Grel, Georges
Père : Grel, Henri Jean (tonnelier)
Biographie rédigée par Marie-Laure Crosnier Leconte :
Matricule de l’Ecole des Beaux-Arts : 5485. Jean Georges Grel, né à Caudéran (Gironde) le 30 janvier 1882, fils de Henri Jean Grel 28 ans tonnelier, et de Marguerite Videau 18 ans, [apparentée à Jean Videau (né à Caudéran en 1879) élève en architecture de l'É.B.A. ?], élève d'Ernest Lacombe architecte à Bordeaux (à l'atelier le 30 septembre 1902) et à l'École des Beaux-arts de Bordeaux, puis de Jean Louis Pascal (en octobre 1902), admis en 2è classe le 5 novembre 1902, subventionné par le département de la Gironde et la Ville de Bordeaux, obtient un total de 20 valeurs, 1è classe le 31 juillet 1905, obtient un total de 13 ½ valeurs, diplômé le 8 juin 1910 (88è promotion, Une riche habitation bourgeoise dans une grande propriété de la région parisienne (Habitation de campagne)) (architecte à Paris 15è [en 1914]; à Mazagan, Maroc, de 1918 à 1924, à Casablanca de 1929 à 1950, au Service d'architecture, fréquemment associé à Georges Renaudin entre 1935 et 1939; membre de la Commission municipale dans les années 1930; 1ers Prix aux concours pour un groupe scolaire à Casablanca, un groupe scolaire à Safi, le Groupe scolaire de la Casbah à Marrakech, un groupe scolaire à Kenitra, l'École indigène à Casablanca, l'École indigène à Azemmour, 2è Prix pour la Salle des fêtes de Mazagan; hôtels des postes à Mazagan, Safi, Marrakech, Trésorerie de Casablanca, Douanes, écoles, hôpitaux, Conservation de la Propriété Foncière; à Bordeaux, Gironde [entre 1949 et 1972]; expert près les tribunaux; membre de la S.A.D.G. en 1910, figure encore dans l'annuaire 1931, rayé en 1950; membre de l'Association des élèves et anciens élèves de l'École nationale et supérieure des Beaux-arts ou Grande Masse de l'École des Beaux-arts [en 1929]; décorations étrangères; mort à Bordeaux le 20 novembre 1972; Archives nationales de France, AJ/52/423, dossier d’élève; Delaire; Jean-Louis Cohen et Monique Eleb, Casablanca, mythes et figures d'une aventure urbaine, Paris, Hazan, 1998)
La première date de présence (la seule parfois) est celle du concours d'admission et la seconde date celle de la dernière mention de présence de l'élève à l'Ecole.
1911-1920 ; subventionné par la préfecture de Gironde