Réflexions historiques et critiques, sur quelques moyens indiqués pour neutraliser les Fosses d'aisance. Servant de Réponse aux injustes imputations de M. Janin de Combeblanche, Médecin Oculiste à Lyo [...]
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Titre :
Réflexions historiques et critiques, sur quelques moyens indiqués pour neutraliser les Fosses d'aisance. Servant de Réponse aux injustes imputations de M. Janin de Combeblanche, Médecin Oculiste à Lyon. Par M. de Marcorelle, Baron d'Escale ; de l'Académie Royale des Sciences & Belles-Lettres de Toulouse ; ancien Secrétaire de cette Société ; Correspondant de l'Académie Royale des Sciences de Paris ; de la Société Royale de Médecine de France ; de la Société Royale des Arts de Londres ; du Musée Toulousain, &c,. &c.
Localisations
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Type de Cote / numéro :
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4 Ki 7 Res
Commentaires descriptifs
Commentaire descriptif :
16 p.
Représentations
Indexation RAMEAU :
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Créations / exécutions
Personne liée à l'oeuvre :
Marcorelle (baron d'Escale), auteur
Personne liée à l'oeuvre :
Veuve Besse
Rôle :
Lieu de création :
Commentaire Lieu de création :
Narbonne
Type de date :
Date de création :
1785
Contenus Ouvrage
Contenu de l'ouvrage :
p. 15-16 "Bulletin de Narbonne du Jeudi 14 Février 1782"
Note sur l'exemplaire :
Relié avec Avis pour neutraliser à peu de fraix (1782) du même auteur.
Langue :
Sources en ligne
Date de consultation :
11/07/2017
Url document source :
Source
source : Institut national d'histoire de l'art (France) - licence : Attribution 4.0 International (CC BY 4.0)
Commentaire interne
C'est une étrange destinée que celle qu'éprouve le procédé du lait de chaux, pour désinfecter & neutraliser les Fosses d'aisance ! Ce moyen est si simple, si peu coüteux, & produit de si bons effets, qu'il n'est personne qui ne veuille l'avoir découvert... A peine eus-je communiqué à l'Académie Royale des Sciences, mon procédé du lait de chaux, que les Auteurs du Journal de Paris en rendirent compte dans leur Feuille (p. 4)...Dans ma Réponse à leur critiquie, j'observai que l'usage de la chaux, pour détruire le méphitisme, étoit bien antérieur à l'année 1778 (p. 3-4). [Janin accuse Marcorelle de] "lui avoir ravi son secret" (p. 14).
Vérifié avec l'ouvrage. MEL02_2011_CNAM_VN
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