Réponse pour le Sieur Croze-Magnan au premier aperçu de l'affaire pour le sieur Robillard-Péronville, contenant une analyse de la plaidoirie pour ledit sieur Croze-Magnan, contre la Société Robillard- [...]
Réponse pour le Sieur Croze-Magnan au premier aperçu de l'affaire pour le sieur Robillard-Péronville, contenant une analyse de la plaidoirie pour ledit sieur Croze-Magnan, contre la Société Robillard-Péronville et Laurent, et encore contre les sieurs Visconti et Emeric-David. [Paris.] : de l'imprimerie de Plassan, imprimeur de la Grande-Chancellerie de la Légion d'honneur, rue de Vaugirard, n° 9, près l'Odéon, [entre 1805 et 1807].
Titre de départ.
Signé : « Croze-Magnan. Me. Billecocq, avocat. ».
Daté d'après l'exercice de l'imprimeur-libraire à l'adresse indiquée et la mention du jugement rendu le 17 mars 1807 dans un autre factum traitant de la même affaire.
Robillard-Péronville, constitué en société en 1802 avec Laurent pour la publication en livraisons du « Musée français » (le premier apportant les fonds, l'autre des gravures) s'était adjoint Croze-Magnan pour le texte. Après 38 livraisons, en mai 1806, ce dernier est remplacé. Croze-Magnan plaide qu'il a la propriété littéraire.
site Tolbiac
Prestation GRAHAL 2015
Notice provenant de la base de données Ressources bibliographiques et archivistiques sur les historiens d'art.