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Examen d'un Essai sur l'architecture avec quelques remarques sur cette science traitée dans l'esprit des beaux arts.

Statut
Publiée
Contributeur
INHA
Dernière modification
24/02/2023 16:14 (il y a environ 1 an)
Type d'oeuvre
Titres
Type de titre : 
Titre : 
Examen d'un Essai sur l'architecture avec quelques remarques sur cette science traitée dans l'esprit des beaux arts.
Localisations
Type de Cote / numéro : 
Cote / numéro : 
12 Res 1929 (1)
Type de Cote / numéro : 
Cote / numéro : 
12 Y 29 (1)
Commentaires descriptifs
Commentaire descriptif : 
XVI p. (titre, avant-propos), 171 p., [1] pl., "Remarques sur ce qui est dit dans l'Architecture dans l'esprit des Beaux-Arts", 183-206 p.
Dimensions
Format : 
Largeur : 
10,5
Longueur : 
16
Unité de mesure : 
Créations / exécutions
Rôle : 
Personne liée à l'oeuvre : 
Rôle : 
Personne liée à l'oeuvre : 
Michel Lambert
Rôle : 
Lieu de création : 
Historiques de collection
Commentaire Historique de collection : 
propriétaire précédent
Evénement : 
Don Dimier 1946 ?
Contenus Ouvrage
Note sur l'édition : 
Avec approbation et privilège du Roi.
Note sur le contenu : 
La Font de Saint-Yenne s’attache dans ce texte à remettre en question les principes énoncés par l’abbé Laugier dans son Essai sur l’architecture, paru un peu plus tôt en l’année 1753. La critique envers Laugier est vive : « C’est par des raisons et non par des emportements que l’on doit tâcher de la réprimer. Quelque peu d’intérêt cependant que l’on eut à ménager un écrivain obscur et inconnu qui s’érige en souverain juge en architecture avec une aussi faible connaissance de ses principes, et sans aucune pratique dans la construction, source de plusieurs de ses erreurs, et surtout dans l’exécution du plan de sa nouvelle église » (p. 9), mais le propos est détaillé et argumenté. Ainsi, contre Laugier qui loue la référence à la hutte primitive comme principe de toute architecture, La Font de Saint-Yenne note : « Eh pourquoi penser qu’on ne puisse un peu s’éloigner de ces grossières et informes inventions ? Si les hommes eussent toujours été plongés dans leur première rusticité et leur stupide ignorance, tels que nos sauvages de l’Amérique, ils n’auroient encore que ces mêmes cabanes pour retraites » (p. 6). De même, concernant la diminution des colonnes, il remarque : « L’auteur veut qu’à l’imitation des arbres les colonnes soient diminuées de bas en haut, c’est-à-dire en forme de piramide tronquée. L’on peut croire que les premiers Grecs leur ont d’abord donné cette forme, et l’on en a trouvé quelques-unes ainsi taillées chez eux. Mais s’étant aperçus que la délinéation ou le profil de ces colonnes offroit à la vue une figure désagréable, ils ont cherché à l’adoucir, de même que tous nos grands auteurs entr’autres Vitruve. »
Reliures
Reliure : 
Rel. veau, dos lisse orné, tranches dorées, XVIIIe s.
Sources en ligne
Référence de notice : 
042741769
Date de consultation : 
10/10/2017
Url document source : 
Référence de notice : 
307154034
Date de consultation : 
10/10/2017
Organisme : 
Date de consultation : 
10/10/2017
Source
source : Institut national d'histoire de l'art (France) - licence : Attribution 4.0 International (CC BY 4.0)
Commentaire interne
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