Panofka, Musée Blacas, pl. 13
Pas d'illustration
Titres
Titre :
Panofka, Musée Blacas, pl. 13
Commentaires généraux
Commentaire général :
Péliké attique à figures rouges, British Museum, E 362 (1867,0508.1126)
Commentaires descriptifs
Commentaire descriptif :
Péliké: tableau face A
Même vase que planches Panofka 1829, 14, 15.
Collection mentionnée : collection du duc de Blacas
Interprétation donnée : Panthéon. L'origine de la tragédie.
Femme (Proserpine), cheveux bouclés retenus par une bandelette, bras et mains entièrement enveloppés dans son péplus : sa main droite retombe le long de son corps, son bras gauche reste élevé, dans cette attitude, elle semble regarder Bacchus. Le dieu : longue barbe, chevelure ornée d'une toenia, une mitre très large et brodée entoure le crocoton, par-dessus la tunique talaire à deux manches, bras couverts d'une chlamyde; vient de déchirer un petit bouc en deux moitiés, qu'il tient dans ses mains, en s'avançant vers un autel, où le feu paraît attendre sa victime. Un Silène (Comos) : vêtu d'une nébride, et pareillement coiffé de la toenia, précède le dieu en sonnant de la double flûte.
Bacchus, au culte duquel se rattache cette scène, n'y est point considéré comme le dieu du vin. Aucun des caractères de l'ivresse ne se montre dans l'attitude des personnages. Le dieu immole un bouc et rappelle ainsi l'origine de la tragédie.
Silène Pappos, chef de la procession : poète tragique suivi de la Tragédie, dont la flûte de Molpos ou plutôt de Dithyrambos accompagne la voix, et conduit par Proserpine vers Bacchus, que devancent Comos, Acratos et la Comédie.
Pages de texte : p. 40-46
Autres indications : Les deux joueurs de flûte portent la bandelette de cuir (phorbéion), destinée à préserver les lèvres.
Hydrie panathénaïque, à figures rouges sur un fond noir, trouvée dans un tombeau de Nola.
Même vase que planches Panofka 1829, 14, 15.
Collection mentionnée : collection du duc de Blacas
Interprétation donnée : Panthéon. L'origine de la tragédie.
Femme (Proserpine), cheveux bouclés retenus par une bandelette, bras et mains entièrement enveloppés dans son péplus : sa main droite retombe le long de son corps, son bras gauche reste élevé, dans cette attitude, elle semble regarder Bacchus. Le dieu : longue barbe, chevelure ornée d'une toenia, une mitre très large et brodée entoure le crocoton, par-dessus la tunique talaire à deux manches, bras couverts d'une chlamyde; vient de déchirer un petit bouc en deux moitiés, qu'il tient dans ses mains, en s'avançant vers un autel, où le feu paraît attendre sa victime. Un Silène (Comos) : vêtu d'une nébride, et pareillement coiffé de la toenia, précède le dieu en sonnant de la double flûte.
Bacchus, au culte duquel se rattache cette scène, n'y est point considéré comme le dieu du vin. Aucun des caractères de l'ivresse ne se montre dans l'attitude des personnages. Le dieu immole un bouc et rappelle ainsi l'origine de la tragédie.
Silène Pappos, chef de la procession : poète tragique suivi de la Tragédie, dont la flûte de Molpos ou plutôt de Dithyrambos accompagne la voix, et conduit par Proserpine vers Bacchus, que devancent Comos, Acratos et la Comédie.
Pages de texte : p. 40-46
Autres indications : Les deux joueurs de flûte portent la bandelette de cuir (phorbéion), destinée à préserver les lèvres.
Hydrie panathénaïque, à figures rouges sur un fond noir, trouvée dans un tombeau de Nola.
Bibliographies / archives
Type de référence :
Commentaire Bibliographies / archives :
Source de la planche étudiée
Source
source : Institut national d'histoire de l'art (France) - licence : Attribution 4.0 International (CC BY 4.0)