Girard et Cie

« Cette usine d'impresion sur étoffes propriété du sieur Girard est attestée en 1839. Elle est en partie reconstruite en 1887 date à laquelle la société Girard et Cie reçoit l'autorisation d'effectuer une nouvelle prise d'eau sur le Cailly. » (source : base Mérimée, IA76001303)

« au début du XXe siècle » (source : Histoires d'usines, A. Alexandre, M. Croguennec, 2013, p. 56.)

« Au début du siècle, l'usine est exploitée par la société anonyme des anciens établissements Girard qui en 1907 détient un capital de 2 300 000 francs. » (source : base Mérimée, IA76001303)

existence de la maison attestée en 1878 dans la liste des exposants de l'Exposition Universelle de 1878 (source : Exposition universelle internationale de 1878, à Paris. Catalogue officiel. Tome II, 1878, p. 498.)

« La manufacture d'indiennes est fondée en 1818 par Jean-Baptiste Girard (1762-1850). En 1831, ce dernier s'associe à ses deux gendres, Pierre Bardin (1798-1883) et Joseph Lanier (1801-1888). [...] A la génération suivante, l'indiennerie est de nouveau dirigée par les deux gendres : Joseph Laveissière et Marie Anatole Chamont. » (source : Histoires d'usines, A. Alexandre, M. Croguennec, 2013, p. 56.)

« Dans les années 30, l'entreprise est incorporée au groupe alsacien Blanchisserie et Teinture de Thaon. Dernière usine d'impression de l'agglomération rouennaise, Gillet-Thaon ferme ses portes en septembre 1970. » (source : Histoires d'usines, A. Alexandre, M. Croguennec, 2013, p. 56.)

« En 1971, après la fermeture de la teinturerie, l'usine est divisée en deux parties. L'une est achetée par la société Novacel qui y implante une usine de fabrication de films plastics et fait construire de nouveaux ateliers. L'autre est reprise par les services techniques municipaux. » (source : base Mérimée, IA76001303)

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