Portrait
Pas d'illustration
Titres
Titre :
Portrait
Titre :
Portrait de deux époux
Commentaires généraux
Commentaire général :
Le second titre figure dans le catalogue de vente de 1845.
Localisations
Type de Cote / numéro :
Cote / numéro :
3168
Type de Cote / numéro :
Cote / numéro :
20
Commentaire Cote / numéro :
Numéro du catalogue de vente de 1845
Type de Cote / numéro :
Cote / numéro :
90
Commentaire Cote / numéro :
Numéro du catalogue de vente de 1841
Créations / exécutions
Type de date :
Date de création :
Historiques de collection
Collection :
Estimé à 150 scudi dans l'inventaire après décès du cardinal Fesch
Evénement :
Description du catalogue de 1845 :
On reconnaît à leur costume deux personnages opulents ; ils sont vus de grandeur naturelle, jusqu'à mi-jambes et debout à l'entrée de leur parc. Le mari présente à sa femme des raisins qu'il vient de cueillir ; il est vêtu d'un habit de velours rouge, orné de bouffettes sur les manches et sur la poitrine ; sa tête nue laisse voir en entier sa belle chevelure blonde. La dame porte sur une robe de satin blanc un manteau bleu de même étoffe doublé de jaune. Une ceinture attachée par de grosses perles, une chaîne en diamants qui descend autour de sa gorge et se fixe au corsage par une riche agrafe, ajoutent à l'élégance de son costume que rehausse encore une parure complété en perles fines : collier, pendants d'oreilles et diadème. Ses cheveux crépus sur le sommet de la tête se terminent en nattes et sont couverts par derrière d'un voile de gaze bleue.
Ces magnifiques étoffes, ces brillantes parures ont un éclat qui prête singulièrement en peinture à la richesse des tons et au coloris des chairs. Et, si l'on en juge par le soin tout particulier apporté à l'exécution de ces deux portraits, Ferdinand Bol a visiblement lui-même cédé au charme de ce brillant entourage.
On reconnaît à leur costume deux personnages opulents ; ils sont vus de grandeur naturelle, jusqu'à mi-jambes et debout à l'entrée de leur parc. Le mari présente à sa femme des raisins qu'il vient de cueillir ; il est vêtu d'un habit de velours rouge, orné de bouffettes sur les manches et sur la poitrine ; sa tête nue laisse voir en entier sa belle chevelure blonde. La dame porte sur une robe de satin blanc un manteau bleu de même étoffe doublé de jaune. Une ceinture attachée par de grosses perles, une chaîne en diamants qui descend autour de sa gorge et se fixe au corsage par une riche agrafe, ajoutent à l'élégance de son costume que rehausse encore une parure complété en perles fines : collier, pendants d'oreilles et diadème. Ses cheveux crépus sur le sommet de la tête se terminent en nattes et sont couverts par derrière d'un voile de gaze bleue.
Ces magnifiques étoffes, ces brillantes parures ont un éclat qui prête singulièrement en peinture à la richesse des tons et au coloris des chairs. Et, si l'on en juge par le soin tout particulier apporté à l'exécution de ces deux portraits, Ferdinand Bol a visiblement lui-même cédé au charme de ce brillant entourage.
Evénement :
Description du catalogue de 1841 :
Grandeur naturelle ; de la main de Pool.
Grandeur naturelle ; de la main de Pool.
Bibliographies / archives
Référence :
Inventaire après décès du cardinal Fesch, Archivio dei 30 notari Capitolini, ufficio 11, notaio Apolloni Augustus, anno 1839, vol. 611, 37 r. 600 r.
fol. 205. n° 3168. Quadro in tela alto piedi tre, e tre quarti, largo piedi Cinque rappresentante due Ritratti di Bol Scudi Cento Cinquanta 150
Source
source : Institut national d'histoire de l'art (France) / Ville d'Ajaccio - licence : Attribution 4.0 International (CC BY 4.0)