Titres
Titre :
Verrière de saint Pierre
Localisations
Lieu de conservation :
Commentaire Lieu de conservation :
choeur ; bas-côté nord ; baie 13
Commentaires descriptifs
Commentaire descriptif :
Baie composée de 3 lancettes à 2 registres ; 3 soufflets et écoinçons au tympan.
Soubassement : couple de donateurs, armoiries.
Registre inférieur : la condamnation de saint Pierre ; l'ange le réveille dans sa prison.
Registre supérieur : l'ange le fait sortir de son cachot ; saint Pierre remercie Dieu.
Tympan : soufflets inférieurs : à g., saint Pierre frappe à la porte de Marie, mère de Jean ; à dr., Hérode est frappé par l'ange ; soufflet supérieur : la prédication de saint Pierre ; écoinçons : anges portant les instruments de la Passion.
Soubassement : couple de donateurs, armoiries.
Registre inférieur : la condamnation de saint Pierre ; l'ange le réveille dans sa prison.
Registre supérieur : l'ange le fait sortir de son cachot ; saint Pierre remercie Dieu.
Tympan : soufflets inférieurs : à g., saint Pierre frappe à la porte de Marie, mère de Jean ; à dr., Hérode est frappé par l'ange ; soufflet supérieur : la prédication de saint Pierre ; écoinçons : anges portant les instruments de la Passion.
Restaurations
Etat de Restauration :
Commentaire Etat de Restauration :
Restauration en 1724
Créations / exécutions
Personne liée à l'oeuvre :
Rôle :
Lieu de création :
Type de date :
Date de création :
Historiques de collection
Statut de la propriété :
Collection :
La mise en place des verrières suit la reconstruction de l?église à la fin du XVe siècle, sans doute à l?initiative d?Anne de Bretagne, qui était aussi comtesse de Montfort. Le chantier commence avec le ch?ur et son déambulatoire, puis s?interrompt en 1514. Les travaux reprennent entre 1532 et 1540 sous l?impulsion d?André de Foix, seigneur de Montfort (l?église reçoit les verrières de la partie orientale). A partir de 1543, on pose les verrières des collatéraux. 37 verrières anciennes ont survécu (5 sont précisément datées). Les verrières sont partiellement réparées au XVIIIe siècle, mais en mauvais état au XIXe siècle (rapport alarmant de Prosper Mérimée en 1835). Didron rédige un « Rapport sur les vitraux de Montfort-l?Amaury adressé à M. le ministre de l?Instruction publique le 1er juin 1839 », où il formule une critique assez sévère de la qualité des vitraux : « Nous avons là un piquant échantillon de l?art en province, ou même de l?art en village ». Un devis de restauration est établi par Théodore Chassériau et le verrier Joseph Vigné, mais qui n?est pas suivi. L?église est classée MH en 1840. La restauration des vitraux commence en 1838, puis confiée à Maréchal et Gugnon de Metz (1850-1858). Interventions ponctuelles vers 1928 et 1946.
Bibliographies / archives
Commentaire Bibliographies / archives :
p.213-214
Commentaire Bibliographies / archives :
vol.II, p.23-24, comme "atelier voisin de ceux des Le Prince"
Commentaire Bibliographies / archives :
p.38-40
Sources en ligne
Organisme :
Référence de notice :
AP10L00691
Date de consultation :
28/05/2019
Url document source :
Source
source : Institut national d'histoire de l'art (France) / Musée du Louvre (Paris) - licence : Attribution 4.0 International (CC BY 4.0)