Monjour, Jules
(source : AP, 13M208, acte n° 368 ; AD Eure, 40R90, registre des matricules militaires de Bernay, matricule du recrutement n°75, f. 119-120)
Mère : Chéron, Maria Émilie (sans profession)
Père : Monjour, Joseph Adolphe (sans profession)
Conjointe : Truchot, Gabrielle Amélie Augustine (employée de commerce), Paris 03/02/1888, mariage à Paris le 08/04/1911 (source : AP, 13M208, acte n° 368)
Enfant : Monjour, Yvonne Madeleine, Paris 16/01/1911, « Les dits futurs nous ont déclaré reconnaître en vue de la légitimation devant résulter de leur mariage : Yvonne, Madeleine née à Paris, quatorzième arrondissement, le seize janvier dernier et inscrite comme née de Gabrielle Amélie Truchot. » (source : AP, 13M208, acte n° 368)
101 boulevard de l'Hôpital
(source : AP, 13M208, acte n° 368 ; AD Eure, 40R90, registre des matricules militaires de Bernay, matricule du recrutement n°75, f. 119-120)
78 avenue Kléber
(source :
Annuaire de la Gravure française
. 1912 ; AD Eure, 40R90, registre des matricules militaires de Bernay, matricule du recrutement n°75, f. 119-120)
108 rue de la Tour
(source :
Annuaire de la Gravure française
. 1913-14 ; AD Eure, 40R90, registre des matricules militaires de Bernay, matricule du recrutement n°75, f. 119-120)
présenté comme « conservateur de bibliothèque » en 1912 (source : AP, 14M 224, acte n° 622)
donne des notices sur des artistes français dans l'
Allgemeines Lexikon der bildenden Kunstler von der Antike bis zur Gegenwart
en 1914 et 1915
Jules Monjour fait ses classes militaires en 1905, il « passe dans la disponibilité de l’armée active le 25 septembre 1908 », il fait la « campagne contre l’Allemagne du 4 avril 1914 au 21 mars 1919 », il est « fait prisonnier le 15 septembre 1914 à la [Briqueterie de Loire] » (source : AD Eure, 40R90, registre des matricules militaires de Bernay, matricule du recrutement n°75, f. 119-120). Il apparaît dans la liste des prisonniers du camp de Quedlinburg le 13 janvier 1915 (source : Archives du CICR, P10222, n° 174), de même que dans la liste des prisonniers français publiée par la
Gazette des Ardennes
(source :
Supplément spécial de la Gazette des Ardennes
. n° 42, 26 avril 1915, f. 208)
Directeur de
L'Audace littéraire : Revue mensuelle de décentralisation littéraire
de 1909 à 1911. La revue semble être ensuite devenue
Comme il vous plaira
(source :
L'Audace littéraire
. n° 1-17, 1909-mai/juin 1911)
(« La première, pavoisée d'une enseigne prometteuse, l'
Audace littéraire
, avait comme directeur un Normand, M. Jules Monjour, devenu ensuite, paraît-il, libraire à Lisieux. Il envoya également des vers et des articles à
Comme il vous plaira
, autre revue, fondée, celle-là, par le poète mulâtre Jean-Raould Darius ; aux
Entretiens idéalistes
, de Paul Vulliaud ») (source :
Tourisme, arts et sports dans l'ouest et la Normandie illustrée
. n° 5, 1931, p. 18)
Rédacteur en chef du journal
Le Tuyau : organe indépendant des prisonniers de Quedlinburg
du 15 juillet 1915 au 15 mars 1917, date de la disparition du journal. (source :
Le Tuyau
. n°1 à 42, 1915-1916, n° 1 à 11, 1916-1917)
Langues maîtrisées : allemand
Jules Monjour est témoin lors du mariage de Jean Paillard et Bettina Laurette Caira à Paris le 27 avril 1912. (source : AP, 14M 224, acte n° 622).