Réunion des Fabricants de bronzes
Pas d'illustration
Noms
Nom :
Réunion des Fabricants de bronzes
Organismes
Commentaire Organismes :
Le 16 novembre 1818, les artisans des métiers du bronze décident de former une "Réunion" afin de lutter contre la contrefaçon. Les activités de la Réunion des Fabricants de bronzes se trouvent au carrefour de plusieurs domaines : domaine industriel, technique, artistique mais aussi bienfaisance et apprentissage. L'apogée est atteinte vers les années 1880. Le déclin survient après la première guerre mondiale. En 1919, la réunion prend le titre de "Chambre syndicale des fabricants de bronzes" puis "Chambre syndicale des Fabricants de bronzes, du luminaire et des industries qui s'y rattachent". En 1941, elle fusionne avec la Chambre syndicale du petit luminaire et avec la Chambre syndicale des étalages et vitrines ; en 1945, elle réforme ses structures et prend son nom actuel de Groupement interprofessionnel du Luminaire (GIL).
L'Espérance ou Société de secours mutuel des ciseleurs, monteurs et tourneurs de bronze est fondée le 15 janvier 1858. Son objet consiste à donner des soins aux sociétaires et à leur famille (épouse et enfants), garantir une indemnité journalière aux sociétaires malades, constituer une pension de retraite et contracter une assurance en cas de décès.
L'Association pour l'apprentissage dans les industries du bronze est créée en mars 1924. Elle a trois objets : s'occuper du recensement, du recrutement et de l'instruction des apprenis, organiser des cours et des concours professionnels, décerner des diplômes aux apprentis qu'elle aura formés.
La Chambre syndicale des fondeurs d'art (ou chambre syndicale du bronze d'art d'imitation) est fondée en 1881 ; elle a pour but de régler les litiges entre adhérents et les défendre devant les tribunaux, spécialement en ce qui concerne la contrefaçon ou la concurrence déloyale, d'informer et de participer aux expositions françaises et internationales. La Chambre syndicale possède la propriété d'une marque de fabrique réservée aux membres actifs (fabricants de nationalité française).
Le siège social de ces organismes est le même, sis 8 rue Saint-Claude, dans le troisième arrondissement de Paris. Par exception, la Chambre syndicale des fondeurs d'art est formée au 20 rue de la Folie-Méricourt, dans le onzième arrondissement de Paris
L'Espérance ou Société de secours mutuel des ciseleurs, monteurs et tourneurs de bronze est fondée le 15 janvier 1858. Son objet consiste à donner des soins aux sociétaires et à leur famille (épouse et enfants), garantir une indemnité journalière aux sociétaires malades, constituer une pension de retraite et contracter une assurance en cas de décès.
L'Association pour l'apprentissage dans les industries du bronze est créée en mars 1924. Elle a trois objets : s'occuper du recensement, du recrutement et de l'instruction des apprenis, organiser des cours et des concours professionnels, décerner des diplômes aux apprentis qu'elle aura formés.
La Chambre syndicale des fondeurs d'art (ou chambre syndicale du bronze d'art d'imitation) est fondée en 1881 ; elle a pour but de régler les litiges entre adhérents et les défendre devant les tribunaux, spécialement en ce qui concerne la contrefaçon ou la concurrence déloyale, d'informer et de participer aux expositions françaises et internationales. La Chambre syndicale possède la propriété d'une marque de fabrique réservée aux membres actifs (fabricants de nationalité française).
Le siège social de ces organismes est le même, sis 8 rue Saint-Claude, dans le troisième arrondissement de Paris. Par exception, la Chambre syndicale des fondeurs d'art est formée au 20 rue de la Folie-Méricourt, dans le onzième arrondissement de Paris
Bibliographies / archives
Source
source : Institut national d'histoire de l'art (France) - licence : Attribution 4.0 International (CC BY 4.0)