Besselièvre fils
« En 1850, Besselièvre s'associe à ses deux fils Jean-Charles et Louis-Emile avec lesquels il fonde la société en nom collectif Indiennerie Besselièvre père et fils. » (source : base Mérimée, IA 76000569)
« Originaire de Bolbec, Jean-Baptiste Thermidor Besselièvre vient installer sa manufacture d'indiennes à la limite de la commune voisine de Déville-lès-Rouen. Ses deux fils, Charles et Émile, deviennent en 1848 ses collaborateurs, ses associés en 1850 puis ses successeurs en 1857 et pendant dix ans, exploitent ensemble l'établissement industriel. En 1867, après la terrible crise cotonnière due à la guerre de Sécession aux États-Unis d'Amérique, Émile se retire des affaires pour s'adonner à l'agriculture ; tandis que Charles reste seul à la tête de la fabrique d'indiennes. » (source : Histoires d'usines, A. Alexandre, M. Croguennec, 2013, p. 22.)
« En 1857, le père se retire des affaires, la société prend alors la raison sociale Besselièvre fils. Elle détient un capital de 1 370 000 francs. Cette association dura jusqu'en 1867 date à laquelle Charles reste seul à la tête de l'entreprise. » (source : base Mérimée, IA 76000569)
« En 1906, la nouvelle maison Besselièvre adopte le statut de commandite par actions : sans succès, puisque la nouvelle société Besselièvre fils et Cie au capital de 1, 6 millions de francs entre en liquidation judiciaire en juin 1914. » (source : base Mérimée, IA76000569)
« En 1906, la nouvelle maison Besselièvre adopte le statut de commandite par actions : sans succès, puisque la nouvelle société Besselièvre fils et Cie au capital de 1, 6 millions de francs entre en liquidation judiciaire en juin 1914. » (source : base Mérimée, IA76000569)
« Cette indiennerie est fondée en 1823 par Jean-Baptiste Besselièvre, fils d'imprimeur d'indiennes à la planche. » (source : base Mérimée IA 76000569)
« [...] la nouvelle société Besselièvre fils et Cie au capital de 1, 6 millions de francs entre en liquidation judiciaire en juin 1914. Elle ne disparaît cependant (du fait de la première guerre mondiale) qu'en 1920. » (source : base Mérimée IA 76000569)
« En 1914, l'usine est mise en liquidation judiciaire et ferme ses portes [...]. » (source : Histoires d'usines, A. Alexandre, M. Croguennec, 2013, p. 23.)
existence de la maison attestée de 1878 à 1900 dans la liste des exposants de l'Exposition Universelle de 1878 (source : Exposition universelle internationale de 1878, à Paris. Catalogue officiel. Tome II, 1878, p. 496.) et dans la liste des exposants de l'Exposition Universelle de 1900 (source : Exposition internationale universelle de 1900. Catalogue général officiel. Groupe XIII, 1900, p. 13.)
rue Duflo
« Cette indiennerie est fondée en 1823 par Jean-Baptiste Besselièvre, fils d'imprimeur d'indiennes à la planche. Il installe son activité dans l'usine de teinturerie en indigo Lebreton rachetée pour 20 000 francs. [...] En 1834, il rachète la teinturerie en rouge Deschamps-Ledur située de l'autre côté de la rivière et fait construire les bâtiments destinés à la garance. » (source : base Mérimée, IA 76000569)
« Originaire de Bolbec, Jean-Baptiste Thermidor Besselièvre vient installer sa manufacture d'indiennes à la limite de la commune voisine de Déville-lès-Rouen. » (source : Histoires d'usines, A. Alexandre, M. Croguennec, 2013, p. 22.)
(sources : Exposition universelle internationale de 1878, à Paris. Catalogue officiel. Tome II, 1878, p. 496 et Exposition internationale universelle de 1900. Catalogue général officiel. Groupe XIII, 1900, p. 13.)
« manufacture d'indiennes » (source : Histoires d'usines, A. Alexandre, M. Croguennec, 2013, p. 22.)
Le descriptif de la maison indique une production ou une exposition de : « Indiennes. » (source : Exposition universelle internationale de 1878, à Paris. Catalogue officiel. Tome II, 1878, p. 496.)
« La perfection des produits de sa [Charles Besselièvre] fabrication est alors reconnue dans toutes les expositions universelles auxquelles il prend part ; un grand prix est d'ailleurs attribué à la maison Besselièvre lors de l'Exposition Universelle de 1889. » (source : Histoires d'usines, A. Alexandre, M. Croguennec, 2013, p. 20.)
Le descriptif de la maison indique : « Tissus imprimés. » (source : Exposition internationale universelle de 1900. Catalogue général officiel. Groupe XIII, 1900, p. 13.)
catégorie « Grands prix » (source : Liste des récompenses : Exposition universelle de 1900, à Paris, 1901, p. 888.)
A l'Exposition Universelle de 1878, un certain nombre de maisons ont exposé en leur nom ainsi qu'avec la Société industrielle de Rouen.
A l'Exposition Universelle de 1878, un certain nombre de maisons ont exposé en leur nom ainsi qu'avec la Société industrielle de Rouen.
A l'Exposition Universelle de 1878, un certain nombre de maisons ont exposé en leur nom ainsi qu'avec la Société industrielle de Rouen.
p. 496
p. 13 (la pagination débute avec la partie sur la Classe 78 Blanchiment et teinture)
p. 888