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Dernière modification
25/10/2023 15:58 (il y a environ 1 an)
Type d'oeuvre
Titres
Titre : 
Portrait d'homme
Localisations
Type de Cote / numéro : 
Cote / numéro : 
3158
Type de Cote / numéro : 
Cote / numéro : 
69
Commentaire Cote / numéro : 
Numéro du catalogue de vente de 1845
Type de Cote / numéro : 
Cote / numéro : 
80
Commentaire Cote / numéro : 
Numéro du catalogue de vente de 1841
Matérialité
Matériau : 
Technique : 
Dimensions
Hauteur : 
0,74
Largeur : 
0,77
Unité de mesure : 
Créations / exécutions
Personne liée à l'oeuvre : 
Rôle : 
Personne liée à l'oeuvre : 
Rôle : 
Type de date : 
Date de création : 
Historiques de collection
Collection : 
Estimé à 300 scudi dans l'inventaire après décès du cardinal Fesch
Evénement : 
Description du catalogue de 1845 :

Nous savons que le savant pinceau de Van Dyck ne s'est exercé que sur d'illustres personnages ; il nous est donc permis de penser que celui-ci, dont nous ignore le nom, était un homme marquant de son époque ; peut-être un magistrat hollandais, plus sourdement un gentilhomme, si l'on en croit cet élégant négligé de soie noire que Van Dyck aimant tant à ajuster dans ses portraits. Quoi qu'il en soit, ce personnage inconnu est vu jusqu'aux cuisses, assis et accoudé sur le dossier d'un fauteuil garni de basane rouge et de clous dorés. Sa tête un peu penchée repose légèrement et avec noblesse sur sa main droite ; dans l'autre main il tient une lettre décachetée dont le contenu semble le faire réfléchir profondément. Comme sa tête découverte, elle laisse voir toute sa chevelure qui tombe sans apprêt sur ses épaules ; de petites moustaches retroussées, une mouche légère ajoutent à l'agrément de sa physionomie sans en altérer la douceur.
Combien, dirons-nous, la simplicité de cette pose en fait ressortir le naturel ! Combien la sagesse du modèle, la douceur des ombres et de la lumière augmentent cette vérité ! Sans aucun effort, cette tête est en relief et sort de la toile ; le sang circule partout dans les chairs ; ces yeux ont un tel degré de vie qu'ils vous fascinent ; on se sent propre l'envie d'adresser la parole à ce portrait. - Bien d'autres qualités resteraient à faire remarquer, ne fût-ce que la beauté de ces mains qu'il est impossible d'imaginer aussi parfaites ; mais alors que dirions nous de la pureté du dessin, de la délicieuse imitation des étoffes, de la délicatesse du pinceau, de la suavité et de l'habileté de la touche ? Rien, sans doute, qui valût ce que chacun sait d'avance de la haute supériorité des portraits de Van Dyck dont les oeuvres en ce genre sont les plus belles de l'art.
Evénement : 
Description du catalogue de 1841 :

Surprenante et savante imitation de la nature ; on le croit de Van Dick.
Bibliographies / archives
Référence : 
fol. 204. n° 3158. Quadro in tela alto piedi due, e mezzo, largo piedi due, e un sesto rappresentante un Ritratto creduto di Vandick Scudi Cento Cinquanta 150 (...) fol. 336 v. Il Quadro descritto sotto il n° 3158 rappresentante un Ritratto valutato Scudi Cento Cinquanta si aumenta di altri Scudi Cento Cinquanta
Source
source : Institut national d'histoire de l'art (France) / Ville d'Ajaccio - licence : Attribution 4.0 International (CC BY 4.0)