Merlin, Alfred
Père : Alfred Etienne Eugène Merlin, avocat, agréé au Tribunal de commerce
Mère : Marie Denise Desbordes
(source : acte de naissance, dossier de la Légion d'honneur)
(sources : E. Gran-Aymerich, Dictionnaire biographique d'archéologie, Paris, 2001. )
(source : acte de décès, dossier de la Légion d'honneur)
5 rue Saint-Eloi
(source : acte de naissance, dossier de la Légion d'honneur)
5 Villa de Villiers
(source : acte de décès, dossier de la Légion d'honneur)
(sources : E. Gran-Aymerich, Dictionnaire biographique d'archéologie, Paris, 2001 ; P. Boyancé, « Nécrologie : Alfred Merlin (1876-1965) », Mélanges d'archéologie et d'histoire, vol. 77-2, Rome, École française, 1965, p. 641-642.)
Alfred Merlin consacre sa thèse principale à l'Aventin dans l'Antiquité ainsi qu'une thèse complémentaire aux Revers monétaires de l'empereur Nerva
(P. Boyancé, « Nécrologie : Alfred Merlin (1876-1965) », Mélanges d'archéologie et d'histoire, vol. 77-2, Rome, École française, 1965, p. 641-642.)
En 1901-1902, il fouille à Dougga en Tunisie sous la direction de L. Carton.
En 1904-1905, il est chargé de réviser les inscriptions découvertes depuis la publication du supplément au tome VIII du Corpus Inscriptionum Latinarum.
A partir de 1905, il est le directeur du services des Antiquités de Tunis.
(sources : E. Gran-Aymerich, Dictionnaire biographique d'archéologie, Paris, 2001 ; P. Boyancé, Nécrologie : « Alfred Merlin (1876-1965) », Mélanges d'archéologie et d'histoire, vol. 77-2, Rome, École française, 1965, p. 641-642.)
Merlin fournit à la bibliothèque des photographies de monuments antiques ou arabes, de mosaïques ou de statuettes en terre cuite trouvés en Tunisie. Il lui conseille également des ouvrages concernant l'archéologie tunisienne tels que le catalogue du musée d'Alaoui paru en 1897. (source : BINHA, autographes 143-3-420 et 143-3-421)
Alfred Merlin occupe le poste de professeur d'histoire ancienne à Lille.
(sources : E. Gran-Aymerich, Dictionnaire biographique d'archéologie, Paris, 2001 ; P. Boyancé, « Nécrologie : Alfred Merlin (1876-1965) », Mélanges d'archéologie et d'histoire, vol. 77-2, Rome, École française, 1965, p. 641-642.)
(sources : E. Gran-Aymerich, Dictionnaire biographique d'archéologie, Paris, 2001 ; P. Boyancé, « Nécrologie : Alfred Merlin (1876-1965) », Mélanges d'archéologie et d'histoire, vol. 77-2, Rome, École française, 1965, p. 641-642.)
Il enseigne la céramologie à l’École du Louvre, d'abord comme suppléant puis titulaire à partir de 1925.
(sources : E. Gran-Aymerich, Dictionnaire biographique d'archéologie, Paris, 2001 ; P. Boyancé, « Nécrologie : Alfred Merlin (1876-1965) », Mélanges d'archéologie et d'histoire, vol. 77-2, Rome, École française, 1965, p. 641-642.)
(sources : E. Gran-Aymerich, Dictionnaire biographique d'archéologie, Paris, 2001 ; P. Boyancé, « Nécrologie : Alfred Merlin (1876-1965) », Mélanges d'archéologie et d'histoire, vol. 77-2, Rome, École française, 1965, p. 641-642.)
(sources : E. Gran-Aymerich, Dictionnaire biographique d'archéologie, Paris, 2001 ; P. Boyancé, « Nécrologie : Alfred Merlin (1876-1965) », Mélanges d'archéologie et d'histoire, vol. 77-2, Rome, École française, 1965, p. 641-642.)
(source : dossier de la Légion d'honneur)
(source : dossier de la Légion d'honneur)
introduit par René Dussaud, conservateur honoraire des Musées nationaux, secrétaire perpétuel honoraire de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres (source : dossier de la Légion d'honneur)
formation :
1896 : Alfred Merlin est admis à l’École normale supérieure et agrégé d'histoire géographie. Il consacre son diplôme d'études au Camp Romain de Mayence e t son mémoire aux cultes étrangers sur l'Aventin à l'époque impériale.
1900-1903 : Il est membre de École française de Rome.
(sources : E. Gran-Aymerich, Dictionnaire biographique d'archéologie, Paris, 2001 ; P. Boyancé, Nécrologie : « Alfred Merlin (1876-1965) », Mélanges d'archéologie et d'histoire, vol. 77-2, Rome, École française, 1965, p. 641-642.)
Objets d'art ; l'Aventin ; revers monétaires de l'empereur Nerva ; Dougga ; Mahdia ; céramiques antiques
Alfred Merlin est l'élève de René Cagnat au Collège de France. Il devient son gendre en 1903.
Poinssot et Merlin collaborent au sein du service des Antiquités en Tunisie et fouillent ensemble l'épave de Mahdia entre 1907 et 1920.
Louis Hautecoeur et Alfred Merlin entretiennent une correspondance. (source : Bibliothèque de l'Institut de France, Papiers Louis Hautecoeur, correspondance générale, Ms. 6989).
Alfred Merlin est l'élève de Ernest Babelon.
En tant que conseiller et donateur de la Bibliothèque Doucet, Alfred Merlin entretient une correspondance avec René-Jean. (source : BINHA, autographes 143-3-420 et 143-3-421)
(sources : E. Gran-Aymerich, Dictionnaire biographique d'archéologie, Paris, 2001 ; P. Boyancé, « Nécrologie : Alfred Merlin (1876-1965) », Mélanges d'archéologie et d'histoire, vol. 77-2, Rome, Ecole française, 1965, p. 641-642.)
Il prend la suite de Paul Gauckler à ce poste et fonde au sein du Service la collection Notes et documents. Il se consacre aussi au Musée du Bardo.
(sources : E. Gran-Aymerich, Dictionnaire biographique d'archéologie, Paris, 2001 ; P. Boyancé, « Nécrologie : Alfred Merlin (1876-1965) », Mélanges d'archéologie et d'histoire, vol. 77-2, Rome, Ecole française, 1965, p. 641-642.)
Membre correspondant depuis 1912, Alfred Merlin devient membre à part entière à partir de 1928 puis secrétaire perpétuel à partir de 1948.
(sources : E. Gran-Aymerich, Dictionnaire biographique d'archéologie, Paris, 2001 ; P. Boyancé, « Nécrologie : Alfred Merlin (1876-1965) », Mélanges d'archéologie et d'histoire, vol. 77-2, Rome, Ecole française, 1965, p. 641-642.)