Scène de marché à Rome
Pas d'illustration
Titres
Titre :
Scène de marché à Rome
Localisations
Type de Cote / numéro :
Cote / numéro :
3387
Type de Cote / numéro :
Cote / numéro :
128
Commentaire Cote / numéro :
Numéro du catalogue de vente de 1845
Type de Cote / numéro :
Cote / numéro :
267
Commentaire Cote / numéro :
Numéro du catalogue de vente de 1841
Créations / exécutions
Type de date :
Date de création :
Historiques de collection
Collection :
Estimé à 20 scudi dans l'inventaire après décès du cardinal Fesch
Evénement :
Description du catalogue de 1845 :
Malgré les modifications que le goût de l'artiste a introduites dans sa composition, on y retrouve cependant une vue de Rome prise du Monte-Cavallo. A droite le palais du Quirinal avec son petit bastion crénelé, au milieu l'un des chevaux de Phidias sur son piédestal, à l'horizon le mont Marius et le dôme de Saint-Pierre.
Une grande partie de la place est remplie du mouvement qu'occasionnent les dispositions d'un marché ; toutefois c'est à l'avant-scène, au pied et vis-à-vis d'un grand obélisque auquel est adossée une fontaine, que toute l'action est placée. Tandis qu'un palefrenier fait boire ses chevaux dans le bassin de la fontaine, qu'un savetier raccommode en plein air les souliers des passants, qu'un homme marchande le chevreau qu'une villageoise assise par terre a apporté dans un panier, au milieu des allants et des venants, de ceux qui se reposent, d'un pauvre assis qui tend la main, d'un marchand de gimblettes qui les fait tirer à la loterie, on aime aussi à retrouver ce qu'on appelle l'âme d'une foire, c'est-à-dire un bateleur qui a élevé ses tréteaux à l'un des côtés dé la place, et fait avec son bouffon le bonheur et l'admiration de la multitude attroupée devant lui.
Malgré les modifications que le goût de l'artiste a introduites dans sa composition, on y retrouve cependant une vue de Rome prise du Monte-Cavallo. A droite le palais du Quirinal avec son petit bastion crénelé, au milieu l'un des chevaux de Phidias sur son piédestal, à l'horizon le mont Marius et le dôme de Saint-Pierre.
Une grande partie de la place est remplie du mouvement qu'occasionnent les dispositions d'un marché ; toutefois c'est à l'avant-scène, au pied et vis-à-vis d'un grand obélisque auquel est adossée une fontaine, que toute l'action est placée. Tandis qu'un palefrenier fait boire ses chevaux dans le bassin de la fontaine, qu'un savetier raccommode en plein air les souliers des passants, qu'un homme marchande le chevreau qu'une villageoise assise par terre a apporté dans un panier, au milieu des allants et des venants, de ceux qui se reposent, d'un pauvre assis qui tend la main, d'un marchand de gimblettes qui les fait tirer à la loterie, on aime aussi à retrouver ce qu'on appelle l'âme d'une foire, c'est-à-dire un bateleur qui a élevé ses tréteaux à l'un des côtés dé la place, et fait avec son bouffon le bonheur et l'admiration de la multitude attroupée devant lui.
Evénement :
Description du catalogue de 1841 :
Excellente copie d'une peinture flamande.
Excellente copie d'une peinture flamande.
Bibliographies / archives
Référence :
Inventaire après décès du cardinal Fesch, Archivio dei 30 notari Capitolini, ufficio 11, notaio Apolloni Augustus, anno 1839, vol. 611, 37 r. 600 r.
fol. 227. n° 3387. Quadro in tela alto piedi due, e mezzo largo piedi due, e un sesto rappresentante un Mercato copia presso un'originale Fiammingo Scudi venti 20
Source
source : Institut national d'histoire de l'art (France) / Ville d'Ajaccio - licence : Attribution 4.0 International (CC BY 4.0)