Probablement un portrait de la belle-fille de Goya, Gumersinda Goicoechea, née en 1788. Cette identification a été proposée par X. de Salas (1962) qui a souligné la ressemblance du modèle avec un portrait dessiné datant de 1805 de Gumersinda Goicoechea. L'identification du modèle proposée par J. Baticle (2002) avec la cantatrice Lorenza Correa ( 1773-1831) n'est aujourd'hui plus retenue (cf. Chastel-Rousseau et al. 2022).
Denon, [Peint] Salle 719 - Goya
dimensions sans cadre
Atelier de Goya (inventaire 1828, n° 10, Catalina Viola ou n° 25 [Femme à l'éventail] ?) et héritiers Javier Goya, fils du peintre puis Maria Goya, petit-fils du peintre, Madrid ; marquis José de Salamanca (1811-1883), banquier, Paris ; sa vente, Paris, 5 juin 1867, n° 177 (Goya, Portrait de femme ; provient de la galerie de Goya ; Mourreaux, selon le procès-verbal de la vente, qui était sans doute le mandataire du collectionneur Oudry, cité ci-après (communication écrite de S. Dominguez-Fuentes, 2010) ; Alphonse Oudry, ingénieur des Ponts et Chaussées ; sa vente après décès, Paris, 16 avril 1869, n° 135 ; Th. Edwards ; sa vente, Paris, 7 mars 1870, n° 30 (La Femme à l'éventail ; collection Oudry) ; Edouard Kums, consul honoraire de Saxe-Cobourg et Gotha, Anvers ; sa vente, Anvers, 17 mai 1898, n° 142, collection Goya, Salamanca, Oudry et Edwards ; achat à cette vente, 1898.
n° 1056, p. 174-175
n° 890, p. 253 et 262
n° 659, p. 327-328