Espérandieu, Émile
Villa Madeleine, rue des Tricots
(source : Bulletin de la Société nationale des antiquaires de France, 1908, p. 14)
(source : Marianne Altit-Morvillez, Émile Espérandieu, un archéologue entre institution militaire et monde académique, Drémil-Lafage, Mergoil, 2021, p. 30)
Il est professeur à l'école des sous-officiers de Saint-Maixent (Ecole des sous-officiers d'active) de 1886 à 1890 puis de 1890 à 1901. (source : Marianne Altit-Morvillez, Émile Espérandieu, un archéologue entre institution militaire et monde académique, Drémil-Lafage, Mergoil, 2021, p. 26)
Après la mort d'Auguste Allmer, fondateur de la Revue Epigraphique, Émile Espérandieu en reprend la direction, en 1899, mais l'abandonne finalement en 1908. (source : Marianne Altit-Morvillez, Émile Espérandieu, un archéologue entre institution militaire et monde académique, Drémil-Lafage, Mergoil, 2021, p. 29)
Médaille au congrès de la société française d'archéologie
Prix Gaussail
Formation : Il suit un diplôme d’enseignement spécial scientifique sous la direction de Victor Duruy puis entre à Saint-Cyr, en 1878. (source : Altit-Morvillez, Marianne, Émile Espérandieu, un archéologue entre institution militaire et monde académique, Drémil-Lafage, Mergoil, 2021. p. 25)
Langues maîtrisées : italien, espagnol, roumain, portugais (source : Espérandieu, Émile. Souvenirs, vol. 2. slnd. p. 358)
Sociétés savantes:
Membre de la commission archéologique de Tunisie (1885)
Membre résidant de la Société nationale des antiquaires de France (1905)
Membre résident de la Société des Antiquaires de l’Ouest (1906)
Membre de l'Institut français d'anthropologie (1911)
Président de l'Académie de Nîmes (1932)
Membre de la Commission des fouilles de France (1933)
Membre de l'Institut archéologique allemand (1933)
Membre de la Société royale de Belgique
Membre de la Société pour la recherche et la conservation des monuments historiques dans le Grand-Duché du Luxembourg
Membre de l'académie des inscriptions et belles-lettres
Membre titulaire à la Société des sciences, lettres et beaux-arts de l’arrondissement de Cholet
Membre correspondant à la Société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers
Membre de la Société archéologique du Midi de la France à Toulouse
Membre non résidant à la Société scientifique et littéraire d’Alais
(source : fiche d'Émile Espérandieu dans le Dictionnaire Critique des Historiens de l'Art de l'INHA et Altit-Morvillez, Marianne, Émile Espérandieu, un archéologue entre institution militaire et monde académique, Drémil-Lafage, Mergoil, 2021)
monnaies romaines, Alésia, cachets d'oculistes romains
Auguste Allmer correspond avec Émile Espérandieu. Il devient aussi le mentor d’Espérandieu, à partir de 1886, après que celui-ci se soit abonné à sa revue. Espérandieu va, ensuite, lui succéder à la tête de la Revue épigraphique, en 1898 (source : Altit-Morvillez, Marianne. Émile Espérandieu, un archéologue entre institution militaire et monde académique, Drémil-Lafage, Mergoil, 2021, p. 50)
Adolphe Reinach co-dirige La revue épigraphique avec Émile Espérandieu à partir de 1913. (source : Rouvret, Agnès. « Introduction ». Le Recueil Milliet ., Alençon : Macula, 1985, p. V à XXX).
Bernard Roy : « Pendant cette mission topographique au Kef, Espérandieu a l’opportunité de rencontrer l’une des personnalités les plus marquantes de la Tunisie de l’époque Bernard Roy, agent consulaire au Kef » (source : Altit-Morvillez, Marianne. Émile Espérandieu, un archéologue entre institution militaire et monde académique. Drémil-Lafage, Mergoil, 2021. p. 31)
notice d'Henri Lavagne