La Douce France (1913-1923)
Titres
Type de titre :
Titre :
La Douce France (1913-1923)
Type de titre :
Titre :
L’Art de France (juin 1913 - juin 1914)
Type de titre :
Titre :
La Belle France (mai - août 1919)
Commentaires généraux
Commentaire général :
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Localisations
Lieu de conservation :
Commentaire Lieu de conservation :
état de la collection : 1913-1923
Type de Cote / numéro :
Cote / numéro :
PER BB18
Commentaires descriptifs
Commentaire descriptif :
PERIODICITE
mensuelle (10 numéros par an)
TIRAGE
1919-1923 : 650 exemplaires
mai 1919 : 15 exemplaires supplémentaires sur papier vergé
novembre 1919 : 10 exemplaires supplémentaires sur papier Hollande
1919-1923 : 5 exemplaires supplémentaires sur papier Hollande
PRIX du numéro
France : 2 francs (1913-1914) - 4 francs (1919-1923) ; gratuit pour les membres honoraires de l'Association Amicale
étranger : 2,50 francs (1913-1914) - 5 francs (octobre 1923)
PRIX de l'abonnement
France : 20 francs (1913-1914 ; octobre 1923) - 32 francs (1919 - septembre 1923)
étranger : 25 francs (1913-1914) - 40 francs (1919 - septembre 1923)
RELAIS DE DIFFUSION
Paris, Strasbourg, Lyon, Reims (librairies-relais)
étranger : Bruxelles
LANGUE ETRANGERE
poèmes en anglais de Yeats, traduits en français par Jeanne de Lichnerowicz (novembre 1920, novembre 1921, janvier 1922), et de Thoreau, traduits en français par Philéas Lebesgue (décembre 1920) ;
poèmes en portugais, de Teixeira de Pascoades, traduits en français par Philéas Lebesgue (avril 1921)
chants et poèmes traduits du serbe (décembre 1919), du breton, de Jean-Pierre Calloc'h par Pierre Mocaër (juillet 1921), et du roumain par Hélène Giurgea-Swan (mai 1922)
mensuelle (10 numéros par an)
TIRAGE
1919-1923 : 650 exemplaires
mai 1919 : 15 exemplaires supplémentaires sur papier vergé
novembre 1919 : 10 exemplaires supplémentaires sur papier Hollande
1919-1923 : 5 exemplaires supplémentaires sur papier Hollande
PRIX du numéro
France : 2 francs (1913-1914) - 4 francs (1919-1923) ; gratuit pour les membres honoraires de l'Association Amicale
étranger : 2,50 francs (1913-1914) - 5 francs (octobre 1923)
PRIX de l'abonnement
France : 20 francs (1913-1914 ; octobre 1923) - 32 francs (1919 - septembre 1923)
étranger : 25 francs (1913-1914) - 40 francs (1919 - septembre 1923)
RELAIS DE DIFFUSION
Paris, Strasbourg, Lyon, Reims (librairies-relais)
étranger : Bruxelles
LANGUE ETRANGERE
poèmes en anglais de Yeats, traduits en français par Jeanne de Lichnerowicz (novembre 1920, novembre 1921, janvier 1922), et de Thoreau, traduits en français par Philéas Lebesgue (décembre 1920) ;
poèmes en portugais, de Teixeira de Pascoades, traduits en français par Philéas Lebesgue (avril 1921)
chants et poèmes traduits du serbe (décembre 1919), du breton, de Jean-Pierre Calloc'h par Pierre Mocaër (juillet 1921), et du roumain par Hélène Giurgea-Swan (mai 1922)
Dimensions
Créations / exécutions
Personne liée à l'oeuvre :
Personne liée à l'oeuvre :
Personne liée à l'oeuvre :
Commentaire Rôle :
rédacteur en chef (1913-1923)
gérant (1913-1914 ; juin-septembre 1923)
directeur-rédacteur en chef (avril 1920 - octobre 1923)
gérant (1913-1914 ; juin-septembre 1923)
directeur-rédacteur en chef (avril 1920 - octobre 1923)
Commentaires historiques
Commentaire historique :
NUMEROS PARUS
55 (1913-1923)
HISTORIQUE
L’Art de France, fondée en juin 1913 par Adolphe Cadot, est conçue comme une revue de doctrine engagée dans la défense et la promotion des arts décoratifs français. Jusqu’à sa première interruption en juin 1914, elle est l’organe de l’« Association amicale des artistes, artisans, architectes et amateurs d’art », fondée pour préparer l’Exposition internationale des arts décoratifs alors prévue pour 1916. Dans un contexte de forte concurrence économique et industrielle entre la France et l’Allemagne, L’Art de France soutient les actions entamées en faveur de la supériorité de l’art décoratif français, basée sur les traditions et l’apprentissage, par opposition à l’art industriel germanique.
Pendant la Première Guerre mondiale, la revue cesse de paraître en raison de la mobilisation de son rédacteur en chef, Emmanuel de Thubert. Elle est alors relayée par le Petit Messager des arts, des artistes et des industries d’art (1915-1922), désormais bulletin officiel de l’Association amicale, qui change de nom pendant la guerre, pour devenir à son tour « L’Art de France ».
En mai 1919, la revue reparaît sous le titre La Belle France pour éviter toute confusion avec l’association, dont elle n’entend plus assurer la propagande. Mais la ligne doctrinale reste globalement la même, tout en étant désormais élargie à la peinture et à la sculpture, ainsi qu'aux questions littéraires et philosophiques.
En novembre 1919, la revue devient La Douce France et, parallèlement à un intérêt toujours fort pour les arts appliqués, s’oriente activement dans le mouvement du renouveau de la taille directe, rejetant l'influence de la Renaissance et des écoles gréco-romaines au profit de l'Antiquité égyptienne et du Moyen Age. Sa parution cesse définitivement en octobre 1923, plus d’un an avant l’ouverture de l’Exposition internationale des arts décoratifs et industriels modernes de 1925. Son action y trouvera cependant un écho à travers la pergola « La Douce France », ornée de bas-reliefs en taille directe par Zadkine, Saupique, Jan et Joël Martel, entre autres.
En mars 1923, La Douce France devient en outre l'organe officiel de l'association « La Demeure historique », présidée par le Dr J. de Carvallo, et soutenue par le marquis de Castellane. Elle publie alors des études sur l'histoire de l'architecture, des descriptions de châteaux et un certain nombre de renseignements relatifs à leur conservation et leur restauration.
ACTIVITES COMPLEMENTAIRES
Une enquête :
sur l'Exposition des arts décoratifs modernes, lancée en juin 1913 par Emmanuel de Thubert
(1° Quel doit être l'emplacement de l'Exposition?
2° A qui doit être confiée son organisation? Aux soins de quel ministère?
3° Quels principes doivent être admis pour son édification? N'est-il pas préférable de procéder par constructions isolées, dont certaines pourraient être conservées après l'Exposition, question à lier peut-être avec celle de la démolition des fortifications et de la création de nouveaux parcs, jardins et terrains de jeux?)
Un projet de réception pour les souverains anglais (1913)
Une vie associative :
- l’« Association amicale des artistes, artisans, architectes et amateurs d’art », créée en 1913, destinée à élaborer et réaliser des ensembles décoratifs à l’Exposition internationale des arts décoratifs prévue initialement pour 1916, à créer la « Maison française », une exposition permanente et renouvelable des arts somptuaires, conçue comme une ambassade de l’art décoratif français à l’étranger, et enfin, à organiser un « Conseil permanent d’art décoratif » destiné à donner des consultations. L’Association organise aussi des conférences, des visites d’ateliers d’artistes et de collections particulières, des voyages d’études en province.
- des rencontres pour les abonnés, lecteurs et collaborateurs de L'Art de France et des membres actifs et honoraires de l'Amicale des artistes, aux vernissages des expositions des galeries Georges Petit, Devambez, Haussmann, Rosenberg, des Artistes Modernes, Bernheim, Druet, Manzi, Grandhomme, Ch. Hessèle et Reitlinger, au Musée des arts décoratifs, au Grand Palais et au Musée Galliera (1913-1914).
- l'association « L'Art de France » (voir Le Petit Messager des arts, des artistes et des industries d'art), fondée le 28 juillet 1916 par Adolphe Cadot, pour prendre la relève de l'Association amicale et jouer le rôle de relais pour l'organisation de l'Exposition internationale des arts décoratifs de 1925. Elle organise des expositions, des auditions musicales, des réunions hebdomadaires, des conférences, des dîners amicaux hebdomadaires et mensuels, constitue des groupes régionaux et œuvre pour la transformation de l'art du cinéma dans un but pédagogique.
- l'association « La Demeure historique », fondée par Dr J. de Carvallo, propriétaire du château de Villandry, dont la revue devient également l'organe en mars 1923. Réunissant les propriétaires de demeures historiques, elle est axée sur la défense et la conservation des immeubles historiques et artistiques, au profit de l'ordre et de la tradition.
Une maison d'éditions :
- « Modeleurs et tailleurs de pierre », par Joachim Costa avec une préface d'Emmanuel de Thubert et un dessin de Joseph Bernard (1921)
- « ABC de la Peinture », par Paul Sérusier
- « Appogiatures résolues et non résolues », par Georges Migot
- « Le VIIIe livre des Stances de Jean Moréas »
- « De la tapisserie de haute et basse lisse », par Marius Martin
- « Les races latines et la nation française », par Emmanuel de Thubert (annoncé pour mars 1922)
- « La Recherche de l'équilibre par la technique », par Maurice Desèvre (pas mis dans le commerce)
- « Les quatre graveurs du Mans », gravures sur bois de Gaspard Maillol et textes de Paul Sentenac et Emmanuel de Thubert
- « Sur l'art et les maîtres », par Emile Bernard
- « Six bois gravés de l'Eglise abbatiale de Saint-Nectaire », par Madeleine Brillouin, texte d'Emmanuel de Thubert
- « Du Décor », par Walter Fuerst
- « Essais sur le Théâtre », par Jean Ravennes
Publication d'estampes :
eaux-fortes et gravures sur bois, de Paul Jouve, Bernard Naudin, Gustave Pierre, P.-E. Colin, Deltombe, Morin-Jean, Schmied (1919)
Des expositions :
- 1ère exposition de « La Douce France » à la galerie Barbazanges, 109, faubourg St-Honoré : 8 sculpteurs de taille directe réunis autour de Joseph Bernard : André Abbal, Joachim Costa, Auguste Guénot, Pierre Seguin, François Pompon, Mateo Hernandez, Paul Dardé, Carl-Albert Angst, ainsi que des cartons de tapisserie de Paul Sérusier, Paul Deltombe, Jules-Emile Zingg, Pierre Duménil et Suzanne Bagès et des meubles de Fernand Nathan. Aménagement par Charles Plumet et Georges Pradelle (3 au 19 avril 1922)
- 2e exposition en 1923 avec également les sculpteurs Manolo et Ossip Zadkine, les peintres Georges Barat-Levraux, Jean Bernard, Jean Beaumont, Louis Bouquet, Maurice Desèvre, Emile Gaudissard,J.-E. Jeanès, Paul Véra, et les artistes décorateurs Henri Faureau, Elie Maingonnat et Raymond Subes. Cette exposition, promouvant l'art direct en lien avec l'architecture (sculpture, fresque, tapisserie), s'accompagne d'une petite rétrospective consacrée à Paul Gauguin.
55 (1913-1923)
HISTORIQUE
L’Art de France, fondée en juin 1913 par Adolphe Cadot, est conçue comme une revue de doctrine engagée dans la défense et la promotion des arts décoratifs français. Jusqu’à sa première interruption en juin 1914, elle est l’organe de l’« Association amicale des artistes, artisans, architectes et amateurs d’art », fondée pour préparer l’Exposition internationale des arts décoratifs alors prévue pour 1916. Dans un contexte de forte concurrence économique et industrielle entre la France et l’Allemagne, L’Art de France soutient les actions entamées en faveur de la supériorité de l’art décoratif français, basée sur les traditions et l’apprentissage, par opposition à l’art industriel germanique.
Pendant la Première Guerre mondiale, la revue cesse de paraître en raison de la mobilisation de son rédacteur en chef, Emmanuel de Thubert. Elle est alors relayée par le Petit Messager des arts, des artistes et des industries d’art (1915-1922), désormais bulletin officiel de l’Association amicale, qui change de nom pendant la guerre, pour devenir à son tour « L’Art de France ».
En mai 1919, la revue reparaît sous le titre La Belle France pour éviter toute confusion avec l’association, dont elle n’entend plus assurer la propagande. Mais la ligne doctrinale reste globalement la même, tout en étant désormais élargie à la peinture et à la sculpture, ainsi qu'aux questions littéraires et philosophiques.
En novembre 1919, la revue devient La Douce France et, parallèlement à un intérêt toujours fort pour les arts appliqués, s’oriente activement dans le mouvement du renouveau de la taille directe, rejetant l'influence de la Renaissance et des écoles gréco-romaines au profit de l'Antiquité égyptienne et du Moyen Age. Sa parution cesse définitivement en octobre 1923, plus d’un an avant l’ouverture de l’Exposition internationale des arts décoratifs et industriels modernes de 1925. Son action y trouvera cependant un écho à travers la pergola « La Douce France », ornée de bas-reliefs en taille directe par Zadkine, Saupique, Jan et Joël Martel, entre autres.
En mars 1923, La Douce France devient en outre l'organe officiel de l'association « La Demeure historique », présidée par le Dr J. de Carvallo, et soutenue par le marquis de Castellane. Elle publie alors des études sur l'histoire de l'architecture, des descriptions de châteaux et un certain nombre de renseignements relatifs à leur conservation et leur restauration.
ACTIVITES COMPLEMENTAIRES
Une enquête :
sur l'Exposition des arts décoratifs modernes, lancée en juin 1913 par Emmanuel de Thubert
(1° Quel doit être l'emplacement de l'Exposition?
2° A qui doit être confiée son organisation? Aux soins de quel ministère?
3° Quels principes doivent être admis pour son édification? N'est-il pas préférable de procéder par constructions isolées, dont certaines pourraient être conservées après l'Exposition, question à lier peut-être avec celle de la démolition des fortifications et de la création de nouveaux parcs, jardins et terrains de jeux?)
Un projet de réception pour les souverains anglais (1913)
Une vie associative :
- l’« Association amicale des artistes, artisans, architectes et amateurs d’art », créée en 1913, destinée à élaborer et réaliser des ensembles décoratifs à l’Exposition internationale des arts décoratifs prévue initialement pour 1916, à créer la « Maison française », une exposition permanente et renouvelable des arts somptuaires, conçue comme une ambassade de l’art décoratif français à l’étranger, et enfin, à organiser un « Conseil permanent d’art décoratif » destiné à donner des consultations. L’Association organise aussi des conférences, des visites d’ateliers d’artistes et de collections particulières, des voyages d’études en province.
- des rencontres pour les abonnés, lecteurs et collaborateurs de L'Art de France et des membres actifs et honoraires de l'Amicale des artistes, aux vernissages des expositions des galeries Georges Petit, Devambez, Haussmann, Rosenberg, des Artistes Modernes, Bernheim, Druet, Manzi, Grandhomme, Ch. Hessèle et Reitlinger, au Musée des arts décoratifs, au Grand Palais et au Musée Galliera (1913-1914).
- l'association « L'Art de France » (voir Le Petit Messager des arts, des artistes et des industries d'art), fondée le 28 juillet 1916 par Adolphe Cadot, pour prendre la relève de l'Association amicale et jouer le rôle de relais pour l'organisation de l'Exposition internationale des arts décoratifs de 1925. Elle organise des expositions, des auditions musicales, des réunions hebdomadaires, des conférences, des dîners amicaux hebdomadaires et mensuels, constitue des groupes régionaux et œuvre pour la transformation de l'art du cinéma dans un but pédagogique.
- l'association « La Demeure historique », fondée par Dr J. de Carvallo, propriétaire du château de Villandry, dont la revue devient également l'organe en mars 1923. Réunissant les propriétaires de demeures historiques, elle est axée sur la défense et la conservation des immeubles historiques et artistiques, au profit de l'ordre et de la tradition.
Une maison d'éditions :
- « Modeleurs et tailleurs de pierre », par Joachim Costa avec une préface d'Emmanuel de Thubert et un dessin de Joseph Bernard (1921)
- « ABC de la Peinture », par Paul Sérusier
- « Appogiatures résolues et non résolues », par Georges Migot
- « Le VIIIe livre des Stances de Jean Moréas »
- « De la tapisserie de haute et basse lisse », par Marius Martin
- « Les races latines et la nation française », par Emmanuel de Thubert (annoncé pour mars 1922)
- « La Recherche de l'équilibre par la technique », par Maurice Desèvre (pas mis dans le commerce)
- « Les quatre graveurs du Mans », gravures sur bois de Gaspard Maillol et textes de Paul Sentenac et Emmanuel de Thubert
- « Sur l'art et les maîtres », par Emile Bernard
- « Six bois gravés de l'Eglise abbatiale de Saint-Nectaire », par Madeleine Brillouin, texte d'Emmanuel de Thubert
- « Du Décor », par Walter Fuerst
- « Essais sur le Théâtre », par Jean Ravennes
Publication d'estampes :
eaux-fortes et gravures sur bois, de Paul Jouve, Bernard Naudin, Gustave Pierre, P.-E. Colin, Deltombe, Morin-Jean, Schmied (1919)
Des expositions :
- 1ère exposition de « La Douce France » à la galerie Barbazanges, 109, faubourg St-Honoré : 8 sculpteurs de taille directe réunis autour de Joseph Bernard : André Abbal, Joachim Costa, Auguste Guénot, Pierre Seguin, François Pompon, Mateo Hernandez, Paul Dardé, Carl-Albert Angst, ainsi que des cartons de tapisserie de Paul Sérusier, Paul Deltombe, Jules-Emile Zingg, Pierre Duménil et Suzanne Bagès et des meubles de Fernand Nathan. Aménagement par Charles Plumet et Georges Pradelle (3 au 19 avril 1922)
- 2e exposition en 1923 avec également les sculpteurs Manolo et Ossip Zadkine, les peintres Georges Barat-Levraux, Jean Bernard, Jean Beaumont, Louis Bouquet, Maurice Desèvre, Emile Gaudissard,J.-E. Jeanès, Paul Véra, et les artistes décorateurs Henri Faureau, Elie Maingonnat et Raymond Subes. Cette exposition, promouvant l'art direct en lien avec l'architecture (sculpture, fresque, tapisserie), s'accompagne d'une petite rétrospective consacrée à Paul Gauguin.
Contenus Ouvrage
Note sur l'édition :
(1919-1923)
Note sur l'impression :
(1913-1923)
Contenu de l'ouvrage :
SOMMAIRES
au dos de la couverture (auteurs, articles, pagination)
TABLES
présentes : à la fin de chaque tome, tous les 5 à 6 mois (reprise des sommaires, classés par ordre chronologique)
SUPPLEMENTS
absents
NUMEROS SPECIAUX MONOGRAPHIQUES
absents
au dos de la couverture (auteurs, articles, pagination)
TABLES
présentes : à la fin de chaque tome, tous les 5 à 6 mois (reprise des sommaires, classés par ordre chronologique)
SUPPLEMENTS
absents
NUMEROS SPECIAUX MONOGRAPHIQUES
absents
Note sur le contenu :
COUVERTURE
identique de 1913 à 1923 ; seule la vignette disparaît au n° 53 de juin-juillet 1923
ILLUSTRATION
présente (noir et blanc)
PUBLICITE
présente
identique de 1913 à 1923 ; seule la vignette disparaît au n° 53 de juin-juillet 1923
ILLUSTRATION
présente (noir et blanc)
PUBLICITE
présente
Nombre de pages :
1913-1914 : 112 pages par numéro<br>1919-1923 : 80 pages
Bibliographies / archives
Source
source : Institut national d'histoire de l'art (France) - licence : Attribution 4.0 International (CC BY 4.0)
Rédacteur
Jean Fournier et Fabienne Fravalo