PV n°141 - Miroir gravé. Scène de toilette et Turan.
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Intitulé :
PV n°141 - Miroir gravé. Scène de toilette et Turan.
Date événement :
7 février 1865
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Description du catalogue :
Gravure au trait, sur le revers d'un miroir de fabrique étrusque. Hélène (Malavisch ou Malakisch. Ce nom est tracé d'une manière rétrograde, comme le sont également ceux des autres personnages figurés sur ce miroir) vêtue d'une tunique talaire, recouverte d'un péplus, est assise sur un trône garni d'un marchepied. La fille de Léda est chaussée de belles sandales. Des pendants d'oreilles, des bracelets et un riche collier composent sa parure, à laquelle président Jeux Grâces qui attachent un diadème sur son front, tandis que leur troisième sœur épanche une huile parfumée sur ses cheveux. Ces déesses, dont le costume et les ornements diffèrent peu de ceux d'Hélène, sont accompagnées de leurs noms (Munthuch, Thinthiach ou Hinthiach, et Vtie ?).
Sur la droite Vénus (Turan) debout assiste à la toilette de sa protégée. Cette divinité est également vêtue de long. Sa main droite tient une branche de myrte. Une colombe repose sur son épaule gauche, et un cygne se voit à ses pieds. Les joyaux dont elle est parée appartiennent aux mêmes genres que les précédents.
Sur le haut du champ sont gravés sept étoiles et le croissant de la lune. Sous le trône d'Hélène est figuré le combat de deux coqs, image-des luttes sanglantes dont cette princesse devait être l'objet et le prix.
Sur le manche du miroir est représentée une espèce de nain chauve, nu et portant un rang de perles passé eu sautoir. Ses mains tiennent les deux bouts d'une branche de laurier qui entoure la composition.
Ce miroir, si précieux par le sujet qu'il présente la finesse admirable de son exécution, appartenait à la collection Durand. Cat. n° 1969.
Gravure au trait, sur le revers d'un miroir de fabrique étrusque. Hélène (Malavisch ou Malakisch. Ce nom est tracé d'une manière rétrograde, comme le sont également ceux des autres personnages figurés sur ce miroir) vêtue d'une tunique talaire, recouverte d'un péplus, est assise sur un trône garni d'un marchepied. La fille de Léda est chaussée de belles sandales. Des pendants d'oreilles, des bracelets et un riche collier composent sa parure, à laquelle président Jeux Grâces qui attachent un diadème sur son front, tandis que leur troisième sœur épanche une huile parfumée sur ses cheveux. Ces déesses, dont le costume et les ornements diffèrent peu de ceux d'Hélène, sont accompagnées de leurs noms (Munthuch, Thinthiach ou Hinthiach, et Vtie ?).
Sur la droite Vénus (Turan) debout assiste à la toilette de sa protégée. Cette divinité est également vêtue de long. Sa main droite tient une branche de myrte. Une colombe repose sur son épaule gauche, et un cygne se voit à ses pieds. Les joyaux dont elle est parée appartiennent aux mêmes genres que les précédents.
Sur le haut du champ sont gravés sept étoiles et le croissant de la lune. Sous le trône d'Hélène est figuré le combat de deux coqs, image-des luttes sanglantes dont cette princesse devait être l'objet et le prix.
Sur le manche du miroir est représentée une espèce de nain chauve, nu et portant un rang de perles passé eu sautoir. Ses mains tiennent les deux bouts d'une branche de laurier qui entoure la composition.
Ce miroir, si précieux par le sujet qu'il présente la finesse admirable de son exécution, appartenait à la collection Durand. Cat. n° 1969.
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