Reinach, PVA, Millin (1808), pl. 20
Titres
Titre :
Reinach, PVA, Millin (1808), pl. 20
Commentaires généraux
Commentaire général :
Amphore à col campanienne à figures rouges, Leyde, Rijksmuseum van Oudheden, AMM 1
Même vase que planches Millin (1808), 19, 21, 22
Même vase que planches Millin (1808), 19, 21, 22
Commentaires descriptifs
Commentaire descriptif :
Tableau face B, panse
Collection mentionnée : Rome, Bibliothèque du Vatican; La Haye, Frederic Thoms (fin XVIIe siècle); Hollande, Stathouder; Paris, Bibliothèque Nationale; Amsterdam, Apostool (1815-1844); Leyde, Musée Royal (1844-1891)
Interprétation donnée : Deux satyres velus portant des eidola, dont l'un décoche une flèche, tandis que l'autre élève un flambeau. (Reinach)
"Millin a supposé, en se fondant sur le passage de Quintus de Smyrne, que l'eidôlon qui envoie un trait est la kère fatale de Memnon; l'autre élevant son flambeau, serait le génie tutélaire d'Achille. Il ajoute que les eidôla sont portés "par des initiés travestis en Satyres", ce que personne ne voudra plus croire aujourd'hui". (Reinach, p. 16)
Pages de texte : p. 15-17
Autres indications : La provenance paraît être Nola. (Reinach, 1891)
Lors de la conquête de la Hollande, il fut apporté à Paris et déposé au cabinet de la Bibliothèque nationale. "Il était brisé en mille pièces, les conservateurs l'on fait restaurer"(Millin, t.I, p.37, n°2). En 1815, ce vase fut ramené à Amsterdam, où J.de Witte l'étudia en 1840. Il était alors déposé dans le cabinet particulier du directeur de l'Académie des Beaux-Arts, M. Apostool. A la mort de ce personnage, le vase fut transporté, au mois de mai 1844, à Leyde; il fait partie du Musée royal d'antiquités de cette ville. (Reinach, 1891)
La provenance paraît être Nola.
Sur le vase, c'est encore Hermès qui procède à la pesée; il est coiffé d'un large pétase, que le graveur a fait semblable à une auréole (Reinach, 1891)
La crinière du casque d'Achille est d'un rouge vif, ce que le graveur a marqué par des tailles perpendiculaires, suivant la convention en usage dans le blason.
Collection mentionnée : Rome, Bibliothèque du Vatican; La Haye, Frederic Thoms (fin XVIIe siècle); Hollande, Stathouder; Paris, Bibliothèque Nationale; Amsterdam, Apostool (1815-1844); Leyde, Musée Royal (1844-1891)
Interprétation donnée : Deux satyres velus portant des eidola, dont l'un décoche une flèche, tandis que l'autre élève un flambeau. (Reinach)
"Millin a supposé, en se fondant sur le passage de Quintus de Smyrne, que l'eidôlon qui envoie un trait est la kère fatale de Memnon; l'autre élevant son flambeau, serait le génie tutélaire d'Achille. Il ajoute que les eidôla sont portés "par des initiés travestis en Satyres", ce que personne ne voudra plus croire aujourd'hui". (Reinach, p. 16)
Pages de texte : p. 15-17
Autres indications : La provenance paraît être Nola. (Reinach, 1891)
Lors de la conquête de la Hollande, il fut apporté à Paris et déposé au cabinet de la Bibliothèque nationale. "Il était brisé en mille pièces, les conservateurs l'on fait restaurer"(Millin, t.I, p.37, n°2). En 1815, ce vase fut ramené à Amsterdam, où J.de Witte l'étudia en 1840. Il était alors déposé dans le cabinet particulier du directeur de l'Académie des Beaux-Arts, M. Apostool. A la mort de ce personnage, le vase fut transporté, au mois de mai 1844, à Leyde; il fait partie du Musée royal d'antiquités de cette ville. (Reinach, 1891)
La provenance paraît être Nola.
Sur le vase, c'est encore Hermès qui procède à la pesée; il est coiffé d'un large pétase, que le graveur a fait semblable à une auréole (Reinach, 1891)
La crinière du casque d'Achille est d'un rouge vif, ce que le graveur a marqué par des tailles perpendiculaires, suivant la convention en usage dans le blason.
Créations / exécutions
Personne liée à l'oeuvre :
A. Clener (graveur)
Type de date :
Date de création :
1891
Bibliographies / archives
Type de référence :
Commentaire Bibliographies / archives :
Source de la planche étudiée
Source
source : Institut national d'histoire de l'art (France) - licence : Attribution 4.0 International (CC BY 4.0)