Sainte Conversation
Titres
Titre :
Sainte Conversation
Titre :
La Vierge en trône avec des saints
Localisations
Lieu de conservation :
Type de Cote / numéro :
Cote / numéro :
MI 548
Type de Cote / numéro :
Cote / numéro :
12838
Créations / exécutions
Personne liée à l'oeuvre :
Rôle :
Commentaire Rôle :
L'inventaire mentionne que l'oeuvre est signée
Type de date :
Date de création :
Vers
1500
Historiques de collection
Collection :
Coll. Fesch, à Rome ; estimé à 150 scudi dans l'inventaire après décès du cardinal Fesch ; vente Fesch, à Rome, en 1845 (n° 916) ; acquis par Baseggio pour 250 écus. ; coll. du marquis Giovanni Pietro Campana, à Rome ; acquis en 1861 et présenté au musée Napoléon III, à Paris, en 1862 ; au musée du Louvre, dès 1863 ; déposé au musée de Caen de 1872 à 1975 ; déposé à Avignon en 1976.
Evénement :
Description du catalogue de 1845 :
La sainte Vierge, avec l'enfant Jésus sur ses genoux, est assise sur une espèce de mur, à hauteur d'appui, qui occupe tout le devant de la composition. De chaque côté d'elle, deux saintes femmes sont en adoration ; et derrière celles-ci, se trouvent deux saints personnages dont l'un s'occupe d'une pieuse lecture. Deux anges suspendent derrière Marie une draperie rouge bordée d'or ; l'un d'eux tient une couronne au-dessus de sa tête. Dans sa main gauche ouverte, la mère de Dieu montre des fleurs parmi lesquelles, sans doute, son fils a choisi celle qu'il s'apprête à faire tomber sur le petit saint Jean qui, assis à ses pieds, tend la main pour la recueillir. Deux autres anges, placés derrière la muraille, jouent, l'un du violon, l'autre d'un tambour de basque. Au-delà de cette scène, une pelouse s'étend jusqu'au bord d'une rivière, sur la rive opposée de laquelle s'élève une grande ville appuyée à des rochers amoncelés les uns sur les autres et dont le sommet, en s'élançant à pic dans les nues, est couronné par de nouvelles constructions ; toute cette partie se voit à travers une immense et frêle arceau dont la nature seule a fait les frais.
Dire que ce tableau ne laisse aucun doute sur son authenticité, c'est en faire tout l'éloge.
La sainte Vierge, avec l'enfant Jésus sur ses genoux, est assise sur une espèce de mur, à hauteur d'appui, qui occupe tout le devant de la composition. De chaque côté d'elle, deux saintes femmes sont en adoration ; et derrière celles-ci, se trouvent deux saints personnages dont l'un s'occupe d'une pieuse lecture. Deux anges suspendent derrière Marie une draperie rouge bordée d'or ; l'un d'eux tient une couronne au-dessus de sa tête. Dans sa main gauche ouverte, la mère de Dieu montre des fleurs parmi lesquelles, sans doute, son fils a choisi celle qu'il s'apprête à faire tomber sur le petit saint Jean qui, assis à ses pieds, tend la main pour la recueillir. Deux autres anges, placés derrière la muraille, jouent, l'un du violon, l'autre d'un tambour de basque. Au-delà de cette scène, une pelouse s'étend jusqu'au bord d'une rivière, sur la rive opposée de laquelle s'élève une grande ville appuyée à des rochers amoncelés les uns sur les autres et dont le sommet, en s'élançant à pic dans les nues, est couronné par de nouvelles constructions ; toute cette partie se voit à travers une immense et frêle arceau dont la nature seule a fait les frais.
Dire que ce tableau ne laisse aucun doute sur son authenticité, c'est en faire tout l'éloge.
Evénement :
Description du catalogue de 1841 :
Petites figures peintes avec fermeté et beaucoup de soin, par Carpaccio.
Petites figures peintes avec fermeté et beaucoup de soin, par Carpaccio.
Bibliographies / archives
Commentaire Bibliographies / archives :
n° 62, p. 88-89.
Commentaire Bibliographies / archives :
n° 49, p. 78.
Commentaire Bibliographies / archives :
n° 60.
Sources en ligne
Organisme :
Référence de notice :
000PE012515
Date de consultation :
28/05/2019
Url document source :
Source
source : Institut national d'histoire de l'art (France) / Ville d'Ajaccio - licence : Attribution 4.0 International (CC BY 4.0)