Nature morte à la tête de mouton
Fait partie d'une série de 12 natures mortes (bodegones) inventoriées en 1812, au décès de l'épouse de Goya.
dimensions sans cadre
illisible
X
Inventaire après décès de Josefa Goya, l'épouse de Francisco Goya, Madrid, 1812 (10/11/1812 : série des 12 bodegones) ; transmis au fils unique du couple, Javier Goya ; vendu après le décès de Goya en 1828 par Javier Goya au beau-père de son fils Mariano, Francisco Javier de Mariátegui, Madrid (figure dans son inventaire après décès en 1845, cf. Glendinning) ; légué par ce dernier à sa fille, María de la Concepción, l'épouse de Mariano Goya, fils de Javier, Madrid ; déposé en 1846 par Mariano Goya en garantie d'un prêt, pour obtenir des titres de noblesse, auprès du comte de Yumuri, qu'il ne peut rembourser, et cédé à ce dernier en 1851 ; Francisco Antonio Narváez y Bordaez, comte de Yumuri, Carabanchel Alto, près de Madrid (figure dans son inventaire après décès, en 1865, décorant la salle à manger de sa villa à Carabanchel Alto, le futur RF 1937-120 étant décrit au n° 78 cf. Vischer [1997], p. 121-123) ; son fils ainé, Francisco Antonio Narváez y Larrinaga, comte de Yumuri, Madrid (1866) ; la série est dispersée ; Comte Victor-François Léonard Huyttens de Terbecq, Compiègne ; sa vente, Paris 25-26 mai1877, n° 27 (avec 3 autres bodegones de la série : n° 24, Lièvres, n° 25, Canard, et n° 26, Bécasses) ; non vendu ; vente de R*** [comte Terbeck [sic] père], Paris, n° 19 (et non 10, comme parfois indiqué par erreur), avril 1882, (toujours avec les 3 autres : n° 7 Lièvres, n° 8, Canard, et n° 9 Bécasses) ; Stanislas O'Rossen, Paris (qui l'avait acquis à Bordeaux, selon Henri Baderou, communication orale, 1969, et annotation sur une fiche de sa documentation : sans doute Stanislas O'Rossen, célèbre tailleur, Biarritz et Paris) ; Paul Rosenberg (1881-1959), marchand d'art, Paris ; acquis de ce dernier, 1937.
n° 1131, p. 182
n° 903, p. 262
n° 596, p. 316