La Lépreuse, l'oeuvre nouvelle que doit représenter l'Opéra-Comique, est due à la collaboration de M. Henry Bataille, l'auteur émouvant de Maman Colibri, de La Femme nue, avec M. Sylvio Lazzari, le co [...]
Titres
Titre :
<i>La Lépreuse</i>, l'oeuvre nouvelle que doit représenter l'Opéra-Comique, est due à la collaboration de M. Henry Bataille, l'auteur émouvant de <i>Maman Colibri</i>, de <i>La Femme nue</i>, avec M. Sylvio Lazzari, le compositeur remarquable d' <i>Armor</i>. Tous ceux qui ont suivi les représentations du début de "L'Oeuvre" se rappellent le succès de <i>La Lépreuse </i>, tragédie légendaire représentée le 4 mai 1896, au bénéfice de Mme Louise France. Son jeune auteur, inconnu jusqu'alors, devint célèbre au lendemain de cette soirée; c'était Henry Bataille. M. Sylvio Lazzari n'eut de cesse qu'il n'ait mis en musique cette pièce fort belle. Nous avons groupé en cette page, les deux collaborateurs qui sont en même temps deux amis. Au premier plan: M. H. Bataille qui déchiffre une partition; au second plan, M. S. Lazzari. Comme fond nous avons placé un des décors majestueux et évocateurs, que M. Bailly peignit pour <i>La Lépreuse</i>.
Représentations
Légende :
<i>La Lépreuse</i>, l'oeuvre nouvelle que doit représenter l'Opéra-Comique, est due à la collaboration de M. Henry Bataille, l'auteur émouvant de <i>Maman Colibri</i>, de <i>La Femme nue</i>, avec M. Sylvio Lazzari, le compositeur remarquable d' <i>Armor</i>. Tous ceux qui ont suivi les représentations du début de "L'Oeuvre" se rappellent le succès de <i>La Lépreuse </i>, tragédie légendaire représentée le 4 mai 1896, au bénéfice de Mme Louise France. Son jeune auteur, inconnu jusqu'alors, devint célèbre au lendemain de cette soirée; c'était Henry Bataille. M. Sylvio Lazzari n'eut de cesse qu'il n'ait mis en musique cette pièce fort belle. Nous avons groupé en cette page, les deux collaborateurs qui sont en même temps deux amis. Au premier plan: M. H. Bataille qui déchiffre une partition; au second plan, M. S. Lazzari. Comme fond nous avons placé un des décors majestueux et évocateurs, que M. Bailly peignit pour <i>La Lépreuse</i>.
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p. 30-31
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source : Institut national d'histoire de l'art (France) - licence : Attribution 4.0 International (CC BY 4.0)
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