Breuil, Georges

Biographie rédigée par Marie-Laure Crosnier Leconte :

Matricule de l’Ecole des Beaux-Arts : 7692. Georges Paul Antonin Breuil, né à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme) le 28 juillet 1903, fils de Claude Théophile Breuil employé de commerce, et de Françoise Boudal, élève à l'École professionnelle et technique de Clermont-Ferrand, élève de Gabriel Héraud (à l'atelier le 8 juin 1921), admis en 2è classe le 15 juillet 1921, obtient un total de 21 valeurs dont 1 3è Médaille en stéréotomie, subventionné par le département du Puy-de-Dôme entre 1922 et 1924, 1è classe le 17 juillet 1923, obtient un total de 16 ½ valeurs dont 1 1è Seconde Médaille en projet rendu, 1 3è Médaille en législation du bâtiment, 1 2è Médaille en modelage, 1 Première Médaille en projet rendu et le Prix Cavel le 3 octobre 1923 et 1 Première Médaille en projet rendu et à nouveau le Prix Cavel le 7 octobre 1924, diplômé le 24 février 1925 (129è promotion, Observatoire d'Astronomie physique (dans la montagne), 1er Prix du meilleur diplôme, Médaille de la S.A.D.G. et Prix de l'Architectural Association en 1925), Grande Médaille d’argent de la Société centrale des architectes, fondation Destors, en 1925 (rappel de médaille en 1926), Prix du plus grand nombre de valeurs obtenues en captivité (architecte à Aurillac, Cantal [entre 1931 et 1967], et Paris; architecte départemental du Cantal; Prix du concours de la Société nationale des architectes de France en 1926 (Un Parc de Sports); nombreuses réalisations hospitalières; agréé M.R.U. pour le Nord et le Cantal [en 1951]; études d'amélioration des procédés de construction, inventions brevetées à ce titre; membre de la S.A.D.G. en 1932, figure encore dans l’annuaire 1962, mais plus dans l'annuaire 1973; membre du Conseil régional de l'Ordre des architectes [avant 1951 et en 1961]; nombreuses Médailles et récompenses à différents concours et aux Expositions de Turin et de Rome; Archives nationales de France, AJ/52/1256, dossier d’élève;: Georges Breuil, Aurillac, travaux d'architecture (1928-1933), Strasbourg, Edari, [1933])

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La première date de présence (la seule parfois) est celle du concours d'admission et la seconde date celle de la dernière mention de présence de l'élève à l'Ecole.