Amphore avec Bacchus et le satyre Marsyas
Pas d'illustration
Intitulés
Intitulé :
Amphore avec Bacchus et le satyre Marsyas
Date événement :
8 mai 1837
-
12 mai 1837
Commentaire Intitulés :
Pas de n° de PV car lot retiré de la vente.
N° catalogue : 19, "I. Vases peints. A. Dieux. 6. Bacchus"
N° catalogue : 19, "I. Vases peints. A. Dieux. 6. Bacchus"
Types d'oeuvres concernées
Catégories d'oeuvres concernées :
Commentaire Types d'oeuvres concernées :
Description du catalogue :
Peint. r. Bacchus barbu (tunique talaire, pardalide, couronné de lierre) se retourne à g. et tient le canthare et un cep de vigne. De chaque côté une ménade (tunique talaire, péplus, thyrse, bonnet) qui repousse un satyre ithyphallique; celle à g. a de plus une nébride et un serpent. Les deux satyres sont couronnés de lierre, une nébride couvre leurs épaules. Derrière chacun de ces satyres, une autre ménade; toutes deux sont animées de la fureur orgiaque. Celle à droite (tunique talaire, péplus, nébride) est munie du thyrse et d'un serpent qui s'enroule autour de son bras g. L'autre, dépourvue de nébride, tient des deux mains son thyrse. Des couronnes de lierre entourent leurs fronts. Le satyre Marsyas (double flûte, vu de face, ithyphallique, couronné de lierre, nébride) est placé entre ces deux ménades au revers de Bacchus. Le mot "beau" se trouve deux fois dans le champ de cette remarquable peinture.
Sur le col, au-dessus de Bacchus, trois athlètes nus qui courent. Deux tiennent des baguettes pour le jeu de l'aeganeum; l'autre est un discobole. A terre, un disque et une espèce de pioche.
R. Trois autres athlètes dont deux s'appuient sur des baguettes; le troisième tient un disque. dans le haut de la peinture, un lécythe et une peau tachetée. A terre deux pioches.
Plusieurs restaurations antiques et des tenons en bronze se remarquent à ce vase dont les peintures offrent un sentiment d'originalité et de première pensée d'artiste peu commun sur les vases.
Haut. 23 pouces avec le support.
Peint. r. Bacchus barbu (tunique talaire, pardalide, couronné de lierre) se retourne à g. et tient le canthare et un cep de vigne. De chaque côté une ménade (tunique talaire, péplus, thyrse, bonnet) qui repousse un satyre ithyphallique; celle à g. a de plus une nébride et un serpent. Les deux satyres sont couronnés de lierre, une nébride couvre leurs épaules. Derrière chacun de ces satyres, une autre ménade; toutes deux sont animées de la fureur orgiaque. Celle à droite (tunique talaire, péplus, nébride) est munie du thyrse et d'un serpent qui s'enroule autour de son bras g. L'autre, dépourvue de nébride, tient des deux mains son thyrse. Des couronnes de lierre entourent leurs fronts. Le satyre Marsyas (double flûte, vu de face, ithyphallique, couronné de lierre, nébride) est placé entre ces deux ménades au revers de Bacchus. Le mot "beau" se trouve deux fois dans le champ de cette remarquable peinture.
Sur le col, au-dessus de Bacchus, trois athlètes nus qui courent. Deux tiennent des baguettes pour le jeu de l'aeganeum; l'autre est un discobole. A terre, un disque et une espèce de pioche.
R. Trois autres athlètes dont deux s'appuient sur des baguettes; le troisième tient un disque. dans le haut de la peinture, un lécythe et une peau tachetée. A terre deux pioches.
Plusieurs restaurations antiques et des tenons en bronze se remarquent à ce vase dont les peintures offrent un sentiment d'originalité et de première pensée d'artiste peu commun sur les vases.
Haut. 23 pouces avec le support.
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