La Déploration sur le Christ mort
Pas d'illustration
Titres
Titre :
La Déploration sur le Christ mort
Commentaires généraux
Commentaire général :
L'inventaire décrit une Déposition.
Localisations
Commentaire Lieu de conservation :
Le tableau est conservé dans une collection particulière.
Type de Cote / numéro :
Cote / numéro :
14146
Type de Cote / numéro :
Cote / numéro :
337
Commentaire Cote / numéro :
Numéro du catalogue de vente de 1845
Créations / exécutions
Personne liée à l'oeuvre :
Rôle :
Historiques de collection
Collection :
Coll. du cardinal Fesch ; estimé à 15 scudi dans l'inventaire après décès du cardinal Fesch ; sa vente, Rome, 1845 ; vendu 42 écus romains ; Paris, 12 juin 1995, hôtel du prince de Galles par étude Aguttes, Denesle, Vassy, Briest.
Evénement :
Description du catalogue de 1845 :
Auprès de la croix d’où il vient d’être détaché, repose le corps du Sauveur Marie dont la figure et les regards sont levés vers le ciel, s'abandonne à la plus amère douleur. Une main sur la poitrine, elle est à genoux derrière son fils dont elle soutient le bras de sa main gauche. De l’autre côté et plus en arrière, la Madelaine, les cheveux épars, s’est prosternée le visage sur la main gauche du Sauveur, qu’elle tient dans les siennes et arrose de ses larmes. Deux petits anges sont aux pieds du Christ ; saint Joseph d’Arimathie, suivi de saint Jean, s’avance tenant dans ses mains le linceul qui doit recevoir le corps de son maître. Au fond et à côté de la croix du Christ, s'élève la croix de l'un deux larrons, qui se détache sur un ciel chargé de sombres nuages.
Ce tableau est peint avec une vigueur et une énergie qu’on rencontre rarement dans Le Bourdon ; la composition en est d’une heureuse simplicité ; mais avant tout, c'est à sa couleur, c’est à l’effet puissant qu’il produit que nous devons nos éloges.
Auprès de la croix d’où il vient d’être détaché, repose le corps du Sauveur Marie dont la figure et les regards sont levés vers le ciel, s'abandonne à la plus amère douleur. Une main sur la poitrine, elle est à genoux derrière son fils dont elle soutient le bras de sa main gauche. De l’autre côté et plus en arrière, la Madelaine, les cheveux épars, s’est prosternée le visage sur la main gauche du Sauveur, qu’elle tient dans les siennes et arrose de ses larmes. Deux petits anges sont aux pieds du Christ ; saint Joseph d’Arimathie, suivi de saint Jean, s’avance tenant dans ses mains le linceul qui doit recevoir le corps de son maître. Au fond et à côté de la croix du Christ, s'élève la croix de l'un deux larrons, qui se détache sur un ciel chargé de sombres nuages.
Ce tableau est peint avec une vigueur et une énergie qu’on rencontre rarement dans Le Bourdon ; la composition en est d’une heureuse simplicité ; mais avant tout, c'est à sa couleur, c’est à l’effet puissant qu’il produit que nous devons nos éloges.
Evénement :
Description du catalogue de 1841 :
D'un beau ton, et d'un très grand effet ; elle appartient à l'école indiquée ci-dessus.
D'un beau ton, et d'un très grand effet ; elle appartient à l'école indiquée ci-dessus.
Bibliographies / archives
Référence :
Inventaire après décès du cardinal Fesch, Archivio dei 30 notari Capitolini, ufficio 11, notaio Apolloni Augustus, anno 1839, vol. 611, 37 r. 600 r.
fol. 415 v. n° 14146. Quadro in tela alto piedi tre, e due terzi, largo piedi due e tre quarti rappresentante la Deposizione di Scuola Francese Scudi Quindici 15
Source
source : Institut national d'histoire de l'art (France) / Ville d'Ajaccio - licence : Attribution 4.0 International (CC BY 4.0)