Colette affirme : « Hormis quelques bouddhas et les instruments de la salle de musique, tous les meubles bougeaient et changeaient mystérieusement chez Renée Vivien. Une collection de monnaies d’or persanes, cédait la place à des jades, auxquels se substituait une collection de papillons et d’insectes rares » (Colette, 1991, p. 598). (Source : notice Agorha "Pauline Tarn" rédigée par Lisa Delmas)