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Frise ornée de lys et de couronnes d'épines

Statut
Publiée
Contributeur
bdechanc
Dernière modification
24/02/2023 12:38 (il y a environ 1 an)
Type d'oeuvre
Titres
Titre : 
Frise ornée de lys et de couronnes d'épines
Localisations
Commentaire Lieu de conservation : 
Localisation historique MMF : Salle du XVIIe siècle, dans le monument à Jacques de Souvré
Type de Cote / numéro : 
Cote / numéro : 
191
Commentaire Cote / numéro : 
cat. an V, p. 147-148 ; cat. an VI, p. 185-186 ; cat. an VIII, p. XI et 277 ; cat. an X, p. VI et 263 ; cat. an XI (1803), p. VI et 235 ; cat. 1806, p. 15 et 212 ; cat. 1810, p. XXX et 257 ; cat. 1815, p. 99-100 ; cat. 1816, p. 86-87
Créations / exécutions
Personne liée à l'oeuvre : 
Date de création : 
Historiques de collection
Collection : 
Paris, sans doute église des Feuillants-Saint-Honoré, chapelle des Rohan-Guéménée, près du choeur ; musée des Monuments français, placé au soubassement du tombeau de Jacques de Souvré ; frise transportée à Saint-Denis le 3 juin 1816 ; remployée, selon F. de Guilhermy, dans un monument commémoratif à Louis XVIII
Bibliographies / archives
Type de référence : 
Commentaire Bibliographies / archives : 
p. 325 : "On vient de lui [à Louis XVIII] élever un monument d'une mesquinerie indécente, composé de parties hétérogènes qui n'avaient jamais eu cette destination. Au soubassement, trois médaillons de marbre qui avaient été faits pour la chapelle de Saint-Louis représentent mesdames Adélaïde et Victoire de France, filles de Louis XV, et l'angélique soeur de Louis XVI, Elisabeth (...). Une branche de lys, d'une très belle sculpture, qui provient dit-on d'un des tombeaux que la famille des princes de Conti avait à Saint-André-des-Arts, couronne le socle. Plus haut, un piédestal carré attend une épitaphe et sert de support à un buste du roi, taillé dans le marbre par M. Valois (...) Enfin, aux côtés de ce misérable tombeau, sont assises deux grosses figures de femmes qui dépendaient du cénotaphe consacré au duc de Berry, l'une vêtue d'une peau de lion et tenant une massue serait l'armée française ; l'autre se laisse facilement reconnaître pour la charité..."
Type de référence : 
Commentaire Bibliographies / archives : 
p. 123 : cite Guilhermy qui attribuait cette frise au tombeau du prince de Conti à Saint-André-des-Arts.
Source
source : Institut national d'histoire de l'art (France) / Musée du Louvre (Paris) - licence : Attribution 4.0 International (CC BY 4.0)
Rédacteur
Béatrice de Chancel-Bardelot