Skip to main content

Architecture Intérieure, processus d’indépendance, 1949-1972. Une autonomie réinventée ou la révolution du composant.

Calignon (de), Valérie
Statut
Publiée
Contributeur
lduflos
Dernière modification
01/12/2021 11:14 (il y a environ 3 ans)
Type de document
Référence complète
Calignon, Valérie (de). Architecture Intérieure, processus d’indépendance, 1949-1972. Une autonomie réinventée ou la révolution du composant. Sous la dir. de Dominique Rouillard. Thèse soutenue : Hist. art : Paris I, 2015.
Auteurs
Nom de l'auteur : 
Calignon (de), Valérie
Rôle : 
Nom de l'auteur : 
Rouillard, Dominique
Ouvrages
Titre ouvrage : 
Architecture Intérieure, processus d’indépendance, 1949-1972. Une autonomie réinventée ou la révolution du composant.
Mémoires / thèses
Type de mémoire : 
Lieu de soutenance : 
Université de soutenance : 
Année de soutenance : 
2015 - 2015
Domaine(s) de recherche : 
Descriptions
Résumé : 
Considérant qu’un bâtiment « clos et couvert » ne représente encore qu’un « potentiel d’habitation », en quoi la qualification de l’intérieur a-t-elle affaire à l’architecture ? Appartient-elle ou non, in fine, au projet architectural ? Il s’agit, pour commencer, de fonder une histoire qui n’existe pas, au croisement de l’architecture, de la décoration et du design, de définir les termes en jeu dans l’« habiter », ses métiers, la notion d’« architecture intérieure », une typologie de relations entre l’architecture et ses espaces intérieurs. L’intégration de l’habiter au projet architectural, considérée comme légitime et revendiquée par la majorité des architectes contemporains, est en réalité le fruit d’un lent processus historique, qui s’étend de l’invention de l’architecture comme art libéral à partir du XVe siècle jusqu’à la « synthèse des arts » Moderne, qui, après les premières Gesamtkunstwerk de la fin du XIXe, en représente l’aboutissement idéologique au début du XXe. La période 1949-1972 correspond à un retournement de cette situation, processus inverse de « décrochement des murs », rupture historique en même temps que retour cyclique aux origines d’une architecture-abri dont l’habitabilité est fondée par l’objet. Au milieu du XXe siècle, l’autonomie originelle de l’intérieur, n’allant plus de soi, doit être redécouverte et, désormais, conceptuellement fondée. La thèse met en évidence les mécanismes qui aboutissent finalement, à la fin des années 1960, à réinventer théoriquement cette indépendance de l’intérieur vis-à-vis du bâti.
Indexations
Date indexée : 
1949 - 1972 - 1949 - 1972
Indexation RAMEAU : 
Source
source : Institut national d'histoire de l'art (France) - licence : Attribution 4.0 International (CC BY 4.0)