Le Jugement de Pâris
Pas d'illustration
Titres
Titre :
Le Jugement de Pâris
Localisations
Type de Cote / numéro :
Cote / numéro :
2718
Type de Cote / numéro :
Cote / numéro :
202
Commentaire Cote / numéro :
Numéro du catalogue de vente de 1845
Type de Cote / numéro :
Cote / numéro :
2785
Commentaire Cote / numéro :
Numéro du catalogue de vente de 1841
Créations / exécutions
Type de date :
Date de création :
Historiques de collection
Collection :
Estimé à 80 scudi dans l'inventaire après décès du cardinal Fesch
Evénement :
Description du catalogue de 1845 :
La composition de ce beau sujet mythologue, que Rubens a traité plusieurs fois, est si connue de tout le monde que nous croyons pouvoir nous abstenir d'en faire la description. N'est-ce pas toujours le mont Ida, le beau berger phrygien, la Discorde et sa pomme fatale ; puis les trois grandes déesses, Junon, Minerve et Vénus, rivales et jalouses, luttant de charmes et de beauté ? Il existe une de ces compositions au palais de l'escorial, une autre, que J. Couché a gravée, faisait partie de la grande galerie d'Orléans ; enfin reste en possède une troisième que nous croyons avoir été gravée par P. Moëtte ; c'est de cette dernière que se rapproche le plus notre composition. Quoi qu'il en soit, cet ouvrage est traité avec une facilité qui se rencontre rarement dans une copie, et, bien qu'un ne sache pas auquel les élèves de Rubens en attribuer le mérite, on ne laisse pas cependant que d'y reconnaitre le faire d'un artiste habile qui a su répandre sur son oeuvre l'éclat et la fraicheur de coloris du grand maître.
La composition de ce beau sujet mythologue, que Rubens a traité plusieurs fois, est si connue de tout le monde que nous croyons pouvoir nous abstenir d'en faire la description. N'est-ce pas toujours le mont Ida, le beau berger phrygien, la Discorde et sa pomme fatale ; puis les trois grandes déesses, Junon, Minerve et Vénus, rivales et jalouses, luttant de charmes et de beauté ? Il existe une de ces compositions au palais de l'escorial, une autre, que J. Couché a gravée, faisait partie de la grande galerie d'Orléans ; enfin reste en possède une troisième que nous croyons avoir été gravée par P. Moëtte ; c'est de cette dernière que se rapproche le plus notre composition. Quoi qu'il en soit, cet ouvrage est traité avec une facilité qui se rencontre rarement dans une copie, et, bien qu'un ne sache pas auquel les élèves de Rubens en attribuer le mérite, on ne laisse pas cependant que d'y reconnaitre le faire d'un artiste habile qui a su répandre sur son oeuvre l'éclat et la fraicheur de coloris du grand maître.
Evénement :
Description du catalogue de 1841 :
Grandes figures de l'école de Rubens.
Grandes figures de l'école de Rubens.
Bibliographies / archives
Référence :
Inventaire après décès du cardinal Fesch, Archivio dei 30 notari Capitolini, ufficio 11, notaio Apolloni Augustus, anno 1839, vol. 611, 37 r. 600 r.
fol. 173. n° 2718. Quadro in Rame alto piedi tre, e un quarto, largo piedi quattro rappresentante il Giudizio di Paride di Scuola di Rubens Scudi Ottanta 80
Source
source : Institut national d'histoire de l'art (France) / Ville d'Ajaccio - licence : Attribution 4.0 International (CC BY 4.0)