Bulletin de l’Office international des instituts d’archéologie et d’histoire de l’art (1934-1946)

PERIODICITE
1934-1937 : 1 à 3 numéros par an
1939 ; 1946 : 1 numéro par an

TIRAGE
non renseigné

PRIX du numéro
France : 6 francs (1934 - mars 1937) - 15 francs (1937, n° 10)
étranger : 8 francs (1934 - mars 1937) - 20 francs (1937, n° 10)

PRIX de l'abonnement
France : 15 francs (1934 - mars 1937) - 40 francs (1937, n° 10)
étranger : 20 francs (1934 - mars 1937) - 60 francs (1937, n° 10)

RELAIS DE DIFFUSION
France : non renseigné
étranger : non renseigné

LANGUES ETRANGERES
1934-1937 : nombreux articles traduits de l’italien, de l’anglais, de l’allemand, de l’espagnol
1939 ; 1946 : articles traduits de l'anglais

NUMEROS PARUS
11 (dont un double, 1934-1946)

HISTORIQUE
Le Bulletin périodique, organe de l’Office international des instituts d’archéologie et d’histoire de l’art, fondé sous les auspices de la Société des Nations en 1933, paraît pour la première fois en mars 1934. Publié à Paris par l’Institut international de coopération intellectuelle (organe culturel de la Société des Nations) comme Mouseion, le Bulletin se veut une « plateforme de discussion » ayant pour but d’accompagner la coopération entre les instituts universitaires d’histoire de l’art et d’archéologie des pays adhérents à la SDN, en coordonnant les différents aspects de leur activité (méthodes, bibliographie, terminologie). La revue est rédigée par les principales personnalités scientifiques mondiales liées à la recherche et à l’enseignement, universitaires et membres de certaines associations et sociétés savantes. Chaque numéro s’articule en deux rubriques - « Les Instituts et la Recherche » et « Mélanges et documents » - auxquelles s’ajoute bientôt une troisième consacrée aux problèmes de méthode. 
Le Bulletin cesse de paraître fin 1937, mais une nouvelle revue prend la relève en 1939 : Recherche. Cette dernière laisse de côté la coordination entre les instituts et adopte un caractère délibérément savant. Elle ne publie que deux cahiers thématiques, sous la forme de discussions académiques. Elle disparaît au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, après son second numéro. Deux autres cahiers étaient pourtant alors prévus, consacrés respectivement à la « Méthodologie des recherches folkloriques » et à la « Valeur comparée de la littérature et des arts plastiques en tant qu’expression de la pensée et des émotions humaines ».  

ACTIVITES COMPLEMENTAIRES
Des enquêtes :
- « Le problème de l’ogive », lancée en mars 1935 par Henri Focillon. Réponses de Pol Abrham publiées en novembre 1935 et d’Elie Lambert, en novembre 1936-mars 1937.
- « La méthode en histoire de l’art », lancée en juillet 1935 par Lionello Venturi. Réponses de Waldemar Deonna, Philip McMahon, Emile Schaub-Koch publiées en novembre 1935, de Charles Lalo en mars 1936, de Victor Basch en juillet 1936 et de Giulio Carlo Argan, Jacques Mesnil, Gregor Paulsson, Josef Strzygowski, Władysław Tatarkiewicz en novembre 1936-mars 1937.

2, rue de Montpensier (1934-1939)

Palais Royal, 2, rue de Montpensier (1946)

(1934 - mars 1937)