Oraison funèbre de très-habile, très-élégant, tres-merveilleux Christophe Scheling, maitre tailleur de Paris, prononcée le 18 février 1761 dans la salle du célébre Alexandre limonadier au boulevart
Oraison funèbre de très-habile, très-élégant, tres-merveilleux Christophe Scheling, maitre tailleur de Paris, prononcée le 18 février 1761 dans la salle du célébre Alexandre limonadier au boulevart
Oraison funèbre de très habile, très élégant, très merveilleux Christophe Scheling, maître tailleur de Paris, prononcée le 18 février 1761 dans la salle du célèbre Alexandre limonadier au boulevart
Texte encadré.
Cette satire fit l'objet d'une critique assez sévère dans la Correspondance littéraire, philosophique et critique, revue française dirigée, entre autres, par Grimm et destinée à l'aristocratie française : « Je ne sais quel est celui qui a fait imprimer l'Oraison funèbre de très habile, très élégant, très merveilleux Christophe Scheling, maître tailleur de Paris, prononcée le 18 février 1761 dans la salle du célèbre Alexandre, limonadier au boulevard. Il n'y a ni gaieté, ni folie, ni verve, dans cette plaisanterie; cela n'est que plat. M. Scheling était le plus fameux tailleur de Paris. Les princes et les seigneurs avaient coutume d'aller à son audience pour obtenir la faveur d'être habillés par lui. Après le comte de Saxe, M. Scheling était un des plus beaux présents que l'Allemagne eût faits à la France. »
Ex libris sur la page de titre.
n° 545 (11)
Consultés en vain :
Watanabe, Ruggieri, Vinet.
BnF : 2.