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Ecce Homo ; Le Christ au jardin des Oliviers

Statut
Publiée
Contributeur
vnestoro
Dernière modification
25/10/2023 16:23 (il y a environ 1 an)
Type d'oeuvre
Titres
Titre : 
Ecce Homo ; Le Christ au jardin des Oliviers
Localisations
Commentaire Lieu de conservation : 
baie 15, collatéral nord du choeur.
Commentaires descriptifs
Commentaire descriptif : 
Au registre inférieur : Ecce Homo, accompagné de donateurs avec leurs armoiries (Joseph Prévost, conseiller du roi au Châtelet de Paris ?). La composition est inspirée d'une gravure de Lucas de Leyde. Au registre supérieur et aux écoinçons : le Christ au jardin des Oliviers (la partie inférieure a été refaite)
Restaurations
Commentaire Etat de Restauration : 
La verrière a été restaurée notamment en 1724.
Matérialité
Dimensions
Hauteur : 
3,5
Largeur : 
2
Unité de mesure : 
Représentations
Indexation Garnier-SMF : 
Créations / exécutions
Rôle : 
Commentaire Rôle : 
Atelier parisien (Leproux, 1988).
Lieu de création : 
Date de création : 
1544 - Date inscrite
Historiques de collection
Statut de la propriété : 
Collection : 
La mise en place des verrières suit la reconstruction de l?église à la fin du XVe siècle, sans doute à l?initiative d?Anne de Bretagne, qui était aussi comtesse de Montfort. Le chantier commence avec le ch?ur et son déambulatoire, puis s?interrompt en 1514. Les travaux reprennent entre 1532 et 1540 sous l?impulsion d?André de Foix, seigneur de Montfort (l?église reçoit les verrières de la partie orientale). A partir de 1543, on pose les verrières des collatéraux. 37 verrières anciennes ont survécu (5 sont précisément datées). Les verrières sont partiellement réparées au XVIIIe siècle, mais en mauvais état au XIXe siècle (rapport alarmant de Prosper Mérimée en 1835). Didron rédige un « Rapport sur les vitraux de Montfort-l?Amaury adressé à M. le ministre de l?Instruction publique le 1er juin 1839 », où il formule une critique assez sévère de la qualité des vitraux : « Nous avons là un piquant échantillon de l?art en province, ou même de l?art en village ». Un devis de restauration est établi par Théodore Chassériau et le verrier Joseph Vigné, mais qui n?est pas suivi. L?église est classée MH en 1840. La restauration des vitraux commence en 1838, puis confiée à Maréchal et Gugnon de Metz (1850-1858). Interventions ponctuelles vers 1928 et 1946.
Protections
Type de protection MH : 
Bibliographies / archives
Commentaire Bibliographies / archives : 
p.40-41
Sources en ligne
Référence de notice : 
PM78000799
Date de consultation : 
09/06/2021
Source
source : Institut national d'histoire de l'art (France) / Musée du Louvre (Paris) - licence : Attribution 4.0 International (CC BY 4.0)