Le Christ au jardin des Oliviers
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        Titres
      
        Titre : 
      
 Le Christ au jardin des Oliviers
        Localisations
      
        Type de Cote / numéro : 
      
 
        Cote / numéro : 
      
 
    5264
  
        Type de Cote / numéro : 
      
 
        Cote / numéro : 
      
 
    488
  
        Commentaire Cote / numéro : 
      
 Numéro du catalogue de vente de 1845
        Type de Cote / numéro : 
      
 
        Cote / numéro : 
      
 
    1153
  
        Commentaire Cote / numéro : 
      
 Numéro du catalogue de vente de 1841
        Créations / exécutions
      
        Type de date : 
      
 
        Date de création : 
      
 
        Historiques de collection
      
        Collection : 
      
 Estimé à 5 scudi dans l'inventaire après décès du cardinal Fesch
        Evénement : 
      
 Description du catalogue de 1845 :
Le corps affaissé sur ses genoux, la tête renversée sur le bras droit posé sur une roche, la bouche entr'ouverte les yeux à demi-fermés et le visage couvert d'une pâleur de mort, Notre Seigneur est soutenu par un ange, tandis qu'un autre message céleste, qui apparaît au sein d'une nuée lumineuse, lui présente le calice de sa passion. Sur le haut de la roche, au pied de laquelle Pierre, Jacques et Jean sont plongés dans un profond sommeil, deux petits anges agenouillés s'entretiennent avec douleur des souffrances de leur divin maître. D'un autre côté, les gardes conduits par Judas pénètrent dans le jardin à la lueur de leurs torches.
Le groupe principal reçoit seul une vive lumière, les autres sont entièrement sacrifiés : il en résulte un contraste d'autant plus frappant, que la couleur est d'un ton généralement vigoureux ; le pinceau est moelleux et les têtes ne manquent pas d'expression. Trévisani semble avoir ici voulu se rapprocher de la manière de Carl-Maratte.
Le corps affaissé sur ses genoux, la tête renversée sur le bras droit posé sur une roche, la bouche entr'ouverte les yeux à demi-fermés et le visage couvert d'une pâleur de mort, Notre Seigneur est soutenu par un ange, tandis qu'un autre message céleste, qui apparaît au sein d'une nuée lumineuse, lui présente le calice de sa passion. Sur le haut de la roche, au pied de laquelle Pierre, Jacques et Jean sont plongés dans un profond sommeil, deux petits anges agenouillés s'entretiennent avec douleur des souffrances de leur divin maître. D'un autre côté, les gardes conduits par Judas pénètrent dans le jardin à la lueur de leurs torches.
Le groupe principal reçoit seul une vive lumière, les autres sont entièrement sacrifiés : il en résulte un contraste d'autant plus frappant, que la couleur est d'un ton généralement vigoureux ; le pinceau est moelleux et les têtes ne manquent pas d'expression. Trévisani semble avoir ici voulu se rapprocher de la manière de Carl-Maratte.
        Evénement : 
      
 Description du catalogue de 1841 :
Petites figures ; tableau d'un bon effet ouvrage, du Trevisani.
Petites figures ; tableau d'un bon effet ouvrage, du Trevisani.
        Bibliographies / archives
      
        Référence : 
      
 Inventaire après décès du cardinal Fesch, Archives centrales d'Etat, Rome, Archivio dei 30 notari Capitolini, ufficio 11, notaio Apolloni Augustus, anno 1839, vol. 611, 37 r. 600 r. 
  fol. 342. n° 5264. Quadro in tela alto piedi tre, largo piedi quattro, e un quarto rappresentante l'Orazione all'Orto di Trivisani Scudi Cinque 5
        Source
      
    source : Institut national d'histoire de l'art (France) / Ville d'Ajaccio - licence : Attribution 4.0 International (CC BY 4.0)