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Tombeau du duc Charles de Créqui

Statut
Publiée
Contributeur
adequier
Dernière modification
25/10/2023 16:57 (il y a 6 mois)
Type d'oeuvre
Titres
Titre : 
Tombeau du duc Charles de Créqui
Localisations
Lieu de conservation : 
Commentaire Lieu de conservation : 
Le gisant et l'Espérance sont conservés à l'église Saint-Roch.
Les statues des vertues, la Religion et la Force, sont à l'église des Invalides.
Localisation MMF historique : salle du XVIIIe siècle (A. Lenoir, Description ornée de gravures, t. V)
Type de Cote / numéro : 
Cote / numéro : 
XLVIII
Commentaire Cote / numéro : 
cat. an VI, p. 216-217
Type de Cote / numéro : 
Cote / numéro : 
492
Commentaire Cote / numéro : 
cat. an VIII, p. 324-325 (statue du maréchal et les deux figures de la Religion et de la Force) ; cat. an X, p. XIV et 298 ; cat. an XI, p. XIV et 262 ; cat. 1806 (statue et épitaphe), p. 40 et 227 ; cat. 1810, p. LVII et 269 ; cat. 1815, p. 144 ; cat. 1816, p. 133 (dans le tome V p.131 Lenoir ajoute à sa description du duc couché "un génie en pleurs à ses pieds")
Restaurations
Etat de Restauration : 
Commentaire Etat de Restauration : 
Les statues de la Religion et de la Force sont restaurées par la marbrier Marchal en 1798 : 1ère statue : avant-bras droit, main droite. 2e statue : tête, doigts, draperie.
Matérialité
Matériau : 
Technique : 
Créations / exécutions
Personne liée à l'oeuvre : 
Personne liée à l'oeuvre : 
Historiques de collection
Collection : 
Couvent des Capucines de la place Vendôme. Monument démonté dès 1753 et entreposé dans le cloître du couvent. Entré au musée des Monuments français en mars-avril 1798 après de longues négociations pour un lot de 50 pièces de marbre contre 300 Francs. Coût de la démolition par Scellier : 524 francs. Le monument avait été vendu puis racheté par le marbrier Marchal, il faut donc considérer comme une erreur de plume le texte où Alexandre Lenoir cite le marbrier Tanré comme propriétaire (AMMF, T.III, 1897, p.207). Marchal effectue des restaurations sur les statues de la Religion et de la Force (travaux très critiqués à l'époque). en 1797 il posséde la statue du maréchal, la tempérance, l'Espérance, la Religion et un écusson. Dans le Tome V du catalogue de l'an 1815, Lenoir ajoute à sa description du Duc couché "un génie en pleurs à ses pieds". Le gisant et l'Espérance entrent à l'église Saint-Roch en 1819. Il existe un plâtre à Versailles (Soulié, cat. T.II, 1881 n°1896, 1885 n°1878). Les statues de la Religion et la Force sont déposées à l'église des Invalides entre 1804 et 1806.
Bibliographies / archives
Type de référence : 
Commentaire Bibliographies / archives : 
t. I, 1883, p. 75-76, document LXXIX ; p. 77-78, document LXXXI ; p.99-106, document CI ; p.104-105 (restauration) ;
t. II, 1886, p. 402 ; p. 409 : 11 mars 1798 : Lenoir donne à Marchal, en échange du tombeau, des "vieux marbres du musée" ;
t. III, 1897, p. 207
Type de référence : 
Commentaire Bibliographies / archives : 
t. I, p. 117, n° 834 (journal d'A. Lenoir, état n° 2 ; Lenoir souhaite acheter les figures) ; p. 131, n° 924 (Lenoir autorisé à acheter les marbres du tombeau) ; p. 135, n° 949 (remise au vendeur des marbres de sa contre-partie) ; p. 154, n° 1032 (autorisation échange) ; p. 191, n° 492 (répartition des oeuvres - oeuvres portées à Saint-Roch)
Sources en ligne
Référence de notice : 
Clairambault, ms 1233
Date de consultation : 
15/11/2015
Référence de notice : 
Clairambault, ms 1148
Date de consultation : 
15/11/2015
Référence de notice : 
8-Z LE SENNE-4822 (2)
Date de consultation : 
18/01/2016
Source
source : Institut national d'histoire de l'art (France) / Musée du Louvre (Paris) - licence : Attribution 4.0 International (CC BY 4.0)
Rédacteur
Angèle Dequier