Œuvre de dévotion autonome.
Sculpture taillée dans une pièce principale de bois (tilleul ?), avec éléments assemblés.
- Traces de fixation dans l’étau de l’établi : sur la tête, une cavité (diamètre : 1 cm) ; dessous de la base non accessible.
- Éléments assemblés : l’Enfant (disparu) et les mains (main gauche disparue, main droite restituée).
- Principaux manques : l’Enfant, la main gauche de la Vierge, des mèches de ses cheveux, des parties au bas du manteau ; éclats sur les cheveux, les vêtements, le banc et la base.
- Interventions postérieures : restitution de la main droite de la Vierge ; restitution de plis de la robe sur le buste ; sculpture fixée par des vis sur un socle (20e siècle).
Polychromie postérieure (19e-20e siècle).
- Manteau : bleu.
- Revers du manteau, robe : rouge.
- Cheveux : noir.
- Carnations : rose.
La Vierge assise sur un banc devait présenter l’Enfant Jésus sur ses genoux.
Attribution à un sculpteur allemand par Sophie Guillot de Suduiraut (communication écrite, 2007).
Allemagne du Sud, Bavière (Bayern) ?
Origine inconnue. Collection d’Auguste-François Alfred Béthouart (1839-1907) et d’Augustine Marie Pauline Béthouart, son épouse, née Chauveau. Legs Augustine Marie Pauline Béthouart, 1933.
p. 14 (« Vierge assise »).