Saladin, Henri
(source : AD Seine Maritime, 4E08062, acte n° 268)
Mère : Blay, Claire (source : AP, V4E 5393, acte n° 429)
Père : Saladin, Jules Alphonse (directeur de filature) (source : AD Seine Maritime, 4E08062, acte n°268) (ingénieur) (source : AP, V4E 5393, acte n° 429)
Conjointe : Dufrenne, Cécile Louise Marie (sans profession), Paris 21/12/1864 - 1933, mariage à Paris le 09/07/1883 (source : AP, V4E 5393, acte n° 429)
Enfant : Saladin, Raymond Jules Marie Ali, Paris 28/12/1889 – Mandelieu-la-Napoule 20/05/1974 (source : AP, V4E 1780, acte n° 1780)
(source : AP, 8D 187, acte n° 2487)
rue du Val Ricard
(source : AD Seine Maritime, 4E08062, acte n° 268)
65 rue des Saints-Pères
(source : AN, AJ/52/381, 287)
13 rue de Seine
(source : AP, V4E 5393, acte n° 429)
État des services fourni par Henri Saladin en 1889 pour obtenir le grade de Chevalier de la Légion d’honneur : « Reçu à l’École des Beaux-arts en 1872, certificat d’études à cette école, médailles et mentions à cette école ; Logiste pour le grand prix de Rome en 1879, voyage scientifique en Orient ; Diplômé supérieur du gouvernement en 1881, voyage en Italie et en Sicile ; Mission archéologique du gouvernement en 1882-83 en Tunisie ; mention au Salon d’architecture 1884, médaille d’argent à l’Exposition de Bruxelles 1888 ; Mission archéologique du gouvernement en 1885 en Tunisie ; 1er prix au concours du Palais Tunisien en 1887 ; Construction du Palais Tunisien à l’Exposition de 1889 » (source : AN, LH/2440/18)
« Le 24 octobre 1882, le ministère de l’Instruction publique nomme officiellement Henri Saladin, sur les conseils de Georges Perrot (membre de l’Académie des inscriptions et belles-lettres), ‘’architecte de la mission scientifique de M. Cagnat [1852-1937] en Tunisie’’, épigraphiste avec lequel il est chargé de relever et de dessiner les vestiges de l’Antiquité. » ; « En juin 1885, à nouveau recommandé par Perrot, Saladin sollicite et obtient du ministère de l’Instruction publique, une seconde mission en Tunisie, dans le but de compléter l’étude entreprise lors de sa première expédition et de se concentrer plus particulièrement sur la cité de Dougga, antique Thugga » (source : AN, F/17/3005/A, dossier Saladin ; Bacha, Myriam. « Henri Saladin (1851-1923). Un architecte « Beaux-Arts » promoteur de l’art islamique tunisien ». L’orientalisme architectural entre imaginaires et savoirs. Paris : Institut national d’histoire de l’art, 2009, p. 215-230)
Membre de la Commission de l’Afrique du Nord au Ministère de l’Instruction publique en 1889 ; membre du Comité d’organisation de l’exposition d’art musulman au palais de l’Industrie à Paris, en 1893 ; fonde en 1898 avec Paul Blanchet l’Association historique pour l’étude de l’Afrique du Nord, chargée de promouvoir le patrimoine islamique (source : Bacha, Myriam. « Henri Saladin (1851-1923). Un architecte « Beaux-Arts » promoteur de l’art islamique tunisien ». L’orientalisme architectural entre imaginaires et savoirs. Paris : Institut national d’histoire de l’art, 2009, p. 215-230)
Réalise entre 1893 et 1898 des travaux et constructions à Paris aux 44 rue de Fleurus (6e), 7 rue Notre-Dame-des-Champs (6e), 80 rue de l’Université (7e), 4 rue du Colisée (8e) et boulevard des Capucines (2e) (source : Dugast, Anne, Parizet, Isabelle.Dictionnaire par noms d’architectes des constructions élevées à Paris aux XIXe et XXe siècles. Paris : Service des travaux historiques, 1996, vol. 4, p. 78, notice no 4355)
Conçoit et réalise les pavillons de la Tunisie aux expositions universelles de 1889 et de 1900, ainsi que le pavillon de la Bulgarie en 1900 avec Henri Sévelinges ; conçoit l’Hôtel des Postes à Tunis et le Marché central ; soumet un projet, non retenu, au concours d’agrandissement de la cathédrale de Tunis en 1892 (source : Bacha, Myriam. « Henri Saladin (1851-1923). Un architecte « Beaux-Arts » promoteur de l’art islamique tunisien ». L’orientalisme architectural entre imaginaires et savoirs. Paris : Institut national d’histoire de l’art, 2009, p. 215-230)
Expert au Tribunal civil de la Seine dès 1910 (source : BINHA, Autographes, 145, 2, 1111-1120 ; AN, LH/2440/18, bulletin de décès)
Dans une lettre datée du 14 février 1912, Henri Saladin s’adresse à la Société de géographie pour leur proposer des documents concernant ses précédentes missions au Maroc : « J’ai appris hier par le Colonel Bourquin, chef du service géographique de l’armée, que la Société de Géographie organise une mission scientifique au Maroc. Je crois pouvoir utilement y coopérer en vous envoyant 2 exemplaires des notes relatives aux recherches sur l’art musulman au Maroc, notes que j’ai rédigées pour nos officiers, mais qui également peuvent être utilisées par vos missionnaires. ». Cette lettre est signée avec la mention « membre de la Commission de l’Afrique du Nord au Ministère de l’Instruction Publique ». Dans une seconde lettre datée du 21 février 1912, Henri Saladin transmet « deux exemplaires de [ses] notes sur les recherches archéologiques d’art arabe au Maroc », il ajoute qu’il « espère que ces documents pourront être utilisés par [les] missionnaires à la disposition desquels [il] se tiendrai bien volontiers s’ils croient qu’[il puisse] leur rendre service. » (source : BNF, SG colis 91 (4371), Dossier de la Commission d’études scientifiques du Maroc, 1911-1919)
Participe et expose deux aquarelles à l’Exposition annuelle des Beaux-arts par la Société des artistes français en 1913 : « 4534 – Décoration d’une voûte au Palais de Latran à Rome, 4535 – Fontaine des ‘’Eaux douces d’Asie’’, sur le Bosphore », son fils Raymond Saladin expose également deux études d’architecture (source : Explication des ouvrages de peinture et dessins, sculpture architecture gravure et lithographie des artistes vivants exposés au Grand Palais des Champs-Élysées le 30 avril 1913. Paris : Impr. Paul Dupont, 1913, p. 422)
5 entrées répertoriées entre 1910 et 1913 (source : Fichier des lecteurs, AN, AJ/16/8416-8417)
Correspondance avec Jacques Doucet et René-Jean de 1910 à 1912. Dans la première lettre connue, datée du 25 février 1910 et adressée à Jacques Doucet, il lui demande de « […] rappeler le nom de [sa] bibliothèque et l’adresse où se trouve [sa] bibliothèque pour [qu’il] puisse un de ces jours aller continuer le classement des papiers Bourgoin » dans lesquels il a déjà découvert des « dessins d’une précision admirable [qui] présentent le plus grand intérêt. » (source : BINHA, Autographes, 145, 2, 1111) ;
Dans la série de correspondance suivante adressée à René-Jean, Henri Saladin propose de transmettre des clichés de monuments de Tunisie, du Cambodge, de Perse, de Syrie, d’Égypte, de l’Espagne mauresque ou encore du Maroc, parfois par l’intermédiaire d’ami ou de collègues :
Lettre du 17 mars 1910 : « Je crois que vous pourriez utilement écrire à mon confrère M. P. Clément – architecte diplômé par le gouvernement 4 rue du Cloître Notre-Dame, qui a fait une merveilleuse série de grandes photos des monuments mauresques d’Espagne, et à mon ami H. Dufour, architecte diplômé par le gouvernement 1 place Stanislas à Nancy qui possède une série remarquable de clichés de Tunisie et surtout du Cambodge. » (source : BINHA, Autographes, 145, 2, 1112) ;
Lettre du 03 mai 1910 : « Avez-vous écrit à Courtellemont pour des vues d’architecture. Je pense qu’il faudrait choisir les clichés, et savoir s’il n’y a pas avantages à faire faire des agrandissements de certains d’entre eux, au lieu de clichés directs. Ce sera utile notamment pour la Perse et la Syrie et l’Égypte. » (source : BINHA, Autographes, 145, 2, 1113) ;
Lettre du 21 avril 1911 : « Je viens de recevoir d’un photographe de Tanger, une collection de photographies du Maroc que je lui avais demandées pour y faire un choix. Il y en a une centaine. Voulez-vous venir les voir chez moi […]. Si cela vous intéresse vous pourrez prendre les numéros […] de celles qui vous paraîtraient de nature à figurer dans la bibliothèque d’art et d’archéologie. » (source : BINHA, Autographes, 145, 2, 1115) ;
Comme lecteur de la Bibliothèque d’art et d’archéologie, Henri Saladin effectue une demande sur la disponibilité d’un ouvrage à René-Jean, lettre du 30 septembre 1910 : « Seriez vous assez aimable pour me dire si vous avez à la bibliothèque de M. Doucet l’ouvrage suivant : Indian sculpture and painting par E. B. Havell A.R.C.A., John Murray éditeur Albemarle Street, Londres » (source : BINHA, Autographes, 145, 2, 1114) et cherche à le rencontrer, lettre du 28 octobre 1911 : « Je vais ces jours-ci vous demander de me montrer vos trésors, sur l’Espagne arabe, et comme je veux être sûr de vous rencontrer, je vais vous prier de me faire savoir quels sont les jours et les heures où je suis le plus sûr de vous trouver à la bibliothèque. » (source : BINHA, Autographes, 145, 2, 1117) ;
Il donne son avis sur le Répertoire d’art et d’archéologie, lettre du 19 juillet 1912 : « Je vous remercie du nouveau répertoire d’art et d’archéologie qui m’a beaucoup intéressé – mais je voudrais y voir adopter un perfectionnement, ce serait de désigner par une forte astérisque les ouvrages dont vous donnez un compte rendu et qui se trouvent à la bibliothèque d’art et d’archéologie. Cela nous permettrait d’y aller à coup sûr les consulter. » (source : BINHA, Autographes, 145, 2, 1118) ;
Fait une demande pour un confrère, lettre non datée (mais que l’on peut situer en 1913-1914, la mission de Pillet au Caire datant de 1911-1912 et sa venue à la Bibliothèque n’étant attestée qu’en 1914, année pour laquelle deux entrées sont enregistrées) : « Un de mes jeunes confrères M. Pillet jadis attaché à la Mission du Caire désire consulter vos Monographies d’Orient. Voulez-vous être assez aimable pour lui ouvrir votre maison si hospitalière. » (source : BINHA, Autographes, 145, 2, 1120)
Lettre du 10 décembre 1912 : « J’avais demandé à M. Pelliot de me communiquer un certain nombre de ses photographies […] ; il me répond qu’il a fait don de ses clichés à la Bibliothèque d’art et d’archéologie et qu’une collection d’épreuves sera tirée et mise à la disposition du travailleur. […] Vous serez bien aimable de me prévenir du moment où je pourrais voir ces épreuves, j’en profiterai pour faire une petite séance à votre si précieuse bibliothèque. » (source : BINHA, Autographes, 145, 2, 1119)
Le 29 juin 1914 est enregistré le don à la Bibliothèque de Les monuments de Méhédiya. 1913, in-8°. et de Un robinet de marbre trouvé en Tunisie. 1913, in-8° (source : INHA, Registre d'inventaire des livres imprimés, n° 10687 et 10688)
Officier d’académie
médaille d’argent à l’Exposition de Bruxelles
Acteurs de la Bibliothèque d'art et d'archéologie (1909-1917) :
Formation : « En 1871, à vingt ans, Henri Jules Saladin s’inscrit à l’École des beaux-arts en deuxième classe, dans l’atelier de Pierre Daumet, architecte du château de Chantilly. Il est admis en première classe le 5 mai 1875 et, quatre ans plus tard, il entre en loge pour concourir au prix de Rome, où il est classé septième, avec un projet d’établissement pour une grande station thermale. En 1881, il obtient son diplôme d’architecte et il remporte le concours Achille-Leclère avec un projet de Chapelle pour un grand hospice réalisé avec Esquié » (source : Bacha, Myriam. « Henri Saladin (1851-1923). Un architecte « Beaux-Arts » promoteur de l’art islamique tunisien ». L’orientalisme architectural entre imaginaires et savoirs. Paris : Institut national d’histoire de l’art, 2009, p. 215-230)
État des services fourni par Henri Saladin en 1889 pour obtenir le grade de Chevalier de la Légion d’honneur : « Reçu à l’École des Beaux-arts en 1872, certificat d’études à cette école, médailles et mentions à cette école; Logiste pour le grand prix de Rome en 1879, voyage scientifique en Orient ; Diplômé supérieur du gouvernement en 1881, voyage en Italie et en Sicile […] » (source : AN, LH/2440/18)
Voyages connus : Tunisie, Italie, Grèce, Asie Mineure, Égypte (source : Cagnat, René. « 15 janvier 1924. Séance de la Commission de l’Afrique du Nord ». Bulletin archéologique du Comité des travaux historiques et scientifiques. 1924, p. XXX).
Biographie rédigée par Marie-Laure Crosnier Leconte :
Matricule de l'Ecole des Beaux-Arts : 2724. Henri Jules Saladin, né à Bolbec (Seine-Maritime) le 22 novembre 1851, élève d'Honoré Daumet, admis en 2è classe le 30 avril 1872, obtient un total de 20 valeurs, 1è classe le 5 mai 1875, obtient 6 mentions en projets rendus et esquisses et 3 Secondes Médailles en projets rendus et esquisse, admis au 2è essai du Concours de Rome le 14 mars 1877, certificat de capacité en août 1878 (Médaille remise le 24 novembre 1878), 7è logiste au Concours de Rome le 15 mars 1879, diplômé le 2 décembre 1880 (8è promotion, Une Salle des séances publiques de l'Institut), mention honorable au Prix Achille Leclère de l'Académie des Beaux-arts le 5 mars 1881, Seconde Médaille en esquisse et dernière mention le 9 juin 1881 (architecte à Paris 6è [entre 1881 et 1891], successeur d'Édouard Poudroux (1835-1893), Paris 7è [entre 1884 et 1894], et Paris 8è [entre 1894 et 1914]; missions archéologiques en Tunisie; nommé architecte de la mission en Tunisie conduite par l'épigraphiste René Cagnat, en octobre 1881; actif en Tunisie [Poste centrale de Tunis, 1888-93], et à Porto, Portugal [hôtel Pinto]; architecte du gouvernement, rapporteur au Comité des édifices diocésains du 29 février 1888 jusqu'en 1900 au moins; Pavillon de la Tunisie à l'Exposition universelle de 1889, Section tunisienne, et sections du Maroc et de la Bulgarie à l'Exposition universelle de 1900, en coll. avec Henri de Sevelinges; villas Dolorès, Macrisse, Deguerre, Hergog, constructions particulières; expose au Salon des artistes français à Paris en 1881, Chapelle pour un hospice, trois châssis, en coll. avec M. Esquié, 1884, Plan et vue perspective de la niche principale de la salle fraîche du palais de la Ziza à Palerme; Motifs tirés des mosquées El Achraf, El Ghours et du tombeau de Kaït-Bey, au Caire, mention honorable, 1886, Mission archéologique de Tunisie, Sbeïtla (Suffetula), mosaïques découvertes dans une villa romaine, état actuel; Dougga (Thugga), temple consacré à Jupiter, Junon et Minerve, et dédié aux empereurs Marc-Aurèle, Antonin et Lucius Verus, état actuel, 1887, Souvenirs d'un voyage en Italie et en Tunisie, 1891, Faïences anciennes au palais du Bardo, à Tunis, panneau au tiers de l'exécution, Carreaux de faïence arabe, grandeur d'exécution, 1898, Panneaux de faïence, au musée du Bardo (Tunisie); Porte de Maksouro, de la mosquée de Sibi Okba, à Kairouan (Tunisie), 1913, Porte de Mars à Reims, étude antique; Etudes d'architecture française : 1. Manoir Ango, près Dieppe.- 2. église et collège d'Eu, et 1914, Porte de mosquée, à Tétouan, Maroc, à l'Exposition universelle à Paris en 1900, Hôtel des Postes de Tunis, Médaille d'or, et à l'Exposition universelle et internationale de Gand en 1913, Vues et plans de l'Institut Pasteur et du Collège français, à Tanger; Plans et coupes du Collège et de l'Institut Pasteur de Tanger; Médaille d'argent à l'Exposition de Bruxelles en 1888, 2 Médailles d'or à l'Exposition universelle de 1900; publications sur l'archéologie, la Tunisie, et l'architecture musulmane, dont Voyage en Tunisie, rapports archéologiques sur deux missions, Tunis et Kairouan, Paris, 1908, et Manuel d'art musulman, Paris, A. Picard, 1907 (Prix Louis Fould de l'Académie des Inscriptions et Belles Lettres en 1908), collaborateur de la grande encyclopédie Planat; expert près le Tribunal civil de la Seine en 1899; membre du Comité des travaux historiques et scientifiques au Ministère de l'Instruction publique pour l'Afrique du Nord; membre de la S.A.D.G. en 1880, figure encore dans l'annuaire 1914, de la Société centrale des architectes en 1893, de la Société de défense mutuelle des architectes français, de la Société d'assistance confraternelle des architectes français, de l'Union syndicale des architectes français, de l'Association Taylor en 1899, sociétaire perpétuel, et de la Société des artistes français en 1889, radié en 1927; chevalier de la Légion d'honneur le 13 juillet 1889, officier d'Académie, décoré de l'Ordre royal du Cambodge, commandeur du Nichan Iftikhar; Médaille d'argent d'archéologie de la Société centrale des architectes en 1894, Grande Médaille d'argent de la Société centrale des architectes, Prix Dejean, en 1909 (L'Art arabe); mort fin 1923; Archives nationales de France, AJ/52/381, dossier d'élève; Delaire; notice nécrologique dans La Construction moderne, 20 janvier 1924 , p. 190; Leniaud; Dugast et Parizet; Tunis architectures 1860-1960, sous la dir. de Juliette Hueber et Claudine Piaton, Arles, Éd. Honoré Clair-Tunis, Éd. Elysad, 2011)
Sujet concours admission : Un Péristyle
Sujet du diplôme : Une Salle des séances publiques de l'Institut - Date du diplôme : 9 juin 1881
Matricule : 2724 - N° de promotion : 8
Date de passage en première classe : 5 mai 1875
Certificat de capacité : août 1878
Certificat de capacité : août 1878
Saladin travaille avec Blanchet lorsqu'il est élève à l'École normale supérieure sur la ville des Beni Hammad. (source : Bacha, Myriam. « Henri Saladin (1851-1923). Un architecte « Beaux-Arts » promoteur de l'art islamique tunisien ». L'orientalisme architectural entre imaginaires et savoirs. Paris : Institut national d'histoire de l'art, 2009, p. 215-230).
Henri Saladin et René Cagnat sont amis. « Aujourd'hui je tiens à saluer [la mémoire] de Saladin, mon ancien camarade de mission et mon ami de quarante ans. » (source : Cagnat, René. « 15 janvier 1924. Séance de la Commission de l'Afrique du Nord ». Bulletin archéologique du Comité des travaux historiques et scientifiques. 1924, p. XXIX). Saladin est architecte associé à la mission archéologique confiée à Cagnat en Tunisie, ils sont tous deux membres de la Commission archéologique de l'Afrique du Nord.
Henri Saladin et Paul Clément sont confrères. « Vous pouvez utilement écrire à mon confrère M. P. Clément, architecte diplômé par le gouvernement [...]», lettre du 17 mars 1910 à René Jean (source : BINHA, Autographes, 145, 2, 1112).
Etat : Publiée (28/09/2020) ; Saisi par: Fiori, Ruth (27/02/2006) ; Modifié par: plaborde (21/07/2021).