La Renaissance de l'art français et des industries de luxe (1918-1940)
Titres
Type de titre :
Titre :
La Renaissance de l'art français et des industries de luxe (1918-1940)
Type de titre :
Titre :
La Renaissance de l'art français et des industries de luxe (mars 1918 - février 1928)
Type de titre :
Titre :
La Renaissance de l'art (mars - mai 1928)<br>(à l'intérieur jusqu'en janvier 1930)
Commentaires généraux
Commentaire général :
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Localisations
Lieu de conservation :
Commentaire Lieu de conservation :
état de la collection : 1918-1939
autre lieu de conservation : Bibliothèque Forney
cote : PER BX8 (1918-1940)
autre lieu de conservation : Bibliothèque Forney
cote : PER BX8 (1918-1940)
Type de Cote / numéro :
Cote / numéro :
157 U 2
Commentaires descriptifs
Commentaire descriptif :
PERIODICITE
1918-1935 : mensuelle (en 8 livraisons en 1932, 7 de 1933 à 1935)
1936-1939 : 5 livraisons par an
TIRAGE
non renseigné
PRIX du numéro
France : 3 francs (mars 1918 - avril 1919) - 40 francs (mars 1940)
étranger : 4 francs (mars 1918 - avril 1919) - 25 francs (1936-1937)
PRIX de l'abonnement
France : 30 francs (mars 1918 - juillet 1919) - 150 francs (1927-1940)
étranger : 40 francs (mars 1918 - juillet 1919) - 200 francs (1927-1940)
RELAIS DE DIFFUSION
France : non renseigné
étranger : Etats-Unis (New York)
LANGUE ETRANGERE
août 1926 : texte en espagnol et français
janvier, novembre, décembre 1926 ; 1927-1931 : revue bilingue français/anglais
1938 - août 1939 : résumés des articles en anglais à la fin de chaque numéro
« Restauration des monuments d'art en Russie », d'Igor Grabar, traduit du russe par Denis Roche (juin 1926)
1918-1935 : mensuelle (en 8 livraisons en 1932, 7 de 1933 à 1935)
1936-1939 : 5 livraisons par an
TIRAGE
non renseigné
PRIX du numéro
France : 3 francs (mars 1918 - avril 1919) - 40 francs (mars 1940)
étranger : 4 francs (mars 1918 - avril 1919) - 25 francs (1936-1937)
PRIX de l'abonnement
France : 30 francs (mars 1918 - juillet 1919) - 150 francs (1927-1940)
étranger : 40 francs (mars 1918 - juillet 1919) - 200 francs (1927-1940)
RELAIS DE DIFFUSION
France : non renseigné
étranger : Etats-Unis (New York)
LANGUE ETRANGERE
août 1926 : texte en espagnol et français
janvier, novembre, décembre 1926 ; 1927-1931 : revue bilingue français/anglais
1938 - août 1939 : résumés des articles en anglais à la fin de chaque numéro
« Restauration des monuments d'art en Russie », d'Igor Grabar, traduit du russe par Denis Roche (juin 1926)
Créations / exécutions
Personne liée à l'oeuvre :
Personne liée à l'oeuvre :
Personne liée à l'oeuvre :
- Mme
Commentaire Rôle :
directeur (1931-1938)
membre du comité de rédaction (1939-1940)
membre du comité de rédaction (1939-1940)
Commentaires historiques
Commentaire historique :
NUMEROS PARUS
216 (1918-1940)
HISTORIQUE
La Renaissance de l’art français et des industries de luxe est fondée à la fin de la Première Guerre mondiale, en mars 1918, par Henri Lapauze, alors conservateur du Petit Palais. Ce périodique mensuel, à la présentation luxueuse et soignée, s’inscrit dans la lignée de La Renaissance politique, littéraire et artistique, hebdomadaire créé également par Lapauze en 1913 et qui disparaîtra en 1931. Il s’agit d’assurer la « renaissance intellectuelle et artistique de la France », voire sa suprématie, en s’appuyant sur la continuation des traditions les plus dynamiques ; c’est pourquoi l’accent est mis dans un premier temps sur les arts somptuaires, avant de porter de plus en plus sur l’art ancien.
Après la mort d’Henry Lapauze en 1925, la revue devient bilingue français/anglais de 1926 à 1931, et est publiée simultanément à Paris et à New-York à partir de 1928. Elle change également de titre durant cette période, devenant simplement La Renaissance. Reprise par Mme Charles Pomaret en 1931, la revue subit les effets de la crise et paraît de manière irrégulière dans les années trente, avec 8 puis 5 numéros par an. En 1938, Mme Pomaret s’entoure d’un prestigieux comité de rédaction assurant à la revue un poids intellectuel certain, avant de mettre fin à la publication en 1940 au début de l’Occupation.
ACTIVITES COMPLEMENTAIRES
Les Editions de la Renaissance :
- « Croisières », par André Levinson, vingt études sur des écrivains étrangers de ce temps : Thomas Mann, Akmatova, Sinclair Lewis, Pirandello, Cherteston, Moerike, Joseph Conrad, Franz Werfel, Eugène O'Neill, Max Brod, Bontempelli, Wells, Dreiser, Ernst Toller, Srefan George, etc., avec une lettre-préface de Paul Valéry (mars 1928)
Des expositions :
- « Portraits et figures de femmes. Ingres à Picasso », par Arsène Alexandre, exposition faite à la Renaissance, au profit de la Société des Amis du Musée du Luxembourg (1er au 30 juin 1928)
- « Anna Séménoff » (novembre 1929)
Une galerie :
la « Galerie de la Renaissance », 11, rue Royale, exposant tableaux modernes et arts d'Océanie (1930-1932)
Une enquête :
« Enquête sur la guérison de la Crise », lancée par Arsène Alexandre. Réponses publiées de Albert S. Henraux, Edouard Brandus, Pierre Durand-Ruel, Galerie Knoedler, Paul Rosenberg, Marcel Bernheim, Adolphe Basler, Giraud-Badin en janvier-février 1933
Un prix :
le prix de « La Renaissance », de 6000 francs, « décerné chaque année à l'auteur du meilleur ouvrage (roman, étude, ouvrage documentaire, poème ou pièce de théâtre) paru ou joué dans le courant des 14 dernières années ».
Jury composé, selon les années, de André Antoine, Léon Bérard, Henry Bérenger, Julien Cain, Colette, Francis de Croisset, Romain Coolus, Raymond de la Tailhède, Georges Duhamel, Luc Durtrain, Emile Fabre, Léon Paul Fargue, Robert de Flers, Paul Fort, Julien Green, Edmond Haraucourt, Pierre Hamp, Abel Hermant, Henry de Jouvenel, Georges Lecomte, Joseph Kessel, Pierre Mac Orlan, Henry Malherbe, Pierre Mille, Anatole de Monzie, François Porché, Fortunat Strowski.
Lauréats : Alexandre Arnoux pour « Indice 33 » (1921), Pierre Mac Orlan pour « La Cavalière Elsa » et Henry Jacques pour « La Symphonie héroïque » (1922), Paul Morand pour « Fermé la nuit » et André Baillon pour « En Sabots » (1923), Louis-Léon Martin pour « Trio en sol majeur »(1924), Georges Girard pour « Les Vainqueurs » (1925), Emile Zavie pour « La Maison des Trois Fiancés » (1926), Paul Chack pour « On se bat sur mer » (1927), Luc Durtrain pour « Le Quarantième étage » et Hélène Picard pour son recueil « Pour un mauvais garçon » (1928), Joseph Jolinon pour « La Foire » (1929), François Bonjean pour « Cheik Abdou l'Egyptien » (1930), Joseph Peyré pour « L'Escadron blanc » (1931), Léon Paul Fargue (1932), Elian J. Finbert pour « Le Fou de Dieu » (1933), Drieu La Rochelle pour « La Comédie de Charleroi » (1934), Fernand Fleuret (1935), Jean Cassou (1936), G. Reyer pour « Le Magasin de Travestis » (1937).
216 (1918-1940)
HISTORIQUE
La Renaissance de l’art français et des industries de luxe est fondée à la fin de la Première Guerre mondiale, en mars 1918, par Henri Lapauze, alors conservateur du Petit Palais. Ce périodique mensuel, à la présentation luxueuse et soignée, s’inscrit dans la lignée de La Renaissance politique, littéraire et artistique, hebdomadaire créé également par Lapauze en 1913 et qui disparaîtra en 1931. Il s’agit d’assurer la « renaissance intellectuelle et artistique de la France », voire sa suprématie, en s’appuyant sur la continuation des traditions les plus dynamiques ; c’est pourquoi l’accent est mis dans un premier temps sur les arts somptuaires, avant de porter de plus en plus sur l’art ancien.
Après la mort d’Henry Lapauze en 1925, la revue devient bilingue français/anglais de 1926 à 1931, et est publiée simultanément à Paris et à New-York à partir de 1928. Elle change également de titre durant cette période, devenant simplement La Renaissance. Reprise par Mme Charles Pomaret en 1931, la revue subit les effets de la crise et paraît de manière irrégulière dans les années trente, avec 8 puis 5 numéros par an. En 1938, Mme Pomaret s’entoure d’un prestigieux comité de rédaction assurant à la revue un poids intellectuel certain, avant de mettre fin à la publication en 1940 au début de l’Occupation.
ACTIVITES COMPLEMENTAIRES
Les Editions de la Renaissance :
- « Croisières », par André Levinson, vingt études sur des écrivains étrangers de ce temps : Thomas Mann, Akmatova, Sinclair Lewis, Pirandello, Cherteston, Moerike, Joseph Conrad, Franz Werfel, Eugène O'Neill, Max Brod, Bontempelli, Wells, Dreiser, Ernst Toller, Srefan George, etc., avec une lettre-préface de Paul Valéry (mars 1928)
Des expositions :
- « Portraits et figures de femmes. Ingres à Picasso », par Arsène Alexandre, exposition faite à la Renaissance, au profit de la Société des Amis du Musée du Luxembourg (1er au 30 juin 1928)
- « Anna Séménoff » (novembre 1929)
Une galerie :
la « Galerie de la Renaissance », 11, rue Royale, exposant tableaux modernes et arts d'Océanie (1930-1932)
Une enquête :
« Enquête sur la guérison de la Crise », lancée par Arsène Alexandre. Réponses publiées de Albert S. Henraux, Edouard Brandus, Pierre Durand-Ruel, Galerie Knoedler, Paul Rosenberg, Marcel Bernheim, Adolphe Basler, Giraud-Badin en janvier-février 1933
Un prix :
le prix de « La Renaissance », de 6000 francs, « décerné chaque année à l'auteur du meilleur ouvrage (roman, étude, ouvrage documentaire, poème ou pièce de théâtre) paru ou joué dans le courant des 14 dernières années ».
Jury composé, selon les années, de André Antoine, Léon Bérard, Henry Bérenger, Julien Cain, Colette, Francis de Croisset, Romain Coolus, Raymond de la Tailhède, Georges Duhamel, Luc Durtrain, Emile Fabre, Léon Paul Fargue, Robert de Flers, Paul Fort, Julien Green, Edmond Haraucourt, Pierre Hamp, Abel Hermant, Henry de Jouvenel, Georges Lecomte, Joseph Kessel, Pierre Mac Orlan, Henry Malherbe, Pierre Mille, Anatole de Monzie, François Porché, Fortunat Strowski.
Lauréats : Alexandre Arnoux pour « Indice 33 » (1921), Pierre Mac Orlan pour « La Cavalière Elsa » et Henry Jacques pour « La Symphonie héroïque » (1922), Paul Morand pour « Fermé la nuit » et André Baillon pour « En Sabots » (1923), Louis-Léon Martin pour « Trio en sol majeur »(1924), Georges Girard pour « Les Vainqueurs » (1925), Emile Zavie pour « La Maison des Trois Fiancés » (1926), Paul Chack pour « On se bat sur mer » (1927), Luc Durtrain pour « Le Quarantième étage » et Hélène Picard pour son recueil « Pour un mauvais garçon » (1928), Joseph Jolinon pour « La Foire » (1929), François Bonjean pour « Cheik Abdou l'Egyptien » (1930), Joseph Peyré pour « L'Escadron blanc » (1931), Léon Paul Fargue (1932), Elian J. Finbert pour « Le Fou de Dieu » (1933), Drieu La Rochelle pour « La Comédie de Charleroi » (1934), Fernand Fleuret (1935), Jean Cassou (1936), G. Reyer pour « Le Magasin de Travestis » (1937).
Contenus Ouvrage
Note sur l'édition :
(1918-1937)
Note sur l'édition :
10, rue Mayet (1938-1940)
Note sur l'impression :
34, rue Laffitte (mars-avril 1918)
Sources en ligne
Organisme :
Date de consultation :
06/04/2011
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Source
source : Institut national d'histoire de l'art (France) - licence : Attribution 4.0 International (CC BY 4.0)
Rédacteur
Fabienne Fravalo
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