de modes du Second Empire ; un lot de gravures relatives à la guerre de Crimée ; neuf feuilles de croquis divers ; deux imprimés relatifs à la campagne d'Italie (source : Journal officiel de la République française. Lois et décrets. 11 janvier 1933, p. 360.) ; Don d'un dessin de James Tissot, étude pour le Portrait de femme au boléro rouge au Cabinet des dessins du musée du Louvre, 27 février 1935 (source : AN 20144779/16) ; « Sans fortune personnelle, seulement avec les modestes moyens que lui fournissaient sa plume et sa fonction, il réunit une bonne collection de dessins que, à son décès, sa veuve dut réaliser à l'amiable ; il n'y eut pas de vente publique. » (source : Fondation Custodia, Lugt L.1119a).

Langues maîtrisées : « Collabore à un grand nombre de revues françaises, anglaises, allemandes et italiennes. ». (source : La Quinzaine, LVIII, 1er mai 1904, n.p.).

Thèmes d'étude
Période étudiée : 
Aire géographique étudiée : 
Secteur fondamental d'étude : 
Commentaire Thèmes d'étude : 

art alsacien ; art du XVIIIe siècle ; arts décoratifs ; relations culturelles entre la France et les États-Unis

Liens entre personnes
Type de lien horizontal : 
Commentaire Type de lien horizontal : 

« Voici des années que M. André Girodie, qui fut secrétaire d'Eugène Müntz, mène, dans de nombreuses publications, le bon combat pour la décentralisation artistique ; il vient d'ajouter une nouvelle pierre à son édifice en publiant : La sculpture bourguignonne et les droits du musée de Dijon. ».

(source : Le Cholleux, R. « Les livres », La Revue septentrionale, 5 janvier 1904, p. 251).

Type de lien horizontal : 
Commentaire Type de lien horizontal : 

Corneille Theunissen, 41 ans, statuaire, domicilié au 19 rue Théophile Gautier à Paris, est témoin d'André Girodie pour la naissance de son fils Jean né le 30/03/1905.

(source : Archives de Paris, acte de naissance de Jean Girodie, Paris, 16e arrondissement, 1905, cote : V11E 527, acte n° 392, vue 11/11).

Type de lien horizontal : 
Commentaire Type de lien horizontal : 

Victor Aliéneau, 37 ans, gérant de propriétés, domicilié au 19 rue Spontini à Paris, est témoin d'André Girodie pour la naissance de sa fille Odile née le 13/02/1910.

(source : Archives de Paris, acte de naissance d'Odile Girodie, Paris, 16e arrondissement, 1910, cote : 16N 193_A, acte n° 199, vue 11/31).

Rôle de la personne dans la collectivité
Personne liée à la collectivité : 
Rôle personne liée à la collectivité : 
Date Rôle de la personne dans la collectivité : 
1914
Commentaire Rôle de la personne dans la collectivité : 

« Girodie (André), conservateur de la Bibliothèque Doucet, propose à la Société archéologique de se charger de l'inventaire des artistes français, section du haut Languedoc... Elu correspondant de la Société. »

(source : « Table analytique ». Bulletin de la Société archéologique du Midi de la France, 1914, p. 339).

Personne liée à la collectivité : 
Rôle personne liée à la collectivité : 
Date Rôle de la personne dans la collectivité : 
1910 - 1918
Commentaire Rôle de la personne dans la collectivité : 

« M. André Girodie, présenté par MM. J. Doucet et R. Koechlin ».

(source : « Séance du 8 avril 1910 ». Bulletin de la Société de l'histoire de l'art français. Paris : Jean Schemit, 1910, p. 173).

« Les démissions de MM. d'Allemagne, Delagrave et Girodie sont acceptées ».

(source : « Séance du 1er février 1918 ». Bulletin de la Société de l'histoire de l'art français. Paris : Edouard Champion, 1919, p. 33).

Personne liée à la collectivité : 
Rôle personne liée à la collectivité : 
Date Rôle de la personne dans la collectivité : 
1925 - 1926
Commentaire Rôle de la personne dans la collectivité : 

« Une lettre de M. le Marquis de Galard, qui présente comme membres de la Société : M. Jehan de Laborde-Lassalle, de Saint-Sever et M. Girodie, de Salies-de Béarn ».

(source : « Séance du 18 janvier 1925 ». Bulletin de la Société de Borda. 1925, p. XVIII).

Bibliographies / archives
Sources en ligne
Référence de notice : 
du Dictionnaire des historiens d'art en ligne (INHA)
Date de consultation : 
25/02/2016
Référence de notice : 
12208273
Date de consultation : 
07/02/2011
Date de consultation : 
07/07/2025
Url document source : 
Source
Institut national d'histoire de l'art (France)
Licence
Attribution 4.0 International (CC BY 4.0)
Rédacteur
Armelle Le Gendre ; Myriam Chevallier ; Pierre-Yves Laborde