Rouget de l'Isle composant La Marseillaise / (Tableau de Gaston Mélingue-Salon de 1883) / Cette oeuvre remarquable raconte avec une grande intensité l'enthousiasme qui soulevait Rouget de Lisle quand [...]

Rouget de l'Isle composant <i>La Marseillaise</i> / (Tableau de Gaston Mélingue-Salon de 1883) / Cette oeuvre remarquable raconte avec une grande intensité l'enthousiasme qui soulevait Rouget de Lisle quand il composa, dans la nuit du 24 au 25 avril 1792, le <i>Chant de l'armée du Rhin</i>, appelé quelques mois plus tard la <i>Marseillaise</i>. Rouget de Lisle réalisa son hymne en s'accompagnant de son violon. Il y avait même ajouté une ritournelle pour cet instrument, qu'on a heureusement pour la <i>Marseillaise</i>, oubliée depuis. La <i>Marseillaise</i> fut chantée pour la première fois, par Rouget de Lisle lui-même, devant le baron de Dietrich, maire de Strasbourg, et des officiers, camarades de l'auteur, qu'il avait invités

Rouget de l'Isle composant <i>La Marseillaise</i> / (Tableau de Gaston Mélingue-Salon de 1883) / Cette oeuvre remarquable raconte avec une grande intensité l'enthousiasme qui soulevait Rouget de Lisle quand il composa, dans la nuit du 24 au 25 avril 1792, le <i>Chant de l'armée du Rhin</i>, appelé quelques mois plus tard la <i>Marseillaise</i>. Rouget de Lisle réalisa son hymne en s'accompagnant de son violon. Il y avait même ajouté une ritournelle pour cet instrument, qu'on a heureusement pour la <i>Marseillaise</i>, oubliée depuis. La <i>Marseillaise</i> fut chantée pour la première fois, par Rouget de Lisle lui-même, devant le baron de Dietrich, maire de Strasbourg, et des officiers, camarades de l'auteur, qu'il avait invités

Musica n° 37, revue (10/1905)

Pioch, Georges (1874 - 19..), La Révolution, Revue Musica 10/1905

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